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Les élections européennes expliquées en patates

Les élections européennes expliquées en patates
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Vote obligatoire : est-ce vraiment efficace?-le JDD 15 avril 2015 Après le député EELV François de Rugy, c'est au tour de Claude Bartolone d'évoquer l'instauration du vote obligatoire. "Je crois que l'on pourrait engager cette démarche parce que la démocratie s'entretient, s'irrigue. Je ne connais pas de meilleur moyen de l'arroser que de participer au vote", a-t-il expliqué mercredi à l'Elysée, où il doit livrer à François Hollande un rapport sur l'engagement républicain. En déplacement en Suisse, le Président a indiqué que cela "fait partie des sujets qu'on aura à regarder". "On ne va pas conclure immédiatement (...) Avec près de 50% d'abstention lors des dernières élections départementales, et plus de 56% aux Européennes de 2014, la solution parait toute trouvée en effet. Plusieurs Etats pratiquent déjà le vote obligatoire, à commencer par la Belgique, qui a instauré cette obligation à la fin du XIXe siècle. Lire aussi : Belgique : comment vote-t-on quand on y est obligé?

Peut-on imaginer une cyberdémocratie ? | Chez Jean Matouk L’Assemblée nationale juste avant les vacances parlementaires, le 22 juillet 2015 (JOEL SAGET/AFP) Les spécialistes de droit public distinguent traditionnellement deux formes de démocratie : la démocratie directe et la démocratie représentative. Les deux datent, peut-on dire, des Grecs. Ou bien tous les citoyens – pas les femmes, qui n’étaient que demi-citoyennes, ni les esclaves et Métèques – se réunissaient sur l’Agora, devenu Forum à Rome, et débattaient, puis votaient ; ou bien ils élisaient des représentants chargés de décider des lois. Le référendum, un idéal et ses faiblesses La transposition moderne de ces deux systèmes de démocratie sont le référendum, ou l’élection de députés et sénateurs. En France, le référendum est inscrit dans la Constitution et généralement utilisé pour voter les Constitutions successives, ou leurs modifications, ou prendre de grandes décisions, comme l’indépendance de l’Algérie. Le référendum a souvent été une forme de plébiscite. Et la cyberfraude ?

« Voter ne sert à rien » : les abstentionnistes expliquent leur choix Programmes non tenus, non-renouvellement des élus… des lecteurs ont expliqué au « Monde » pourquoi ils refusent désormais de se rendre à l’isoloir. Vous avez été nombreux, très nombreux, à répondre à notre appel sur les raisons qui vous ont poussé (es) à renoncer au vote lors du premier tour des régionales, dimanche 6 décembre, ou avant. Si, bien entendu, la masse de vos témoignages n’a pas de valeur statistique, elle donne le sentiment que cette absence d’expression dans les urnes a besoin d’être justifiée, revendiquée et, finalement, fortement exprimée. Sans doute faut-il en déduire que la vie politique française passionne bel et bien ceux qui choisissent de ne pas participer au choix de ses représentants. A chaque élection, la question revient – avant d’être le plus souvent éclipsée par les résultats des scrutins : pourquoi les électeurs s’abstiennent-ils en masse ? Lors du premier tour des élections régionales, le 6 décembre, 50,1 % des inscrits ne sont ainsi pas allés voter.

Les propositions pour restaurer le lien entre les citoyens et leurs représentants Septennat non renouvelable, diminution de nombre de parlementaires, limitation à trois mandats parlementaires successifs: ces pistes de réformes figurent dans les 17 préconisations du rapport de la mission sur l'avenir des institutions. Le groupe de travail sur l'avenir des institutions, coprésidé par le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, et par l'historien Michel Winock, a présenté vendredi dix-sept propositions pour «restaurer le lien entre les citoyens et leurs représentants». Les députés Républicains ont exprimé, par la voix de Bernard Accoyer, leur opposition à ce rapport, jugeant que «la France n'a pas besoin de révision constitutionnelle, elle a d'abord besoin de courage politique et de réformes de structures.» » Retrouvez l'intégralité du rapport du groupe de travail sur l'avenir des institutions.

Expliquez-nous... le vote blanc Les régionales J moins 2. La qualité des reports de voix d'un camp vers l'autre sera une clé du second tour des régionales, élément déterminant en Paca et dans le Nord où le PS s'est désisté pour faire barrage au FN. L'abstention, le vote nul ou le vote blanc pourraient être également déterminants. Le vote blanc consiste à déposer dans l’urne une enveloppe vide ou contenant un bulletin dépourvu de tout nom de candidat. Ce type de vote indique une volonté de se démarquer, de refuser le choix politique proposé. Le vote blanc ne doit donc pas être confondu avec le vote nul. Des associations qui militent pour défendre ce vote blanc Plusieurs associations comme Blanc se sont exprimées.

