background preloader

Comment les commentaires «ruinent» les articles

Comment les commentaires «ruinent» les articles
De plus en plus de sites décident de supprimer les commentaires qui faussent la vision des articles et des contenus publiés. «Il y a un jeu auquel j’aime jouer de temps à autres, écrit sur The Atlantic Adam Felder, spécialiste de l’analyse de l’univers numérique. Combien faut-il que je lise de commentaires sur Internet pour perdre foi en l’humanité? Il faut dire que souvent les commentaires, quel que soit le site, de The Atlantic à Yahoo en passant par YouTube, Facebook, Twitter... sont stupides, ignorants, hors sujet, racistes, sexistes, menaçants, agressifs... Pas étonnant, si le sentiment anti commentaires se développe sur le web et si les sites sont de plus en plus nombreux à décider de ne plus en avoir tant ils ont tendance à dévaloriser le contenu publié, les articles et les idées et thèses avancées. L’an dernier Popular Science, qui est tout sauf un site politique et idéologique, a tout simplement décidé de bannir les commentaires de l’ensemble de son site. Partagez cet article

Une étude sur les trolls : sociologie du commentaire indésirable - Le nouvel Observateur Les trolls sont une espèce bien connue d’internautes en mal de sensations fortes. Ils se baladent nonchalamment aux confins de l’Internet pour s’amuser de leurs voisins, souvent par simple plaisir de rendre une conversation non-intelligible. Pour faire simple, les trolls sont de petits aventuriers du clavier qui aiment titiller leurs prochains avec des commentaires pas toujours très gentils. Ils apprécient retourner les débats, et affectionnent plus que tout la polémique gratuite. Mais quel qu’il soit, le troll intrigue beaucoup ses voisins digitaux. Authentiques trolls norvégiens - Pierre Haski/Rue89 Trois chercheurs Américains en communication et en politiques publiques viennent peut-être de lever le voile sur les habitudes de certains d’entre eux, grâce à une étude très sérieuse sur l’incivilité digitale. Etude des commentaires litigieux Les gens s’insultent vraiment beaucoup sur Internet Il est quand même possible de discuter longtemps tout en restant poli

Commentaires et sites d’actu : les soldats du participatif sont fatigués - Le nouvel Observateur Les soldats du participatif sont fatigués. Ça m’a frappé la semaine dernière, lors d’une conversation avec des journalistes web travaillant dans divers sites d’actualité. Pas des perdreaux de l’année, plutôt de ceux qui, depuis une décennie, expérimentent de nouvelles formes de relation avec leurs lecteurs grâce aux outils du numérique. Des journalistes qui participent au débat dans les commentaires postés sous leurs articles. Qui en discutent sur Twitter après la parution. Qui en font la promotion sur Facebook auprès de leur cercle d’habitués. Des journalistes qui continuent, tard le soir, à répondre aux e-mails des internautes, à corriger les erreurs que ceux-ci ont relevées ou à défendre le travail de leur rédaction quand il est injustement critiqué. Surtout, des journalistes qui ont usé leur bâton de pèlerin, dans moult formations, pléthore de conférences ou de conversations à la machine à café. Sept ans (et 4 219 coms) plus tard Hausse de trafic On a les internautes qu’on mérite

Médias sociaux : Est-il vraiment possible de dialoguer de manière intelligente et constructive ? | Le blog du Communicant Depuis que les médias sociaux se sont désormais immiscés dans les débats publics, on ne compte plus les thuriféraires du dialogue en ligne. A leurs yeux, le pouvoir d’expression des individus est enfin libéré pour permettre un meilleur brassage des idées. Pourtant, une récente étude du Pew Research Center tend à nettement tempérer la profondeur et la valeur des propos échangés sur le Web. Twitter, Facebook, Linkedin et consorts sont-ils véritablement des agents activateurs de discussions démocratiques comme il est de coutume de les dépeindre ou introduisent-ils au contraire des distorsions comportementales dans l’expression en ligne des individus ? Cette étonnante « spirale du silence » Les réseaux sociaux ne sont pas systématiquement le réceptacle et la chambre d’écho d’opinions diverses. Le Pew Research Centre s’est donc interrogé sur la validité de cette théorie comportementale des foules à l’heure des réseaux sociaux où les paroles foisonnent souvent plus qu’il n’en faut. Sources

The Psychology of Online Comments - The New Yorker Several weeks ago, on September 24th, Popular Science announced that it would banish comments from its Web site. The editors argued that Internet comments, particularly anonymous ones, undermine the integrity of science and lead to a culture of aggression and mockery that hinders substantive discourse. “Even a fractious minority wields enough power to skew a reader’s perception of a story,” wrote the online-content director Suzanne LaBarre, citing a recent study from the University of Wisconsin-Madison as evidence. While it’s tempting to blame the Internet, incendiary rhetoric has long been a mainstay of public discourse. Anonymity, for one thing. On the other hand, anonymity has also been shown to encourage participation; by promoting a greater sense of community identity, users don’t have to worry about standing out individually. Maria Konnikova is the author of the New York Times best-seller “Mastermind: How to Think Like Sherlock Holmes.”

How Social Media Silences Debate - NYTimes.com The Internet might be a useful tool for activists and organizers, in episodes from the Arab Spring to the Ice Bucket Challenge. But over all, it has diminished rather than enhanced political participation, according to new data. Social media, like Twitter and Facebook, has the effect of tamping down diversity of opinion and stifling debate about public affairs. It makes people less likely to voice opinions, particularly when they think their views differ from those of their friends, according to a report published Tuesday by researchers at Pew Research Center and Rutgers University. The researchers also found that those who use social media regularly are more reluctant to express dissenting views in the offline world. The Internet, it seems, is contributing to the polarization of America, as people surround themselves with people who think like them and hesitate to say anything different. Photo And in some ways, the Internet has deepened that divide.

Les réseaux sociaux polarisent-ils ou élargissent-ils le débat public ? « InternetActu.net En juin dernier, le Pew Research Center, ce think tank américain “non partisan” dédié à l’étude “des faits et tendances qui transforment notre monde”, a livré une impressionnante étude sur la montée de la polarisation du débat public aux Etats-Unis. L’étude montrait combien l’animosité partisane avait progressé sur 20 ans entre démocrates libéraux et républicains conservateurs, notamment chez les plus actifs politiquement… Elle mettait en avant la progression des chambres d’échos idéologiques – c’est-à-dire le fait que les partisans discutent de plus en plus entre eux -, renforçant ainsi leurs propres convictions, ainsi que la montée de l’antipathie mutuelle entre ce qu’on pourrait rapidement qualifier de droite et de gauche américaine. Le Pew Research Internet Project, la branche technologique du think tank vient de la compléter en s’intéressant particulièrement au rôle des médias sociaux dans la montée de cette polarisation politique. Hubert Guillaud

20 ebooks pour réfléchir sur le Web 2 et l'internet d'aujourd'hui - EPN Ressources Réfléchir sur le Web 2, l'Internet d'aujourd'hui et de demain n'est pas si aisé. Des publications en ligne gracieusement téléchargeables, que ce soit des ebooks (livres numériques), ouvrages, travaux scientifiques ou revues thématiques permettent de réfléchir aux pratiques contemporaines de l'Internet pour prendre du recul sur les utilisations et attiser sa curiosité d'esprit. Les animateurs multimédia en EPN sont en première ligne pour promouvoir auprès des publics un internet non pas consommateur mais où l'on est acteur avec un aspect citoyenneté très important. Pour vous guider dans ces réflexions, voici une sélection de 20 ebooks pour réfléchir sur le Web 2 et l'internet d'aujourd'hui : "L'Economie de l'attention" par Eric Scherrer (2008)Etude. 146 pages. "Le Dictionnaire impertinent Du Futur : Se divertir en découvrant l'avenir et... le préSent" par Anne-Caroline Paucot (2008)Livre. 204 pages. "Netvibes : l'internaute au pouvoir ou pouvoir de la contrainte ?"

Est-ce la fin des conversations sur les médias sociaux ? - MediasSociaux.fr Les médias sociaux ne sont pas des supports très stables dans la durée, ça vous le saviez (contrairement aux grands portails qui changent de look, mais proposent toujours la même chose). En revanche, aviez-vous remarqué à quel point les pratiques des internautes sur les médias sociaux avaient changés ? Je vos propose de faire le point sur cette très regrettable tendance à la non-conversation. Des médias sociaux devenus plus “médias” que “sociaux” À l’origine, les médias sociaux étaient décrits comme des supports de publication et de conversation ouverts à toutes et à tous (cf. ma définition). Or, nous constatons qu’au fil des années les conversations se sont faites de plus en plus rares. Ces deux facteurs combinés accélèrent l’évolution des usages et notamment la prédominance des contenus visuels au détriment des contenus textuels (Snapchat Is Exploding In Popularity — It’s Even Hotter Than Twitter). Garde tes opinions pour toi si tu veux rester populaire

Les 10 textes essentiels de l’histoire de la communication et de l’information | Zeboute' Blog Réfléchir à notre monde de communication, ce n’est pas picorer en permanence sur la Toile, écouter les analyses d’experts en communication ( qui se trompent souvent ), ou suivre les liens qu’on vous transmet ( par tweeter, facebook, ..). Généralement, nous restons frustrés. Par le buzz, qui s’éteindra aussi vite. Par la pauvreté de l’information. Faites votre shopping dans mon magasin. Les étudiants en sciences de l’information et de la communication peuvent aussi être perdus. Car la communication n’est pas une science, mais une croisée de chemins de plusieurs disciplines. C’est ce qui en fait sa richesse. Dans un monde aussi imprégné que l’information, sous toutes ses formes, c’est un métier passionnant que de s’intéresser à ce domaine. Voilà pourquoi se nourrit ici ces ébullitions. Voici les textes essentiels qui permettent à chacun de prendre du recul, d’avoir la pertinence dans l’analyse de notre monde réel ou virtuel. Bateson, vers une écologie de l’esprit. Mais il y en a un onzième.

Comprendre Facebook (2/3) : Facebook, technologie relationnelle « InternetActu.net La caractéristique principale du web social, dont Facebook est l’emblème, est de lier les activités des gens sur internet. Facebook n’est pas un trombinoscope ou un annuaire comme on l’entend souvent, car s’il n’était que cela, il ne permettrait pas d’action, autre que la présentation de profils. Les profils ne sont qu’une porte d’entrée : c’est l’activité communicationnelle qui fait média. Qu’est-ce qu’un média social ? Pour comprendre ce qu’est un média social, il faut en revenir à ce qu’est un média, « un support de diffusion massive de l’information ». « Les médias sociaux sont des médias pour l’interaction sociale », explique la version anglaise de la définition de Wikipédia : « C’est l’usage de technologies web ou mobile pour transformer les communications en dialogue interactif ». Image issue du bêtisier des captures d’écrans de Facebook, Zéros Sociaux. La précision est d’importance. Nous sommes entrés dans l’ère des plateformes sociales Et surtout, nul n’en a la même vision.

How Comments Shape Perceptions of Sites' Quality—and Affect Traffic Even if you don't realize it, unmoderated comments change the way you think about what you read. There’s a game I like to play sometimes. It’s called “How many Internet comments do I have to read until I lose faith in humanity?” All too often, the answer is: one comment. From The Atlantic to Yahoo to YouTube, online comments are often ignorant, racist, sexist, threatening, or otherwise worthless. A couple of weeks ago, National Journal changed its comments policy, opting to eliminate comments on most stories as a way to stem the flood of abuse that appeared on the site. For all the boycott threats and comparisons to Hitler, though… the site seems to be doing better now. What happened here? One theory: By cutting out comments, the site is better able to draw attention to its most deserving content—the articles themselves. This intrigued me because I found it somewhat counterintuitive. But what about the many sites that opt for a less hands-on approach? That was not the case.

Related: