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Verbes_Bloom

Qui connaît la taxonomie de Bloom Schéma d'Olivier Legrand (détail) C’est un exemple pur de la façon dont la twittosphère peut dévorer notre temps. Mais c’est aussi l’inverse : une preuve de l’intérêt à s’exposer l’esprit à des centaines de sollicitations imprévues et à se laisser emporter par ses élans de curiosité. C’est également une illustration de ce que j’appelle le merveilleux éducatif : ce qui fait que l’exploration de la planète éducation n’est jamais terminée. Le merveilleux éducatif (à ne pas confondre avec le pittoresque, façon « j’ai survécu dans l’enfer du neuf-trois ») fait voyager non seulement à travers les classes, les salles des profs ou les amphis, mais aussi à travers les époques, les concepts et les délectables controverses que génère le thème « éducation ». Au cours d’une déambulation sur Twitter, je suis, donc, tombé sur la taxonomie de Bloom. Autant dire que tout travail d’analyse, d’une certaine façon, commence par une démarche de taxonomie. La notion d'objectifs pédagogiques Et Bloom ? Luc Cédelle

la pédagogie par objectifs | Didac2b la pédagogie par objectifs Les applications du type Opale suggèrent de présenter les objectifs en début de séquence. Obnubilés par la dernière innovation web 2.0, par une interpolation de mouvement dans un logiciel qui fait du flash « sans connaissance de l’Actionscript » ou par une pop-up qui ne veut pas s’ouvrir chez un stagiaire, nous avions un peu oublié ce que sont ces objectifs. Rafraichissement : Les objectifs pédagogiques ont été popularisés par Mager et Bloom au début des années 60. Elle propose de commencer la formation par une question simple. sous forme de comportement observable décrits par des verbes d’action (la performance) ;avec des critères précis (le niveau de performance) ;et une indication des conditions de réalisation. Dans la formation, une séquence est la période pendant laquelle on traite d’un objectif. Pour rédiger un objectif, on utilise des verbes d’action qui décrivent des comportements observables. La taxonomie de Bloom peut nous y aider : La taxonomie de Bloom

Taxonomie de Bloom Plus récemment, d'autres auteurs (Wang, Haertel et Walberg, 1993) ont souligné l'effet de variables complémentaires telles que les processus métacognitifs ou le climat de la classe. Les élèves sont aidés quand et là où ils rencontrent des difficultés: la pédagogie de maîtrise insiste beaucoup sur l'importance des remédiations qui vont de pair avec l'évaluation permanente des acquis des élèves. A ce propos, Bloom parle d'évaluation formative pour désigner une forme d'évaluation intégrée au processus d'apprentissage et dont le but est le diagnostic immédiat des difficultés pour pouvoir y apporter une réponse rapide sous la forme de remédiations ajustées aux besoins de chacun. La régulation permanente des apprentissages à travers la passation régulière de tests et l'apport judicieux d'activités de remédiation permet, selon Bloom, d'envisager un enseignement collectif dont l'efficacité ne serait pas loin d'égaler les effets du tutorat individuel.

Taxonomie de Bloom Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La roue de la taxonomie de Bloom. La taxonomie de Bloom est un modèle pédagogique proposant une classification des niveaux d'acquisition des connaissances[1]. Benjamin Bloom, bien qu'il n'en soit pas le seul créateur (34 universitaires américains participent aux conférences de 1949 à 1953), est souvent reconnu comme le « père » de cet outil[2],[3]. Description[modifier | modifier le code] La taxonomie organise l'information de façon hiérarchique, de la simple restitution de faits jusqu'à la manipulation complexe des concepts, qui est souvent mise en œuvre par les facultés cognitives dites supérieures[4]. Composition[modifier | modifier le code] La taxonomie des objectifs éducationnels selon Bloom. Elle peut être résumée en six niveaux, chaque niveau supérieur englobant les niveaux précédents. Révision[modifier | modifier le code] Ainsi en 2001 une taxonomie révisée de Bloom a été proposée par plusieurs auteurs dont Lorin W. Taxonomie de van Hiele

Le guide complet de la taxonomie de Bloom En 1956, Benjamin Bloom et ses collaborateurs Max Englehart, Edward Furst, Walter Hill et David Krathwohl ont publié un cadre de catégorisation des objectifs pédagogiques. Intitulé la taxonomie de Bloom, ce cadre a été appliqué par des générations d’enseignants de la maternelle au lycée et par des professeurs d’université dans leurs méthodes d’enseignement. En outre, le cadre élaboré par Bloom et ses collaborateurs se compose de six grandes catégories : connaissance, compréhension, application, analyse, synthèse et évaluation. Alors que chaque catégorie contenait des sous-catégories, toutes situées le long d’un continuum allant du simple au complexe et du concret à l’abstrait, Un peu de difficulté à comprendre la phrase : « la taxonomie est généralement rappelée selon les 6 niveaux de la taxonomie ». Qu’est-ce que la taxonomie de Bloom ? En plus, elle est souvent représentée sous la forme d’une pyramide — similaire à la hiérarchie des besoins de Maslow. Les niveaux de la taxonomie de Bloom

La « flipped taxonomie » Marcel LEBRUN Nous avons, dans la vidéo précédente, parler de la cohérence des objectifs, des méthodes, de l’évaluation … des outils. Les objectifs sont souvent décrits par un verbe (un savoir-faire, un savoir-agir, un savoir-être …) qui s’applique sur un nominatif (un contenu, un savoir, un savoir-faire …) : l’étudiant sera capable de « Verbe » à propos d’un « nominatif », par exemple, l’étudiant capable de citer les composantes de l’alignement constructiviste (épisode 2), l’étudiant sera capable d’appliquer la loi de Newton … Le « sera capable » associé au « verbe » est désigné par la notion de capacité. Cette capacité constitue encore un état potentiel … il sera capable, oui mais quand ? La compétence veut dépasser cet état potentiel, mettre l’objectif, l’intention en état de fonctionner. La compétence est donc un « CCC », une ou des Capacités, qui s’appuie sur des Contenus pour résoudre des problèmes dans un Contexte donné, ou dans des familles de contextes donnés. L’avez-vous remarqué ?

Bloom's Digital Taxonomy Verbs [Infographic] When using Bloom’s Digital Taxonomy (a revised take on Bloom’s devised by educator Andrew Churches), it helps to have a list of verbs to know what actions define each stage of the taxonomy. This is useful for lesson planning, rubric making, and any other teacher-oriented task requiring planning and assessment strategies. The Bloom’s Digital Taxonomy verbs in this handy infographic apply specifically to each stage of the taxonomy. They progress from LOTS (lower-order thinking skills) to the HOTS (higher-order thinking skills). According to Churches on his wiki Edorigami, “Bloom’s Revised Taxonomy describes many traditional classroom practices, behaviours and actions, but does not account for the new processes and actions associated with Web 2.0 technologies …” This means the verbs listed below are applicable to facilitating technology use in the modern classrooms. A Quick Reference Tool for Bloom’s Taxonomy Verbs Poster Files For You

SOLO Taxonomy | John Biggs click to view a bigger version As learning progresses it becomes more complex. SOLO, which stands for the Structure of the Observed Learning Outcome, is a means of classifying learning outcomes in terms of their complexity, enabling us to assess students’ work in terms of its quality not of how many bits of this and of that they have got right. At first we pick up only one or few aspects of the task (unistructural), then several aspects but they are unrelated (multistructural), then we learn how to integrate them into a whole (relational), and finally, we are able to generalised that whole to as yet untaught applications (extended abstract). The diagram lists verbs typical of each such level. SOLO can be used not only in assessment, but in designing the curriculum in terms of the learning outcomes intended, which is helpful in implementing constructive alignment.

Les objectifs pédagogiques : guide pratique (3/3) Les objectifs pédagogiques : guide pratique (3/3) Un objectif pédagogique doit être exprimé avec précision et clarté, mais ce n’est pas suffisant : Pour être complet, un objectif pédagogique devrait comporter (« devrait », car dans la pratique, les objectifs pédagogiques comportent rarement tous ces éléments) : Un comportement observable (c’est-à-dire vérifiable de manière formelle) : le comportement est indiqué par le verbe dont l’apprenant est le sujet, par exemple :« être capable de remplacer un disque dur SATA défectueux par un disque en bon état ayant les même caractéristiques techniques »Des conditions d’exécution, précisant comment est effectuée l’action, par exemple :« en utilisant la documentation constructeur n° XY-385″Des critères de performances, qui précisent les limites d’acceptation de l’action effectuée, par exemple :« en moins de 30 minutes, et avec un taux d’erreur de moins de 5% » Quelques exemples d’objectifs pédagogiques précis et complets :

Taxonomie de Bloom Appellation en anglais Bloom’s taxonomy - The taxonomy of educational objectives Résumé introductif La taxonomie de Bloom (1956) est un modèle de conception pédagogique qui consiste à regrouper des objectifs d'apprentissage, du plus simple au plus complexe, en 6 catégories ou types d'activités du domaine cognitif: la connaissance, la compréhension, l'application, l'analyse, la synthèse et l’évaluation. Les objectifs y sont cloisonnés selon les domaines cognitif, psychomoteur et psychoaffectif. En voulant s’intéresser aux compétences observables, Bloom et ses collaborateurs ont déterminé des verbes d’action associés à chacun des niveaux cognitifs (inférieur ou supérieur) permettant ainsi de formuler des objectifs d’apprentissage. Stratégies apparentées Type de stratégie Cette stratégie est du type modèle, car elle vise en premier lieu le découpage et l’ordonnancement du contenu d’enseignement sous forme de progression pédagogique. Types de connaissances Description « 1. 2. 3. 4. 5. 6.

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