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Aqueduc romain

Aqueduc romain

La cuisine romaine - Civilisation romaine L'alimentation Sous la Royauté, les repas sont simples. Les Romains consomment essentiellement des bouillies de céréales. Ce sont des bouillies épaisses, parfois de la bouillie de farine. Il consomment également des fèves, légumes, du lard et un peu de vin. Le vin est interdit aux femmes et aux jeunes gens. Progressivement, la composition des repas évolue. Les gens du peuple se contentent de repas plus simples, le plus souvent fournis par leur patron. Les repas A l'époque royale et sous la République, les jeunes filles romaines ne peuvent pas participer à des repas où sont conviées des personnes mariées. A l'époque royale, les repas sont pris dans l'atrium. Les riches Romains organisent parfois des banquets. Cependant, sous l'Empire, certains hôtes peu délicats n'hésitent pas à se réserver les meilleurs morceaux et à servir des plats de piètre qualité à leurs invités. Les esclaves reçoivent quotidiennement leur ration. Il y a trois repas dans la journée du Romain. a) Le petit déjeuner Loirs.

Repas dans la Rome antique Un repas léger possible à l'époque romaine. Les Romains prenaient leur repas principal (cena, la « cène ») en soirée. Ils pouvaient le prolonger tard dans la nuit, un peu comme en Espagne ou d'autres pays méditerranéens aujourd'hui. On distribuait gratuitement, sous l'empire, du pain aux pauvres pour améliorer l'image publique de l'empereur. Les différents repas[modifier | modifier le wikicode] Le petit déjeuner : Jentaculum[modifier | modifier le wikicode] Chez les Romains, le petit déjeuner (jentaculum) est frugal : on y mange un peu de pain, du fromage, quelques olives ou des biscuits. Le déjeuner : Prandium[modifier | modifier le wikicode] Jusqu'au soir, les Romains ne mangent que peu de chose. Le dîner : Cena[modifier | modifier le wikicode] La cena, le dîner du soir, est le seul vrai repas de la journée. Les pauvres et les riches ne mangent pas les mêmes choses ni aux mêmes endroits. Les repas sont préparés par les esclaves chez "les riches" et par les femmes chez "les plus pauvres".

Les repas de tous les jours : leur déroulement chez les Romains D'après les textes dont nous disposons, nous pouvons voir que les Romains de l'époque classique prennent en général trois repas par jour même si certain empereur, particulièrement vorace en prenait parfois quatre et des plus abondants (Suétone, Vitellius). Ces trois repas sont : au réveil le jentaculum (petit déjeuner), vers midi, le prandium (déjeuner) et vers 15 heures la cena (dîner) qui se termine, en principe, à la tombée de la nuit. En fait, comme aujourd'hui pour ceux qui pratiquent le journée continue, le petit déjeuner se réduit à l'absorption d'une coupe d'eau pure accompagnée d'un morceau de pain ; le déjeuner est soit supprimé soit avalé sur le pouce et sans qu'on se mette à table ; il est composé de pain accompagné d'un morceau de fromage, d'olives ou de fruits. Le seul repas où l'on mange des plats chauds est donc la cena que l'on prend au sortir des thermes, détente après les activités journalières. Revenons en ville et entrons dans le triclinium.

Cuisine romaine - LEGION VIII AUGUSTA Recettes romaines -> Sur la cuisine romaine peu de sources nous sont parvenues, puisque qu’un ouvrage complet a été conservé : le « De re coquinaria » d’Apicius (gourmet qui vécut sous le règne de Tibère). D’autres recettes nous sont parvenues, notamment les traités d’agriculture de Caton (234-149 av. J.-C.), Varron (116-27 av. La littérature culinaire romaine est tardive car la cuisine n’a commencé à être » tenue pour un art » (Tite-Live) qu’à partir du IIIe siècle avant J.C., époque à laquelle les administrateurs et officiers romains ramenèrent de leurs expéditions en Grèce et en Asie le goût des bons petits plats. Les Romains appréciaient la cuisine parfumée et bon nombre d’herbes et plantes aromatiques étaient utilisées : persil, bourrache, cerfeuil, coriandre, aneth, fenouil, menthe, thym, ail, oignon, poireau, échalote, hysope, romarin, sauge, sarriette, marjolaine, radis, … Le sel n’était utilisé que rarement et en très faibles quantités. Quelques ingrédients

Le Colisée, un amphithéâtre pour le peuple romain | Odysseum Les origines du Colisée Rome était friande des spectacles, notamment des combats de gladiateurs. Sous le règne d’Auguste fut construit à Rome un premier amphithéâtre en pierre. Le règne de l’empereur Néron (54-68 après J.-C.) fut particulièrement destructeur pour la ville. La façade du Colisée Il est d’abord à noter qu’une dizaine d’années suffirent à construire cet amphithéâtre, ce qui atteste déjà du génie des Romains. Le Colisée est composé de quatre niveaux distincts, encore visibles aujourd’hui sur la partie Nord de l’édifice, mais incomplets sur la partie Sud. Sur la façade extérieure du Colisée, on observe trois niveaux d’arches respectivement décorés de colonnes toscanes, ioniques et corinthiennes de bas en haut ; le niveau supérieur est un attique, c’est-à-dire un étage plus étroit au sommet, percé de fenêtres. Une place pour chacun à l’intérieur du Colisée À l’intérieur de l’amphithéâtre, on peut distinguer quatre parties : L’histoire du Colisée

La cuisine romaine | Odysseum Les Romains n’ont pas toujours été connus dans l’Histoire pour être de fins gastronomes : peuple de paysans et de soldats, ils sont appelés dans une pièce de Plaute les « mangeurs de bouillie » ! Au contact des Grecs et des autres civilisations de l’Empire, leurs goûts vont cependant s’affiner, s’enrichir de nouveaux aliments, au point que nous avons gardé dans la littérature des récits de véritables festins et même un manuel culinaire ! Les ingrédients de la cuisine romaine Grâce à l’archéologie, à l’étude des images et textes antiques, il est possible de connaître le contenu des assiettes. Ils étaient en revanche très riches en herbes aromatiques : coriandre, origan, menthe, thym, fenouil, sauge ou encore la rue, oubliée aujourd’hui car on lui prête des propriétés abortives. La cuisine se faisait à l’huile, conservée dans des amphores en terre cuite. Etait-elle bonne ? Dans la maison romaine, la cuisine - quand il y en avait une ! L’organisation des repas Fantasme ou réalité ?

Les gladiateurs : combats et spectacles | Odysseum Les combats de gladiateurs sont un point de civilisation largement étudié et commenté. Ils ont suscité et suscitent encore la curiosité, l’admiration ou à l'inverse : le mépris. Les documents qui témoignent de ces combats et de leurs protagonistes sont nombreux : textes, inscriptions et iconographies, de toutes époques à partir du IIIe siècle avant J. Qui sont les gladiateurs ? Comme Cicéron le rappelle dans les Tusculanes, les gladiateurs sont des hommes déchus de leur citoyenneté romaine, des prisonniers de guerre, des condamnés à mort, ou encore des esclaves. Il existe de nombreux types de gladiateurs avec des équipements plus ou moins lourds. Lorsque les gladiateurs se distinguent, les combats peuvent rapporter beaucoup d’argent au combattant et à celui qui l’a formé. Les combats : un plaisir pour le peuple, une démonstration de puissance pour les hommes politiques Les spectacles étaient souvent offerts par de riches Romains. Des sentiments ambivalents

Le théâtre grec et le théâtre romain : espace et architecture | Odysseum 1. Le théâtre grec Lors des représentations antiques, à la dualité fondamentale chœur / personnages des pièces jouées, correspondait une dualité architecturale dans l’espace théâtral : réservée aux évolutions du chœur, l’orchestra, aire parfaitement circulaire en terre battue (d'environ 20 m de diamètre) avec en son centre l’autel rond de Dionysos ; pour les acteurs, une longue estrade, haute d’un ou deux mètres, assez étroite, le proskenion ; entre les deux, sans doute, quelques marches, permettant aux acteurs et au chœur de communiquer et d'échanger entre eux au cours de la représentation. Généralement adossés au flanc d'une colline, les gradins pour les spectateurs, le théâtron proprement dit (l'espace où "on regarde", du verbe theaomai) dessine autour de l'orchestra un peu plus d'un hémicycle. Plan du théâtre de Dionysos (où se déroulaient les Grandes Dionysies) à Athènes, à l'époque de Périclès (Ve siècle avant J. 2. En 55 avant J.

Les thermes romains | Odysseum Les riches Romains, amateurs de fontaines et de bassins, possèdent des bains dans leur maison privée. Les premiers thermes publics sont construits pour l'usage d'une population modeste puis se développent pour devenir un élément essentiel de l'urbanisme romain, symbole de puissance et de richesse. Ils illustrent le modèle de vie du citoyen, attentif aux soins du corps et avide d'échanges sociaux et amicaux. S'y accomplit un "rite de socialité" (P. La multiplication des thermes dépend du développement du réseau hydraulique. L'hypocauste (16) est perfectionné pour s'adapter aux vastes constructions publiques. Sous l'Empire, tout Romain se rend aux bains quotidiennement. Les thermes ne sont pas mixtes mais les femmes accèdent aux bains par des salles réservées en périphérie du bâtiment central. Amis ou simples citoyens conversent, suivent des conférences à moins qu'ils ne préfèrent lire dans la bibliothèque ou se promener sous les portiques (2) et dans les jardins attenants.

Antiqliché #2 – le pouce vers le bas condamne-t-il un gladiateur ? Figurez-vous cette scène : dans l’amphithéâtre, un après-midi d’il y a presque 2000 ans, Kalendio le rétiaire (à droite sur l’image), affronte un autre gladiateur en combat singulier, Astyanax, un secutor, (à gauche). La lutte est âpre, et dans un premier temps, Kalendio réussit à emprisonner Astyanax dans son filet. Il le menace alors de son trident… Astyanax est en mauvaise posture, mais il peut compter sur son grand bouclier pour tenter de parer les attaques. Dans un incroyable retournement de situation, Astyanax réussit à se dépêtrer du filet et prend l’avantage sur son adversaire, qu’il blesse à la jambe avec son glaive court. L’auteur de cette mosaïque n’a pas représenté l’ultime étape du combat mais on sait que Kalendio n’aura pas la vie sauve. Si vous aviez à imaginer les quelques secondes qui nous amènent à la mise à mort de Kalendio par Astyanax, laquelle de ces options choisissez-vous instantanément ? A. B. C. Article Gladiator – Daremberg et Saglio (1877) J. – en 1812 / L.V.

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