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Femmes résistantes

Femmes résistantes

la Résistance Ensemble des actions menées, durant la Seconde Guerre mondiale, contre les occupants et leurs auxiliaires ; ensemble de ceux qui ont participé à ces actions. Introduction De 1940 à 1944, l'Allemagne hitlérienne domine le continent européen. L'ambition de Hitler est de modeler autour du grand Reich germanique (Grossdeutschland) une Europe inféodée, contrainte de mettre ses richesses humaines et économiques à sa disposition. Mais la nazification de l'Europe se heurte dans tous les pays à des actes de résistance, qui vont aller en s'amplifiant au fur et à mesure du durcissement des conditions d'occupation et de l'amélioration de l'organisation des réseaux de résistants. Les objectifs de la Résistance sont militaires et visent à aider l'effort de guerre par le sabotage, le renseignement, le rapatriement des combattants (aviateurs par exemple) puis la formation de maquis. Perçue comme une force occasionnelle, la Résistance n'est pas incluse dans une stratégie élaborée par les Alliés. 1. 1.1.

Les répressions allemande et vichyste contre la Résistance - Le Mont-Valérien pendant la Seconde Guerre mondiale - Le Mont Valerien, haut lieu de la mémoire nationale Le 1er juin 1942 le général SS Karl Oberg est nommé « Chef suprême de la SS et de la police en France ». Il prend la relève de la politique de répression en France occupée et poursuit la stratégie du MBF jusqu'à l'automne 1942, date à laquelle la politique des otages est abandonnée. La SS développe ensuite ses propres mesures répressives, alors même que les tribunaux militaires continuent à sévir. Intensification de la répression Les SS héritent de l’application de la politique des otages. Le 10 juillet, les SS étendent la définition de l’otage aux membres des familles des résistants recherchés. Les SS assurent également la déportation de représailles, prévue par le MBF depuis décembre 1941, de près de 1 200 otages communistes vers Auschwitz le 6 juillet 1942. La fin de la politique des otages Néanmoins les attentats se poursuivent et les exécutions massives sont désapprouvées par l’opinion publique. Les déportations et les condamnations à mort La lutte contre les « bandes armées »

Culture - Femmes en Résistance : "Beaucoup d'entre elles ne sont pas passées à la postérité" JiveEpic #ZAYN en couverture du prochain numéro de @complex. #MindOfMine Le printemps est arrivé !!! Télérama Jusqu'à demain, c'est le printemps du cinéma, et toutes les séances sont à 4 euros. Porto Latino Vous aussi partagez vos souvenirs des éditions précédentes du #festival avec le hashtag #portolatino#regram #remember #revival #goodtimes 4 h Charlize Theron toujours aussi belle pour J'adore de @dior. 6 h

Journaux clandestins de la Résistance Dès le début de l’Occupation allemande, des journaux furent composés et diffusés clandestinement dans le but de contrer la propagande officielle, sensibiliser les populations et réveiller leur sentiment patriotique. Compte tenu des conditions précaires de fabrication et de distribution le nombre exact de parutions pour un même titre est parfois à l’heure actuelle encore inconnu ou incertain. Malgré les informations apportées par les donateurs, le nombre des numéros d’un même titre est souvent inconnu, l’ordre lui-même des séries présente des incertitudes.

Bombarder l'Europe Nazie contenu Attention, votre navigateur ne supporte pas le javascript ou celui-ci a été désactivé. Certaines fonctionnalités de ce module sont restreintes. Bombarder l'Europe Nazie Contenu : France5 - SHOAH - Résistance et libération : La résistance LA RESISTANCE Durant la guerre, des juifs el des non-juifs résistèrent aux nazis, dans toute l'Europe occupée. Ces combattants résistants, appelés des partisans, volaient des armes, faisaient sauter des voies ferrées et tendaient des embuscades aux soldats allemands. Des juifs réussirent à s'échapper des ghettos et des camps de concentration pour se cacher ou rejoindre la Résistance. La résistance juive aux nazis s'accrut à mesure que les déportations s'intensifiaient et que les rumeurs de l'existence des camps de la mort atteignaient les ghettos. Dans plusieurs d'entre eux, des révoltes éclatèrent : l'insurrection du ghetto de Varsovie fut la plus célèbre. En avril 1943, les troupes allemandes encerclèrent le ghetto de Varsovie, dans le but de rassembler tous les juifs restants, mais ceux-ci ripostèrent. Des révoltes éclatèrent aussi dans les camps de la mort.

