background preloader

L'économie sociale et solidaire

L'économie sociale et solidaire
Related:  ESS et pauvreté-exclusion

Les doutes de Jeremy Rifkin sur "l'économie du partage" Dans "Les Échos" du 2 octobre 2014, Jeremy Rifkin brosse la vision d'une "économie hybride entre capitalisme et partage". Frictions et collaboration entre "l'économie collaborative" et les "oligopoles du Net" Dans son entretien aux "Les Échos" , Jeremy Rifkin reconnaît d'abord une tension entre "l'économie du partage" et la tendance à l'oligopolisation dans certains secteurs du numérique sous la houlette des grands acteurs venus d'Internet. Or, cette tension est une réactualisation de celle qui est apparue à partir de la popularisation du web au milieu des années 1990, mais elle a en quelque sorte pris une ampleur phénoménale du fait du succès de certains modèles économiques. L'enjeu nouveau porte bien en effet sur "l'Internet des objets/machines" et surtout les modes de production "déconcentrés". Mais il y a donc un paradoxe dans le modèle esquissé par J. Plus fondamentalement, J. La question cruciale de la rémunération des "prosommateurs" Un enjeu énergétique fondamental J.

Le circuit économique Sélectionné pour la Nuit du film scientifique, samedi 8 juin à Paris Suivez le circuit, parfois inattendu, de l’argent dépensé par Mademoiselle Rose pour l’achat d’une boîte de petits pois dans un supermarché ! De Mademoiselle Rose à Monsieur Gino, en passant par la société Orditop ; de l’entreprise à l’État en passant par les salariés, la banque, l’actionnaire, etc : un circuit apparemment complexe expliqué de manière simple et humoristique. Source : Banque de France - Cité de l’Économie et de la Monnaie, en partenariat avec Universcience (ce film a été présenté en 2013 à l’exposition « L’’économie : krach, boom, mue ? » à la Cité des sciences et de l’industrie). Objectif : Comprendre le principe du circuit économique. Public : 10+ (et plus particulièrement à partir du collège) Durée : 4’50’’

Économie : la jeunesse, une génération sacrifiée Dimanche 19 avril, François Hollande a présenté officiellement la prime d'activité. Une aide financière qui sera bientôt élargie aux moins de 25 ans. Cette jeune génération est-elle lésée ? Pour Jean-Paul Chapel, journaliste spécialisé en économie, les jeunes constituent une génération sacrifiée en terme d'emploi. Le constat est le même en matière de niveau de vie. Enfin, la précarité s'est amplifiée pour cette jeune génération. Le JT Un camion sans chauffeur : la fin du travail ? Un camion lancé à pleine vitesse sur une route des États-Unis, mais derrière le volant, pas de chauffeur. Le poids lourd se conduit tout seul. Ce véhicule entièrement autonome a été créé par cette jeune entreprise californienne. Des camions qui roulent tout seul, une prouesse technologique possible grâce à des dizaines de capteurs, de radars et d'algorithmes installés sur chaque véhicule. Ils sont 80 ingénieurs pour étudier toutes les données envoyées par les capteurs. Le JT

L'économie collaborative s'invente en France : gardons notre avance Consommation collaborative, production distribuée, finance participative, éducation et savoir ouverts: ces mouvements nés de la rencontre de l'innovation numérique et sociale sont les piliers d'une nouvelle économie : l'économie collaborative dont la France est pionnière. Consommation collaborative, production distribuée, finance participative, éducation et savoir ouverts. Ces mouvements nés de la rencontre de l'innovation numérique et sociale sont les piliers d'une nouvelle économie : l'économie collaborative. La France est un pays pionnier en la matière. « Ce n'est pas une crise, c'est un changement de monde », prophétisait le philosophe Michel Serres. Alors que la banque Lehman Brothers s'effondrait et emportait l'ancien monde dans sa chute, quelques poignées d'enthousiastes anonymes, éparpillés un peu partout entre l'Europe et les États-Unis, commençaient à expérimenter des façons inédites de consommer, fabriquer et échanger. 1. 2. 3.

Sujets et corrigés 2016 d'Histoire-Géographie au bac S Cette page rassemble les annales de l'année 2016 pour l'épreuve d'Histoire - Géographie au bac S. Pour les révisions en ligne, voici 8 annales et 1 corrigé qui ont été données aux élèves dans les différents centres d'examens de la session 2016 du bac S.Tous ces documents sont basés exactement sur le même programme de cours correspondant au diplôme du baccalauréat, et sont donc officiellement de la même difficulté. Dans les cours particuliers et le soutien scolaire on travaille souvent l'épreuve d'Histoire-Géographie avec ces annales et surtout celles tombées en Métropole et à Pondichéry. Share64 Tweet24 Share26 Session normale ou principale Amérique du NordSujet Amérique du SudSujet AsieSujet Centres Etrangers AfriqueSujet LibanSujet + éléments de correction Métropole FranceSujet PolynésieSujet PondichérySujet

Epargne : des livrets solidaires pour investir utile Dans la famille des livrets solidaires, on connaît surtout les livrets de partage. Ils prévoient de reverser tout ou partie des intérêts à des associations ou des organismes solidaires, mais l'épargne y est généralement placée de manière conventionnelle, c'est-à-dire sur les marchés traditionnels. Ils ne font donc pas profiter d'un engagement total. Lire aussi : Extension du domaine des produits solidaires Il en existe cependant quelques-uns qui poussent plus loin l'engagement, en consacrant la totalité des sommes collectées au financement d'activités déterminées et solidaires. Le Crédit coopératif, la banque fer de lance de ce mouvement, vient ainsi de lancer avec la Chambre de commerce et d'industrie de région Nord de France un Livret Troisième Révolution industrielle très ciblé. Concrètement, les sommes déposées par les épargnants sur ce livret permettront à la banque d'octroyer des prêts aux projets d'entreprises liés à ces thématiques.

Et si l’innovation était un mythe ? Pour son conseil de lecture au nouveau président de la République Emmanuel Macron, Brice Couturier recommande aujourd'hui les ouvrages d'économistes qui mettent en gardent contre le tarissement de l'innovation et ses effets constrastés sur la croissance. Monsieur le Président de la République, dans votre livre Révolution, vous écrivez : « Aujourd’hui, la France ne doit pas rater le virage de l’innovation et de la numérisation de son économie. » Et vous faites l’éloge du modèle entrepreneurial de la start-up, « ferment, je vous cite, d’une transformation économique et d’un changement culturel. » Or, le monde intellectuel est aujourd’hui divisé entre techno-optimistes et techno-pessimistes. Un livre, paru l’an dernier, Is US Economic Growth Over ?, a contribué au scepticisme des premiers. Il est l’œuvre d’un spécialiste américain de l’histoire économique, Robert J. Productivité en berne "Capitalisme aux cheveux gris" Pourquoi ?

Amap ou Ruche qui dit oui : quel système vous correspond Qualité, proximité et pied de nez à l’industrie agroalimentaire : d’un système de distribution en circuit court à l’autre, les mots d’ordre se font écho. Pourtant, depuis la diffusion, en mars dernier sur Internet, d’une lettre dans laquelle un apiculteur explique son refus d’approvisionner la Ruche qui dit oui, les partisans de la vie sans supermarché sont divisés. Entre ripostes, rumeurs et amalgames, la saveur retrouvée des produits fermiers a pris un arrière-goût amer. En deux mots, pouvez-vous rappeler le principe de votre système ? Léo Coutellec : Les Amap sont des Associations de maintien de l’agriculture paysanne. Guilhem Chéron : La Ruche qui dit oui est un système de vente directe qui s’organise via Internet. Chez vous, on dit plutôt « clients », « consommateurs responsables » ou « militants » ? Léo Coutellec : Certainement pas « clients » ! Quel degré d’engagement votre système demande-t-il ? Léo Coutellec : Dans les Amap, l’engagement est central. Guilhem Chéron : La qualité.

La mondialisation risque-t-elle d’être remise en cause? Un regard ancré aux Etats-Unis | Skyscraper/la transition métropolitaine Cynthia Ghorra-Gobin et Martine Azuelos L’élection du président Trump aux Etats-Unis – dont la campagne fut menée sur le slogan de la fin du « libre-échange » — présente-t-elle le risque d’accentuer le ralentissement (déjà observé) de la mondialisation et de la globalisation ? C’est la question que pose ce billet qui prend acte de la décélération du rythme de la mondialisation depuis la crise (Great Recession) sans pour autant l’interpréter comme un cycle de « démondialisation ». Il s’agit plutôt d’évaluer les incertitudes que font peser sur la poursuite du processus de mondialisation les annonces de l’administration Trump. La première partie s’appuie sur de récentes données concernant les échanges internationaux, les flux d’IDE (investissements directs à l’étranger) participant à la globalisation productive, ainsi que l’intégration financière (globalisation financière). I-Le volet économique 1.1-Les données chiffrées La globalisation financière, en revanche, n’a rien perdu de son élan.

[Chronique] Un marketeur doit-il apprendre à partager ? Vous aimiez le capitalisme et le libre-échange ? Vous allez adorer l'économie du partage ! La " sharing economy ", dont le concept est apparu il y a quelques années dans la Silicon Valley, est en train de débarquer dans tous les compartiments de notre petite vie bien pépère. Voiture, appartement, cave, tout ce que nous possédons peut, un jour ou l'autre, devenir une source de profit, à condition qu'on accepte de le mettre en location et d'en faire bénéficier les quelques millions d'internautes qui nous entourent, et qui ne demandent qu'à en profiter. Comment un tel concept est-il apparu, et qu'est-ce que cela va modifier dans l'univers des marketeurs ? C'est ce que je vous propose de voir ensemble. L'homme est un animal social, et très tôt, nous apprenons à partager nos biens, ou à les prêter à nos proches, certains y parvenant même mieux que leurs congénères. Mais plusieurs événements sont venus perturber cet équilibre. L'internet et le mobile ont également eu un impact.

L’ubérisation | Citéco En mai 2017, le verbe « ubériser », créé à partir du nom de l’entreprise de VTC Uber, a fait son entrée dans le dictionnaire français. Le Petit Robert en propose la définition suivante : « déstabiliser et transformer avec un modèle économique innovant tirant parti des nouvelles technologies ». Trois vidéos permettent de mieux comprendre ce terme qui est au cœur de nombreux débats. Elles traitent, chacune à leur manière, de l’origine du phénomène, de son extension à divers secteurs d’activité et de son modèle économique lié à la révolution numérique. Découvrez aussi dans ces vidéos les principaux arguments des partisans et des détracteurs de l’ubérisation (sur le pouvoir d’achat des consommateurs, l’efficacité économique, le droit du travail, l’impact sur les recettes fiscales…) ainsi que certaines pistes de solutions. Dessine-moi l’éco répond à la question : « L’ubérisation est-elle une chance pour l’économie ? Durée : 3’29 Voir la vidéo Durée : 2’32 Voir la vidéo Durée : 2’50 Voir la vidéo

L'économie collaborative en quête d'un modèle pérenne Ils sont réunis pour trois jours à la VIllette. Pour la troisième année consécutive, les participants du OuiShareFest vont débattre et échanger à propos de l'avènement de l'économie collaborative, plus tout à fait nouvelle, pas encore installée. C'est justement à ce moment charnière que les organisateurs ont choisi de s'intéresser en intitulant leur rendez-vous "Lost In Transition". "On est un peu au temps 2 de l'économie collaborative, pointe Marc-Arthur Gauthey, du laboratoire d'idées OuiShare. Un temps qui suit celui de l'émergence de cette ribambelle de nouveaux acteurs. Certains reproches commencent à être formulés, avec l'idée que la répartition n'a pas toujours fonctionné comme elle aurait dû." Des idéaux et des mastodontes Parler des têtes d'affiche de l'économie du partage ou collaborative, c'est égrener des noms désormais aussi familiers que Airbnb ou BlabaCar ou Uber. Des chiffres à prendre avec des pincettes. La fin du salariat ?

Related: