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Google doit-il communiquer sur son véritable objectif, le transhumanisme?

Google doit-il communiquer sur son véritable objectif, le transhumanisme?
Ce texte a été lu 831 fois ! Google effectue des acquisitions au croisement de la biotechnologie, de l’intelligence artificielle et de la robotique. Des acquisitions qui sont motivées notamment par la philosophie transhumaniste des deux fondateurs. Pourtant, la société ne laisse rien filtrer sur ses intentions exactes. Google risque-t-il un jour d’affronter un renversement d’image majeur ? Pour le quidam moyen, Google est un puissant moteur de recherche sur Internet. Pour les consommateurs, Google est aussi la ludique plateforme vidéo YouTube, l’incomparable cartographie visuelle StreetView et Earth ou encore la messagerie électronique Gmail. Google aujourd’hui : quelle perception ? Cette vision est celle qui forge et alimente aujourd’hui la réputation de Google. Mois après mois, le géant de Mountain View devient le poumon incontournable de divers écosystèmes. Une ubiquité qui pose des questions Une communication soigneusement pesée et séductrice Google ne reste pas sans réaction. Sources

Faire l'amour avec des robots pourrait augmenter l'espérance de vie selon des futurologues du mouvement transhumaniste SCIENCE-FICTION - Seriez-vous prêt(e) à faire l'amour avec un robot pour vivre plus longtemps? A priori non, mais c'est pourtant bien le conseil que vous donneraient certains futurologues américains appartenant au courant transhumaniste, un mouvement pour lequel l'avenir de l'homme réside dans son association future avec le robot. Un article du site web Transhumanity , daté du 7 novembre, soutient que faire l'amour avec un "sexbot" , des robots spécialement conçu pour avoir des rapports sexuels avec des humains, augmenterait l'ampleur de vos orgasmes et contribuerait à accroître votre espérance de vie. Le site Transhumanity précise que "Les Sexbot" seront plus "désirables, patients, altruistes et compréhensifs que quiconque avec leur partenaire. Concrètement, qu'est-ce que cela implique? C'est vrai, plusieurs études ont montré que le sexe a des bienfaits sur la santé et l’espérance de vie.

Comment le digital revisite les mythes Aujourd’hui, je reçois Julien Fernandez sur mon blog. Julien est Directeur associé et Planneur Strat pour l’agence Pavillon Rouge et j’ai trouvé son article intéressant, donc je vous laisse le découvrir et vous construire votre avis. Bonne lecture. Capables de frapper l’imagination de l’homme, les héros et héroïnes mythiques ont inspiré les légendes, les folklores, les superstitions, la poésie, les tragédies classiques et d’innombrables oeuvres d’art. Ils sont devenus des symboles qui se transmettent de génération en génération, et demeurent ainsi à jamais ancrés dans la mémoire de l’humanité. Profondément enracinés dans l’imaginaire collectif, les mythes sont doués d’une grande vitalité: ils naissent, renaissent, vivent, évoluent avec les époques, les pays, et survivent sous des noms ou aspects multiples. Le digital au service du mythe Un courant de pensée commence (enfin) à s’opposer aux discours bien établis montrant l’impact néfaste du monde digital sur les jeunes générations.

L'Homme simplifié Déresponsabilisation, déshumanisation, simplification à outrance : il y a urgence à penser l'usage et les conséquences des nouvelles technologies sur l'individu, le travail et la société. Propos recueillis par Isabelle Magos. Présentation de l'auteur Jean-Michel Besnier Professeur de philosophie à l'université Paris IV-Sorbonne, auteur de L'Homme simplifié. Vous affirmez que la technologie a pris une place fondamentale dans notre société et qu’elle est en train de nous formater. La grande différence entre les sociétés traditionnelles et nos sociétés occidentales tient au fait, qu’actuellement, les objets que nous avons créés nous façonnent largement. La technique, au même titre que la parole, est constitutive de l’humanité. Selon vous, cette technique prendrait le pas sur la parole. Oui, j’estime que nous sommes témoins d’un déséquilibre, car nos technologies contemporaines décrédibilisent peu à peu la parole, en réduisent le pouvoir. Cette tendance peut refléter une angoisse diffuse.

Hello Hello I’m David McCandless, a London-based author, writer and designer. I’ve written for The Guardian, Wired and others. I’m into anything strange and interesting. These days I’m an independent data journalist and information designer. A passion of mine is visualizing information – facts, data, ideas, subjects, issues, statistics, questions – all with the minimum of words. I’m interested in how designed information can help us understand the world, cut through BS and reveal the hidden connections, patterns and stories underneath. My pet-hate is pie charts. Our mission Myself, and the rest of the crack team here at Information is Beautiful, are dedicated to distilling the world’s data, information and knowledge into beautiful, interesting and, above all, useful visualizations, infographics and diagrams. Who funds us? This site is entirely funded by sales of images, posters and books. Stay in touch Want to know more? » I created the Helicopter Game, the most addictive game on the internets.

«Notre but n’a jamais été d’imiter l’être humain» | Sciences et santé Satoshi Shigemi San est chef ingénieur senior chez Honda R&D, c’est l’un des pères d’Asimo. Nous l’avons rencontré à Bruxelles, dans un lieu discret, où les Asimo européens (il y a environ dix Asimo 3 dans le monde) ont leurs quartiers. Asimo paraît amical, mais ne pas le doter d’une face expressive est un choix étrange. Vous vous trompez : notre but n’a jamais été d’imiter l’être humain. Un robot, c’est un robot et cela doit le rester, exécuter des tâches spécifiques réservées à une machine. Ces tâches ne doivent pas entrer en collision avec les tâches exécutées par les humains. Qu’est-ce qui est préprogrammé dans Asimo ? Nous lui avons évidemment dit que la marche d’escalier avait 16 centimètres, et pas 17. Quelles seront les prochaines frontières, à 5 et 20 ans ? La prochaine, c’est la multiplication des tâches complexes.

Larry Page: The Untold Story Google veut connaître les secrets d'un corps humain en bonne santé Google a lancé un vaste programme de recueil de données biologiques et génétiques afin de déterminer les caractéristiques d’un corps humain en bonne santé. L’objectif est d’identifier les risques de maladies au plus tôt afin d’intervenir en mode prévention. Le programme devrait toucher plusieurs milliers de personnes. Google accélère sur la connaissance du corps humain. Le projet s’intitule « Baseline Study » et il entre dans sa phase visible du public. L’objectif est de détecter des maladies graves telles que les maladies du cœur ou les cancers nettement plus tôt. Un corps humain en bonne santé Pour cela, une équipe Google amasse actuellement les données génétiques anonymes de 175 personnes – et des milliers par la suite – afin de créer ce que Google espère être l’image complète de ce que doit être un corps humain en bonne santé. Le programme a débuté cet été. Le projet est mené par Andrew Conrad, un biologiste moléculaire âgé de 50 ans, qui a été le pionnier des tests HIV à petit prix.

Pourrons-nous concevoir des machines capables d'automatiser l'éthique ? – Aeon.com "Expérimenter sur les gens : c'est ainsi que fonctionnent les sites Web," selon le fondateur du site de rencontre OKCupid Devant l’émotion suscitée par Facebook manipulant les émotions de ses utilisateurs, le créateur du site de rencontres OKCupid aux Etat Unis, revendique le fait de réaliser des expériences. Selon lui, les internautes sont soumis à des expérimentations, car c’est le seul moyen de fonctionner du Web. Facebook a défrayé la chronique en révélant qu’il avait manipulé les émotions de milliers de personnes lors d’une expérience sur l’affichage des nouvelles sur leur fil de news. Des centaines d’expérimentations Ce lundi, c’est un des fondateurs du site de rencontres (gratuit) OKCupid, Christian Rudder, – en réaction à l’émotion soulevée par Facebook – qui revendique le fait que les internautes sont sujets à des centaines d’expérimentations chaque jour sur internet. Selon lui, il s’agit de l’un des modes de fonctionnement des sites Web. Par exemple, OKCupid a évalué l’importance de la photo que l’on publie sur un site de rencontre par rapport au texte de présentation que l’on rédige.

Petit manuel des études biaisées sur les réseaux sociaux I. Introduction Le printemps est là et telles les fleurs qui l’annoncent, les demandes de participations aux questionnaires pour les TFE et mémoires commencent à fleurir sur nos timelines.Poussés par l’aspect novateur de faire des recherches sur des choses que personne n’aurait jamais faites (alors que bien souvent, il s’agit du contraire), les étudiants choisissent un sujet sur les réseaux sociaux. ( Quand leur choix ne se porte pas sur ce sujet, car ils pensent pouvoir mener leur recherche depuis leur fauteuil) Passons le biais qu’ils ont dès le départ dans leur petite tête, à savoir qu’ils sont convaincus qu’il faut que leurs résultats montrent la puissance des réseaux sociaux ou correspondent à ce qu’ils ont lu sur leurs blogs favoris, ils ne se rendent même pas compte que leur dispositif de recherche est également biaisé. En effet, comme méthode de recherche, il y a véritablement deux méthodes de recherches choisis par une majorité d’étudiants : les entretiens ou les sondages. II.

Cécité : un œil bionique pris en charge à 100% La rétinopathie pigmentaire se manifeste par une perte progressive de la vision périphérique, jusqu'à la cécité. Quelques 40.000 personnes seraient touchées en France par les différentes formes de cette dégénérescence rétinienne. Aucun traitement n'existe, mais la Sécurité sociale prend désormais en charge un outil innovant appelé Argus II, grâce auquel quelques malades, répondant à des critères précis, peuvent récupérer une partie de leur vision. Développé par la société américaine Second Sight, la prothèse bionique se compose de lunettes munies d'une micro-caméra, d'un petit ordinateur portable à la ceinture et d'un implant rétinien. » Explication animée du fonctionnement d'Argus II (en français): La prise en charge totale du coût de la prothèse Argus II par la Sécurité sociale a été annoncée ce jeudi au Journal Officiel, malgré un avis assez tiède rendu par la Haute Autorité de santé en décembre 2012. L'œil artificiel fait ses preuves Rétinites: nouvelle avancée de la thérapie génique

Snapchat, 4chan, Whisper : le web éphémère ou l'illusion de la liberté Le PDG de Snapchat, Evan Spiegel âgé de 23 ans, à Los Angeles le 24 octobre 2013 (J.C. HONG/SIPA). La question du web éphémère a récemment été analysée par la blogueuse Sarah Perez dans son article "The Rise of the Ephemeralnet", paru sur le site Techcrunch en juin dernier. Ce nouvel espace apparaît comme le prolongement direct des problématiques actuelles du respect de la vie privée et du droit à l’oubli sur internet. Cette idée d'un réseau au sein duquel les échanges ne sont ni tracés, ni conservés résonne en effet comme la solution idéale à l'indexation des données personnelles. De l'économie de la trace, sur le web Car le web actuel est bel et bien régit par une économie de la trace : notre existence numérique toute entière est aujourd’hui documentée, répertoriée dans ses moindres détails. Face à cette surveillance constante, de nouveaux services et applications ont récemment fait leur apparition. 4chan, premier terrain d’expérimentation du web éphémère ? Le paradoxe Snapchat

Flash mob de robots à Harvard Ils sont malhabiles, leur intelligence est limitée, ils ne communiquent qu’avec leurs voisins immédiats, mais ensemble ils se débrouillent pour s’assembler en créant une forme relativement complexe comme une étoile ou la lettre K. Les 1024 mini robots créés à l’université d’Harvard démontrent comment un grand nombre de robots très simples peuvent réaliser une tâche complexe grâce à un comportement coopératif. En un sens, les chercheurs d’Harvard n’ont rien inventé : ils ont pris exemple sur la nature, où l’on trouve de nombreux exemples de systèmes organisés qui résultent de l’auto-assemblage de milliers ou millions d’individus très simples : la croissance des cristaux, les organismes multicellulaires, mais aussi les colonies de fourmis qui fabriquent des ponts... Mais la grande nouveauté, cette fois, c’est d’avoir lancé un milliers de robots sur une tâche commune. Thierry Lucas

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