background preloader

Conscience morale, empathie et psychopathie - L'intelligence émotionnelle

Conscience morale, empathie et psychopathie - L'intelligence émotionnelle
« La conscience est la lumière de l'intelligence pour distinguer le bien du mal. » Bien que séparé par près de 2 500 ans d'histoire, cette citation de CONFUCIUS n'aurait certainement pas déplu à Antonio DAMASIO et son équipe pour qui : « Les émotions sont inséparables de l'idée de récompense ou de punition, de plaisir ou de peine, d'approche ou de retrait, d'avantage ou de désavantage personnel. Inévitablement, les émotions sont inséparables de l'idée de bien et de mal »[1]. Ces chercheurs se sont fixés pour tâche de percer les mystères de la conscience, de la raison et des émotions, en étudiant un très large panel de personnes atteintes de troubles neurologiques suite à divers traumatismes cérébraux. Mais qu'est-ce que la notion de bien et de mal a à voir avec la conscience et/ou les émotions (i.e. l'intelligence émotionnelle) ? C'est ce que nous allons découvrir dans cet article en explorant plusieurs voies. Un si fragile vernis d'humanité - Banalité du mal, banalité du bien Conclusion Related:  cognition, intelligences

Conférence de M Philippe CHAMONT, psychanalyste Transcription intégrale de la conférence donnée à l’intention de l’ensemble du personnel de la communauté éducative de l’académie de Toulouse le 20 mars 2002, Espace Hermès - lycée Charles de Gaulle – MURET. Imaginez, une famille de 4 enfants. L’aîné a 13 ans et le plus jeune a 4 ans. L’aîné a passé toutes les grandes vacances à se balader avec un bob sur la tête, il mangeait, courait donc il passait tout son temps avec le bob. Un jour, il pleuvait et il a posé son bob sur sa chaise, et naturellement le bob dégouline sur le sol. Cela, c’est un mot d’enfant, cela veut dire quelque chose qui peut appartenir à n’importe quel enfant, mais d’un autre côté, un autre me disait un jour : « Peut-être qu’en allant très loin dans l’espace on sort du jouet d’un enfant. » Et une autre enfant de huit ans disait « j ’aimerais bien que ma tête soit au cimetière. » Je dis bien « souvent », car il existe des précoces heureux. Effectivement, il peut être tout ceci. L’énurésie.

La valeur morale des émotions dans le christianisme médiéval | Les émotions au Moyen Âge, carnet d'EMMA Texte d’une communication donnée le 25 novembre 2011 à l’université de Paris X Nanterre lors de la journée d’études interdisciplinaires « MORALE ET COGNITION : LES ÉMOTIONS ». Pour préparer cette communication, je me suis appuyé sur l’un des ouvrages collectifs de notre programme de recherche EMMA, Le Sujet des émotions au Moyen Âge (Paris, Beauchesne, 2009) même si les idées exprimées ici relèvent, comme il est convenu de le dire, de ma seule responsabilité. Les considérations nouvelles autour des émotions dans les « sciences » de l’homme (de la philosophie de l’esprit à la psychologie cognitive, voire aux neurosciences), ont eu un véritable effet déclencheur pour nous autres historiens depuis une douzaine d’années. Cela a été particulièrement sensible chez les spécialistes du Moyen Âge. Je veux dire qu’appréhender l’émotion comme une instance d’évaluation morale et cognitive ouvre de nouveaux horizons. Nécessairement, ce que je vais présenter sera très parcellaire. – les Écritures.

Comment reconnaître un "surdoué" d'un "haut-potentiel" ? Je reçois régulièrement des gens qui se demandent s’ils sont surdoués. Ils se sont, me disent-ils, reconnus dans les caractéristiques qu’ils ont pu lire, sur Internet ou dans des livres. Je les interroge alors pour savoir ce sur quoi ils se sont reconnus. - Un surdoué est quelqu’un d’hypersensible. - C’est quelqu’un qui a des problèmes de communication, qui remet tout à demain, qui procrastine donc, qui ne termine jamais ce qu’il entreprend, qui ne sait pas se concentrer et qui est dispersé. - Quelqu’un qui a des problèmes sociaux, voire est asocial. - Il a su lire avant les autres, parfois tout seul. - Ils sont créatifs et ont de l’imagination. - On dit qu’ils ont de la mémoire, mais, souvent, ce n’est pas le cas. - Ils ne savent pas parler de la pluie et du beau temps, s’ennuient en société, n’aiment pas la compagnie des autres. On ne trouve dans ces énumérations que peu, ou pas de référence à l’intelligence – à la quantité d’intelligence, je veux dire. Une question de vocabulaire

« Le livre des vrais surdoués. Surdoués et heureux ! » – Béatrice Millêtre – Over the 130 J’ai découvert cet ouvrage hier. Et je vous le recommande chaudement ! Plus que chaudement, je vous le conseille, vous encourage à le lire, à le partager avec votre entourage, bref à en faire un de vos livres de référence sur le HPI. Personnellement, je l’ai érigé en livre de chevet, et j’en ai fait MA référence sur le sujet des surdoué-e-s. Des informations claires et accessibles L’ouvrage est court, très clairement rédigé et très agréablement assumé. Que l’on soit déjà connaisseu-se-r-s du sujet, concerné-e-s directement ou indirectement, l’ouvrage est accessible à tou-te-s. Un gros point positif pour moi, l’ouvrage s’adresse directement à ses lect-rice-eur-s. Tout un tas de références scientifiques actuelles Et que ça fait du bien ! Un message résolument positif, dynamique et responsabilisant L’auteur nous présente l’autre aspect de la réalité des surdoué-e-s. Qui, non seulement vont bien, mais vont même MIEUX que les neurotypiques. Cet ouvrages dit du bien de nous ! Conclusion WordPress:

