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Collaborative consumption

Collaborative consumption

http://www.ted.com/talks/rachel_botsman_the_case_for_collaborative_consumption.html

Partage, P2P… économie collaborative! Boostés par les outils web et la crise, la consommation collaborative émerge comme une véritable alternative à une société propriétaire. De la voiture partagée au booksurfing, Antonin Léonard dissèque les nouvelles tendances. Un jour, nous regarderons le XXe siècle et nous nous demanderons pourquoi nous possédions autant de choses affirmait récemment Bryan Walsh dans TIME Magazine qui consacrait la Consommation Collaborative comme l’une des dix idées amenées à changer le monde. L’économie du partage se propage : du transport aux voyages en passant par l’alimentation, le financement de projets et la distribution, tous les secteurs ou presque voient cette nouvelle économie émerger. 100 sites pour consommer sans posséder Voici une première tentative (à ma connaissance) de création d’une liste d’initiatives françaises (ou ayant des activités en France) sur la consommation collaborative (voir la définition au bas de cet article). Dans cette liste, le parti pris a été d’indiquer les initiatives relevant des formes nouvelles d’échange entre particuliers (partage, troc, échange, location) ainsi que les nouveaux styles de vie collaboratifs (crowdfunding, coworking, colunching ...) mais aussi des initiatives se situant aux limites du sujet mais qui méritaient d’être mises en avant pour l’innovation sociale qu’elles représentent. N’hésitez pas à apporter vos contributions à cette liste collaborative ! Alimentation Achat groupé direct au producteur

Les consommateurs européens se mettent au collaboratif L’observatoire de Cetelem vient de sortir une étude sur les tendances actuelles de consommation : Le consommateur européen en mode alternatif. Cette étude, effectuée sur 6500 personnes représentants 12 pays européens fait ressortir le fait que dans un contexte de crise les consommateurs cherchent des solutions alternatives. Ainsi le moral des européens serait en baisse par rapport à 2012 tout comme les intentions de consommation pour l’année 2013. Dans le même temps les ménages souhaitent épargner, ces données confirment le contexte de crise.

La consommation collaborative Les préoccupations environnementales, la crise, mais aussi la résurgence du concept de « communauté » et le développement des technologies Peer to Peer sont à la base d’une véritable révolution appelée « Consommation Collaborative ». Le principe est de promouvoir l’accès plutôt que la propriété pour passer d’un statut de consommateur passif à celui de collaborateur actif. Ainsi recycler, partager, louer, échanger, prêter, donner, sont des concepts remis au gout du jour grâce aux nouvelles technologies mais aussi à l’évolution des comportements. La société est non seulement entrain de réinventer ce qu’elle consomme mais surtout la manière dont elle consomme ! Ce constat, c’est à Rachel Botsman qu’on le doit. Ses recherches l’ont en effet amenée à identifier 3 modèles différents mais complémentaires :

Volkswagen - autopartage - Hanovre La ville de Hanovre et le constructeur ont conclu un accord pour la mise en place du concept. « Les points forts de ce projet, en plus d’utiliser la très économe Golf BlueMotion, résident dans la forte disponibilité des véhicules et la facilité d’utilisation. Nous mettons ce concept à disposition aussi bien de clients privés, d’étudiants, de collectivités ou d’utilisateurs professionnels », a commenté Christian Klingler, responsable des ventes et du marketing pour la marque Volkswagen. Le premier modèle de la flotte d’autopartage sera la Volkswagen Golf BlueMotion Le moteur de 1.6 TDI 105 ch de la Volkswagen Golf BlueMotion présente une consommation moyenne de carburant de 3,8 litres pour 100 kilomètres, ce qui correspond à des rejets de 99 grammes de CO2 par kilomètre.

Vers l'économie du don Le monde nouveau qui s’amorce est le signe d’un changement de paradigme économique, une forme nouvelle des modalités des échanges entre les personnes, les institutions… Dans un monde matériel, ces échanges étaient fondés sur la rareté des ressources, tarissables et/ou périssables. Des biens qu’il fallait conserver et stocker en réserve en prévision de catastrophes naturelles ou humaines potentielles détruisant temporairement les sources ou les moyens d’approvisionnement. L’histoire économique a fonctionné sur ces mécaniques de production, stockage et protection des richesses, la propriété des ressources matérielles, de l’outil de production et des stocks conféraient le pouvoir.

Dix choses que les gens heureux font différemment des autres Merci à catherine simon qui ma indiqué cet article et je me retrouve beaucoup plus dans celui là que dans le précédent. "Le bonheur est d'avoir dans une autre ville une grande famille soudée et attentionnée" -George Burns Jusqu'à quel point êtes-vous heureux et pourquoi ? C'est une question à laquelle j'ai consacré pas mal de temps, non seulement parce qu'elle concerne ma propre évaluation du bonheur, mais aussi ma famille, mes amis et les personnes avec lesquelles je travaille. Comment l’économie du partage crée du lien social Alors que les échanges marchands créent de plus en plus d'exclusion sociale et de défiance, l'économie du partage, par le don, transforme les relations grâce à la reconnaissance et l'inter-dépendance. Le XXème siècle aura été incontestablement celui de l’échange marchand. Jamais l’humanité n’avait autant commercé, exporté, importé. Jamais les transactions n’avaient été aussi simples et rapides. Le volume du commerce mondial a triplé depuis la chute du mur de Berlin et a connu une croissance presque exponentielle [en] jusqu’à la crise économique de 2008.

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