Ce que s’abstenir veut dire, par Céline Braconnier et Jean-Yves Dormagen En France, les dernières élections municipales, les 23 et 30 mars 2014, ont suscité un déluge de commentaires sur la montée de l’extrême droite. Certains sont allés jusqu’à y voir un quasi-plébiscite local en faveur du Front national (FN). Ce flot de déclarations, d’articles et de reportages télévisés contraste avec ce qui constitue la donnée majeure du scrutin, et plus généralement de tous les scrutins depuis trente ans : le taux record d’abstention, dont l’étude précise conduit à nuancer les analyses produites à chaud. Si la progression du FN par rapport aux municipales de 2008 est incontestable, elle n’en demeure pas moins contenue. Dans les quatre cent quinze villes de plus de dix mille habitants où il présentait des listes, le parti d’extrême droite a obtenu un pourcentage des suffrages exprimés inférieur à celui de Mme Marine Le Pen à la présidentielle de 2012. Même chose s’agissant de la « vague bleue ». Un maire désigné par 12 % de la population

Elections : et si on rendait le vote obligatoire ? | Conseil départemental de l'Hérault Depuis 20 ans en France, les taux d’abstention aux élections ne cessent d’augmenter. Qu’en déduire ? Faut-il y remédier par la contrainte ? Elections : et si on rendait le vote obligatoire ? Taux d’abstention record de 56 % au 1er tour des cantonales (2011), 59 % aux Européennes (2009), 35 % au 2nd tour des municipales (2008)… Des chiffres à la hausse depuis les années 90. Plus qu’un droit, le vote est un devoir en Belgique, Bolivie, Grèce, Brésil, Luxembourg et en Australie. MUR DE LA PRESSE- des principaux journaux en ligne

Le droit de vote : une obligation pour certains pays  <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> La question du vote obligatoire se pose régulièrement dans un certain nombre d’États, dont la France, au vu de l’importance prise par l’abstentionAbstentionNon participation à un scrutin. Les théories du droit de vote dans le contexte français Pour mesurer les implications et la nature de ce débat, il faut revenir à l’époque révolutionnaire, où deux conceptions du vote s’opposent. Pour certains, qui s’appuient sur la pensée de Jean-Jacques Rousseau , le vote est un droit (théorie de "l’électorat-droit ") dont dispose tout citoyen. Pour d’autres, au premier rang desquels l’abbé Sieyès, qui va la théoriser dans son pamphlet Qu’est-ce que le Tiers-État ? Or, selon certains juristes, cette théorie de l’électorat-fonction justifierait la mise en place du vote obligatoire. Les pays où le vote est une obligation Le système le plus connu est celui de la Belgique.

Twitter : gadget électoral ou outil de démocratie numérique Gilles Babinet, président du Conseil National du Numérique, lors d’une intervention à Sciences Po, relatait avec amusement les questions de certains hommes politiques qui se tournaient vers lui : « ah oui, c’est bien Twitter, disaient-ils. Il faut que je m’y mette ! Auriez-vous un bon bouquin à me conseiller ? Pourtant le phénomène Twitter n’a pas échappé aux politiques. Sur le site de micro-blogging, on dénombre la présence d’une vingtaine de ministres, soit les deux tiers du gouvernement, et quelques 200 personnalités politiques. Cet obscur univers du hashtag Si certains tardent à s’y mettre, c’est qu’il existe entre les politiques et Twitter une bonne dose de méfiance. On pourra objecter à cette méfiance que les hommes et femmes politiques ne sont pas des digital natives et qu’il s’agit-là avant tout d’un problème générationnel. Vers une communication plus interactive Si le problème n’est pas fondamentalement générationnel, on peut en revanche considérer qu’il est culturel.

www.droitdevote.net - Accueil Les médias contribuent-ils au débat démocratique ?  - Médias et démocratie Découverte des institutions <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> Quelques dates clés 26 août 1789 : L’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen proclame : "La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi". 29 juillet 1881 : En France, loi sur la liberté de la presse. Suppression de tout régime préventif, abandon du délit d’opinion et disparition de la censure. 18 novembre 1936 : Suicide de Roger Salengro, maire de Lille, ministre de l’Intérieur du Front populaire, victimeVictimePersonne qui subit personnellement et directement un préjudice physique, moral ou matériel, du fait d’une infraction pénale. d’attaques de L’Action française et de Gringoire sur son action pendant la Première Guerre mondiale et ses origines juives. Exemple concret

NosDéputés.fr : Observatoire citoyen de l'activité parlementaire Politest, le test pour se positionner politiquement

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