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Rachel Botsman : « La confiance sera la nouvelle monnaie du XXIe siècle »

Rachel Botsman : « La confiance sera la nouvelle monnaie du XXIe siècle »

Albert Jacquard Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Jacquard. Albert Jacquard Albert Jacquard, en 2009. Albert Jacquard, né le dans le 1er arrondissement de Lyon, et mort à Paris le [1], est un chercheur et essayiste français. Spécialiste de génétique des populations, il a été directeur de recherches à l'Institut national d'études démographiques et membre du Comité consultatif national d'éthique. Il est également connu pour ses engagements citoyens, parmi lesquels la défense du concept de la décroissance soutenable, le soutien aux mouvements du logiciel libre, à la langue internationale espéranto, aux laissés-pour-compte et à l'environnement. Biographie[modifier | modifier le code] Albert Jacquard obtient à Besançon deux baccalauréats, Mathématiques élémentaires et Philosophie, en 1943[5],[6]. « J’ai vécu la Libération comme un événement extérieur. « Par le passé, j’étais guidé par la soumission et le conformisme. Le 5 janvier 1952, il épouse Alix Domergue.

La confiance moteur de l’économie collaborative France / / Europe Une nouvelle valeur est entrée dans les mœurs, après l’intérêt que nous portons au tarif, à la proximité, internet nous permet d’être les juges de notre consommation. Bienvenue dans l’ère de l’annotation ! © Thierry Caro Le jugement est quelque chose de bien personnel et pourtant nous donnons de plus en plus d’importance à celui de l’autre. Souvent, nous sommes plus enclin à laisser des avis négatifs, serions-nous plus aptes à critiquer qu’à valoriser ? Pourtant, ces avis tranchés restent dans la sphère des anonymes parmi les anonymes, pire ils deviennent l’ombre de sociétés bien décidées à se faire une jolie communication ou peu scrupuleuses qui viennent mettre des avis répréhensibles sur un concurrent trop dangereux. Vaste débat ! Certains vous diront qu’ils inspectent, vérifient eux-mêmes et se font leur propre opinion, mais cela pousse à la réflexion et au contrôle de la véracité des dires ou informations. Serions-nous devenus nuls ? Céline Laporte

Les scenarii de dissolution de l'euro La Fondation Res Publica conduit, depuis 2008, un programme de recherche exigeant sur la crise économique et financière internationale, et plus particulièrement sur la crise de la zone Euro. Plusieurs colloques et séminaires ont été organisés par la Fondation, et de nombreuses notes publiées sur ce thème. C’est toujours dans la perspective d’irriguer le débat et d’éclairer les politiques publiques à partir d’une pensée républicaine moderne que s’inscrit la publication de cette nouvelle étude réalisée par les économistes Jacques Sapir et Philippe Murer. La monnaie unique rassemble dans un même cadre des économies de structures très différentes, de niveau de développement inégal, dont les langues, les cultures et les options politiques diffèrent. Certes, à son début, le système de l’Euro a semblé fonctionner, mais l’excédent commercial allemand créait une illusion d’optique en absorbant les déficits des autres pays.

Les élites dirigeantes présentent tous les critères de la psychopathie Alors que je prenais connaissance ce matin de la liste des 15 critères principaux définissants la psychopathie selon Robert Hare, je me suis fait cette réflexion au beau milieu de ma lecture : « Eh mais c’est dingue, on dirait la description du profil psychologique de nos dirigeants ! ». Cela confirmait ce que beaucoup d’entre nous pensaient instinctivement : au vu des agissements des élites politiques et économiques, ces gens ne peuvent être que des psychopathes… Alors jugez par vous-même : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. Agréger la réputation de la consommation collaborative, l’exemple de Fidbacks La confiance entre inconnus est un élément clé pour comprendre le développement de la consommation collaborative. Cette confiance est rendue possible par différents mécanismes, au premier rang desquels les réseaux sociaux et les systèmes de réputation, mais également par des outils spécifiques. L’intérêt porté aux initiatives ayant un lien avec cette thématique ne fait que croître : Facebook a annoncé hier l’embauche des deux fondateurs de Legit, une startup qui travaillait sur un système de réputation universelle. Fidbacks, qu’est ce que c’est ? Fidbacks c’est le CV de la consommation collaborative. Fidbacks offre la possibilité à ses membres d’agréger sur un profil unique et partageable l’ensemble des notations et commentaires qu’ils ont reçus sur les plateformes d’échanges entre particuliers (eBay, Airbnb, Covoiturage, Zilok…) D’où vient l’idée ? Nous avons donc essayé d’imaginer un moyen pour un internaute de démontrer son honnêteté facilement. Quel est votre modèle économique ?

La Nef, unique banque éthique française Origines et évolution En s’inspirant des banques éthiques qui existent en Allemagne et aux Pays-Bas, un groupe de femmes et d’hommes ont créé en 1978 l’association Association Définition la Nef, « Nouvelle Economie Fraternelle ». Leur objectif était de rendre plus consciente la circulation de l’argent dans un esprit de fraternité, à des fins d’utilité sociale et ainsi expérimenter des relations d’entraide par l’argent. Les outils financiers développés dans le cadre de cette association avait pour seul objet de soutenir des projets sociaux et alternatifs, généralement exclus des réseaux bancaires classiques. Suite à la nouvelle loi bancaire de 1984, l’association a dû changer de forme juridique et 650 personnes ont mutualisé leurs moyens pour créer la société financière de la Nef en 1988. Depuis sa création, la Nef exerce une double activité : collecte d’épargne et crédit dans le cadre d’un agrément de la Banque de France. Un statut coopératif au cœur du projet

Avec la Nef, l’argent crée du lien La Nef, acteur financier important du secteur écologique et social en France, associe ses épargnants à sa gouvernance. Bien qu’elle n’ait pas le statut de banque, elle est aujourd’hui en pleine croissance. Q uand les épargnants franciliens de la Nef (Nouvelle économie fraternelle) se réunissent, c’est, comme il se doit, autour d’un verre de jus de pomme bio et de biscuits issus du commerce équitable. Ils sont ainsi une quinzaine en ce jour d’octobre dans cette salle de l’Ageca, local associatif du 11 e arrondissement parisien. L’objectif de la Nef, au-delà des projets qu’elle finance, est depuis sa création, en 1978, de relier directement épargnants et emprunteurs et de créer un « circuit court de l’argent ». {*style:<b>Un système d’entraide Cependant, le projet de créer une véritable banque alternative n’a pas totalement abouti. En 2011, 74 % des prêts concernaient des projets écologiques, 16 % des projets sociaux (dans l’insertion, le commerce équitable ou le développement local) et

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