Les deux albums d'Auschwitz Chefs de projet Cyril Roy et Dominique Trimbur Chef de projet web Olivier Martzloff Un webdocumentaire écrit par Olivier Martzloff, Cyril Roy, David Tessier Conception Olivier Martzloff, Cyril Roy, Vianney Sicard, David Tessier Développement Olivier Martzloff, Vianney Sicard Création graphique David Tessier Sound Design David Tessier Infographie Aurélie Jaumouille Montage vidéo et encodage Bernard Taillat Analyses des photos Album d’Auschwitz : Marcello Pezzetti, Sabine Zeitoun (sauf photos 26 : Alexandre Bande) Sur les photographies présentées ici, des personnes ont pu être identifiées grâce aux chercheurs de l’Institut Yad Vashem de Jérusalem. Album de Höcker : USHMM, traduction Peggy Frankston, Cyril Roy. Notices historiques et fiches pédagogiques Alexandre Bande, Gilles Gaudin, Emmanuelle Hamon, Danielle Simon Voix Hélène Archereau Interview Lili Jacob Les interviews de Lili (Jacob) Meier (1996) sont issues des archives de l’USC Shoah Foundation. Ce site respecte le droit d'auteur.

Nuit et Brouillard 2 de 2 Nuit et Brouillard est un film documentaire[1] réalisé par Alain Resnais, à l'initiative d'Henri Michel (historien), et sorti en 1956. Il traite de la déportation et des camps de concentration nazis, en application des dispositions dites « Nuit et brouillard » (décret du 7 décembre 1941). Nuit et Brouillard est une commande du Comité d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale[2], un organisme gouvernemental fondé en 1951, dont la fonction était de rassembler de la documentation et de poursuivre des recherches historiques sur la période de l'occupation de la France en 1940-1945, et dont Henri Michel était le secrétaire général[3]. D'une durée de trente-deux minutes, le film est un mélange d'archives en noir et blanc et d'images tournées en couleur. Les images sont accompagnées de la lecture d'un texte de l'écrivain français Jean Cayrol, résistant français déporté dans le KZ Mauthausen en 1943. Le 31 janvier 1956, le film remporte le Prix Jean-Vigo.

Les 70 ans du Chant des partisans Le chant des partisans © Radio France C'est l'anniversaire d'un monument du patrimoine français.. "Le Chant des partisans" existe depuis 70 ans. C'est beaucoup plus qu'une simple chanson. C'est un symbole ! l'hymne de la Résistance française pendant la Seconde guerre mondiale. Ce chant devient rapidement l'indicatif de l'émission de la BBC "Honneur et patrie". Et beaucoup d'entre vous seront certainement surpris d'apprendre que ce symbole de la France libre a été écrit par une Russe Anna Marly qui vit en France depuis la révolution bolchévique. Anna Marly raconte : "Les Allemands approchaient de cette ville russe et il y avait une résistance féroce." Anna Marly la chante au micro de la BBC. Le journaliste et romancier Joseph Kessel l'entend et s'exclame "Voilà ce qu'il faut pour la France !"... Il en écrit la version française avec son neveu Maurice Druon, dans la banlieue de Londres. Le Chant des partisans, lui, est au panthéon de la chanson française.

Struthof : visite virtuelle, Virtuelle Tour, virtual tour Nuit et Brouillard 1 de 2 Nuit et Brouillard est un film documentaire[1] réalisé par Alain Resnais, à l'initiative d'Henri Michel (historien), et sorti en 1956. Il traite de la déportation et des camps de concentration nazis, en application des dispositions dites « Nuit et brouillard » (décret du 7 décembre 1941). Nuit et Brouillard est une commande du Comité d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale[2], un organisme gouvernemental fondé en 1951, dont la fonction était de rassembler de la documentation et de poursuivre des recherches historiques sur la période de l'occupation de la France en 1940-1945, et dont Henri Michel était le secrétaire général[3]. D'une durée de trente-deux minutes, le film est un mélange d'archives en noir et blanc et d'images tournées en couleur. Le texte, écrit par Jean Cayrol, est dit par Michel Bouquet. Les images sont accompagnées de la lecture d'un texte de l'écrivain français Jean Cayrol, résistant français déporté dans le KZ Mauthausen en 1943.

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