Si les gens incompétents se surestiment, c’est à cause d’un effet scientifique Psycho et sexo Bien que l’effet Dunning-Kruger tende à faire sourire, il est plus préoccupant dans la sphère du travail, ou lorsqu’il touche des chirurgiens. « L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit » affirmait Aristote. Vous avez certainement déjà entendu dans une discussion une personne s’exprimer sur un sujet qu’elle ne maîtrisait pas du tout avec assurance. Cette attitude n’aurait rien d’un acte isolé, et répondrait en fait à un biais cognitif, déformant la pensée. L’effet Dunning-Kruger correspond à des personnes qui croient qu’elles sont plus intelligentes et capables qu’elles ne le sont réellement. L’origine : Un braqueur de banques avec du jus de citron sur le visage Ce terme a été créé en 1999 par deux psychologues David Dunning et Justin Kruger. Les deux psychologues décident de mener une étude pour tester leurs différentes hypothèses : Ils commencent à tester des étudiants de l’université Cornell en grammaire, en logique et en humour. Dans la vie quotidienne

Les agnosies spatiales « Nos yeux ne nous trompent […] pas seulement dans la grandeur des corps en eux-mêmes, mais aussi dans les rapports que les corps ont entre eux. » Malebranche, La Recherche de la vérité Agir dans le monde qui nous environne implique de pouvoir connaître les paramètres spatiaux des objets (volume, direction, mouvement), leurs relations spatiales, mais implique aussi de savoir mobiliser notre corps au sein d’un espace réel déjà connu ou exploré grâce à la lecture, sur carte ou sur plan, de relations topographiques. On peut, avec Hecaen (1972), distinguer les troubles de la perception spatiale et les troubles de la manipulation et de la mémoire des données spatiales et topographiques. Les troubles de la perception spatiale La désorientation visuelle de Holmes et Horrax Figure 8.1.Exemple extrait du test de jugement de direction de lignes de Benton (1978). Les troubles de la perception spatiale sont liés à des lésions postérieures des hémisphères cérébraux, particulièrement du côté droit.

Les ultracrépidariens : des personnes qui donnent leur avis sans avoir de connaissances sur le sujet Les ultracrépidariens, loin d’être en voie d’extinction, sont de plus en plus nombreux chaque jour. Ce sont ces personnes qui donnent leur avis sur tout mais sans avoir de connaissances ou de compétences sur les sujets évoqués. Elles ne se taisent jamais, nous corrigent, nous suggèrent des tonnes de choses, veulent sauver le monde et sous-estiment les véritables experts dans un domaine. Il est curieux de voir à quel point notre langage est riche. En anglais, on utilise le mot ultracrepidarianism, en espagnol, ultracrepidarianismo, en bosniaque, ultrakrepidarianizam… Nous avons tous donné un nom à ce profil qui possède une tendance presque obsessionnelle à donner son avis sur des sujets qu’il ne contrôle même pas. Cependant, le faire avec humilité et en comprenant que nous ne pouvons pas dominer tous les sujets de la vie peut en dire beaucoup sur nous. Les ultracrépidariens ont réponse à tout. Les ultracrépidariens et l’effet Dunning-Kruger

Privacy settings Tout comme la plupart des sites web, ce site utilise des cookies informatiques. Par le biais de ces cookies, nous collectons des informations sur votre visite et vos intérêts. Cela nous permet d’offrir gratuitement notre contenu de manière permanente et d’afficher un site web personnalisé et des publicités pertinentes, pour que ce soit intéressant pour vous à tout moment. Le respect de votre vie privée est au cœur de notre politique en matière de cookies. Pour continuer sur notre site, nous devons donc demander votre permission pour vous offrir une expérience de navigation optimale. Merci de votre confiance et bon divertissement. Des sites web utilisent des technologies pour accroître la convivialité et rendre le site web aussi intéressant que possible pour chaque visiteur. Étant donné qu’il est impossible d’inférer des coordonnées, telles que l’adresse, l’adresse e-mail ou le numéro de téléphone, à partir des cookies, ils ne sont pas utilisés pour le marketing direct via ces canaux.

Conscience (biologie) En biologie, la conscience regroupe le sens de l'éveil, la connaissance de soi et la perception de l'environnement[1]. L'étude de ce phénomène a été longtemps négligée sur le plan scientifique, faute d'outils conceptuels et expérimentaux[2], tandis qu'il faisait l'objet d'intenses débats dans les domaines de la philosophie, de la métaphysique, de la religion et de la psychologie. En ce début du XXIe siècle, s'il n’existe pas encore d’explication complète de la conscience, les neurosciences commencent à décrypter le support biologique du phénomène de l'esprit, en particulier avec Antonio Damasio, qui montre dans son livre L'erreur de Descartes, que l'esprit et le corps fonctionnent de manière indissociable[3]. Dans les années 1980, les études du phénomène de la conscience concernaient surtout l'attention. Parmi les états de conscience, on peut distinguer des états normaux, des états altérés (par des maladies, des traumatismes...) et des états modifiés (par des psychotropes...).

Related: