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Bestiaire

Bestiaire
En littérature, un bestiaire désigne un manuscrit du Moyen Âge regroupant des fables et des moralités sur les « bêtes », animaux réels ou imaginaires. Par extension, on appelle bestiaire une œuvre consacrée aux bêtes. Par métonymie, le bestiaire d'un auteur ou d'un ensemble d'œuvres désigne les animaux mentionnés par l'auteur ou dans ces œuvres. Origines[modifier | modifier le code] Le Physiologos, qualifié de « bestiaire des bestiaires », est un recueil de brefs récits vraisemblablement rédigé en Égypte probablement dans la région d'Alexandrie[1]. Concernant les oiseaux, des éléments de De avibus de Hugues de Fouilloy sont intégrés à certains bestiaires anglais[2]. Bestiaires médiévaux[modifier | modifier le code] Selon une classification introduite en 1928 par M. le groupe B-Is de la première famille est constitué de manuscrits issus de la version B du Physiologos et d'extraits du chapitre XII des Étymologies d'Isidore de Séville (à l'exception de sept chapitres). Bestiaires Related:  Animauxcollégiale Thann

L'intelligence et la vie sociale des cochons | Pierre Sigler ANIMAUX - Les sangliers (Sus scrofa) ont été domestiqués, il y a environ 9000 ans à plusieurs endroits dans le monde et ont donné naissance aux sangliers domestiques (Sus scrofa domesticus), plus couramment appelés cochons ou porcs [1]. Sangliers et cochons sont parfaitement interféconds. Morphologie et physiologie Les cochons mesurent entre 90 et 180 cm. Pour se protéger des puces et des coups de soleil, les cochons aiment prendre des bains de boue, ce qui leur a valu la réputation d'être sales. Esther, recueillie par une famille canadienne, a appris à ouvrir le robinet d'une douche. Univers sensoriel Refuge pour cochons - @L214 Les cochons ont un odorat aussi développé que celui des chiens. L'ouïe des cochons est développée (42-40 500 Hz) [3]. Vie sociale Refuge pour cochons- @l214 À l'état sauvage, les cochons, comme les sangliers, vivent en groupes familiaux matrilinéaires, comprenant entre 2 à 5 truies, leurs petits de l'année, et un verrat pendant la saison des amours. Mémoire Close

Le bestiaire de la Bible : l’incroyable force symbolique de l’Agneau Les prophètes de l’Ancien Testament tel Isaïe ont tout de suite relevé le trait saillant caractérisant l’agneau : « Maltraité, il s’humilie, il n’ouvre pas la bouche : comme un agneau conduit à l’abattoir, comme une brebis muette devant les tondeurs, il n’ouvre pas la bouche ». C’est en effet la première image que l’on peut avoir de ce frêle animal qui de tout temps représente l’innocence, ce que confirme un autre prophète, Jérémie : « Moi, j’étais comme un agneau docile qu’on emmène à l’abattoir, et je ne savais pas qu’ils montaient un complot contre moi. Ils disaient : « Coupons l’arbre à la racine, retranchons-le de la terre des vivants, afin qu’on oublie jusqu’à son nom ». Lire aussi : Le bestiaire de la Bible : la Licorne L’agneau pascal, un symbole fort du christianisme Le legs de l’Ancien Testament pour les débuts du christianisme fut essentiel, un grand nombre de traits majeurs ayant été repris. Un symbole rayonnant dans les arts

Alice Guy Alice Guy(Alice Guy-Blaché) Alice Guy en 1896. Pionnière du cinéma, elle propose à Gaumont, chez qui elle est initialement secrétaire, de tourner de courtes fictions pour soutenir la vente des caméras et projecteurs. Avec La Fée aux choux, qu'elle tourne en 1896, elle est la première réalisatrice de l'histoire du cinéma[2],[3]. Elle est aussi l'auteure de La Vie du Christ, souvent considéré comme le premier péplum de l'histoire du cinéma mondial, qui propose les premières représentations filmiques de la vie de Jésus-Christ, en plusieurs épisodes[9] qui ont ensuite été une source d'inspiration pour beaucoup d'autres cinéastes, français ou américains. Il faut également la créditer d'avoir eu, la première, l'idée de faire un making-of à l'occasion du tournage de l'une de ses phonoscènes. En 1910, elle devient la première femme à créer une société de production de films, la Solax Film Co[10], durant sa période américaine, avant la naissance d'Hollywood. Biographie[modifier | modifier le code]

«Le cochon est toujours coupable» - 17 juin 2009 Le Nouvel Observateur Qu'ont en commun l'ours, que vous avez étudié comme un «roi déchu», et le cochon? Michel Pastoureau.- Avec l'histoire des couleurs, celle des animaux est une de mes spécialités. Et mes vedettes sont en général des réprouvés : j'ai écrit un gros livre sur l'ours après une dizaine d'années de recherches ; je m'occupe du cochon depuis longtemps ; j'ai aussi d'énormes dossiers sur le corbeau, autre grand réprouvé. C'est fascinant, le corbeau... Aujourd'hui toutes les expériences sur l'intelligence animale montrent qu'il pourrait être non seulement le plus intelligent des oiseaux, mais aussi des animaux - selon des critères humains bien sûr. Il est au niveau des grands singes. L'ours et le cochon, eux, ont en commun l'ambivalence des sentiments qu'ils suscitent chez l'homme. N. M. En revanche, l'hypothèse du cannibalisme paraît sérieuse. N. M. Car il y a aussi de la sympathie pour le porc, qui est presque instinctive chez les enfants. N. M. N. M. N. M. > Lire LA SUITE...

Le cerf, un animal familier du bestiaire biblique Chauvet, Lascaux, Altamira… où que le regard se porte sur l’art pariétal et les premiers balbutiements de la culture, le cerf est omniprésent parmi le bestiaire primitif. Élément central de la chasse et objet de culte, il n’a pas, non plus, laissé indifférent les premières civilisations qui succèderont à la préhistoire. Il suffit pour s’en convaincre de visiter la très belle exposition Royaumes oubliés – De l’empire hittite aux Araméens, actuellement au musée du Louvre, pour constater l’importance du cervidé dans les nombreuses représentations qui lui sont consacrées. Sa vigueur et la splendeur de son allure font de lui un animal royal associé aux divinités vénérées. C’est ce legs qui sera adopté par les Grecs et les Romains : Actéon surprenant Artémis au bain fut transformé en cerf. Le cerf dans L’Ancien Testament La fougue, la vitalité et sa belle prestance constitueront les principaux traits légués à l’univers biblique. Le Christ Cerf Les animaux dans la Bible et leur symbolique :

Suprématisme Le suprématisme est un mouvement d'art moderne, né en Russie, au début du XXe siècle. Son créateur est Kasimir Malevitch (1878-1935), qui présente en 1915 un premier ensemble de 39 tableaux suprématistes lors de la « Dernière exposition futuriste de tableaux 0.10 (zéro-dix) », tenue à Pétrograd du 19 décembre 1915 au 19 janvier 1916. En fait partie Quadrangle, surtout connu comme Carré noir sur fond blanc, que Malevitch forgera plus tard en œuvre emblème du suprématisme[2],[3]. Le suprématisme se développe à partir de 1915 avec Malevitch, mais aussi El Lissitzky, Ivan Kliun, Ivan Puni ou Olga Rozanova, toujours en Russie. Ce mouvement est à rapprocher du constructivisme, apparu peu après et toujours en Russie. Naissance[modifier | modifier le code] Kasimir Malevitch, ancien cubo-futuriste, travaille en 1913 avec le poète Alexeï Kroutchonykh et le compositeur Mikhaïl Matiouchine à l'opéra Victoire sur le soleil. Principes esthétiques du suprématisme[modifier | modifier le code]

Le Corbeau qui tenait en son bec un outil (2014) , Jean Deutsch, Sciences humaines Un nouveau livre de l’auteur du Ver qui prenait l’escargot comme taxi (prix Jean Rostand 2008), encore plus original et alerte. Ces douze histoires naturelles mettent en scène des corbeaux intelligents, des poissons aveugles, des mouches à quatre ailes, des animaux sans sexe, des vers sans tête, des araignées sauteuses, des linaires prodigieuses, sans oublier nos cousins les hobbits. Par-delà leur intérêt narratif, ces histoires sont choisies pour leur portée scientifique, chacune illustrant une avancée de la théorie moderne de l’évolution biologique qui, par certains côtés, s’est enrichie dans la ligne de la pensée de Darwin, mais, par d’autres, est en rupture avec certaines de ses idées. C’est une théorie en évolution que le lecteur découvrira ici ! Jean Deutsch est professeur émérite de l’université Pierre et Marie Curie (Paris 6).

Le Singe de Dieu Tertullien fut un apologiste chrétien, cet éminent théologien déclara que « SATAN est le SINGE de DIEU ». Du mot singe, la kabbale française peut extraire le substantif féminin « SINGERIE » qui signifie une représentation caricaturale, trompeuse, un simulacre, un faux semblant, c’est-à-dire que Satan est l’Esprit d’imitation, cet Artiste infernal prend les apparences du vrai Dieu pour tromper les hommes et femmes qui recherchent l’ambition, la gloire démesurée en profitant des connaissances mystiques. Satan est attiré comme un aimant vers ceux qui recherchent cette gloire mystique de ce monde, en insufflant dans leurs cerveaux des théories ésotériques, occultes qui n’ont rien à voir avec la véritable Lumière de Notre Seigneur Jésus-Christ et cet Artiste a aussi le pouvoir de prendre les apparences d’un Être de Lumière pour les personnes qui ont des aptitudes pour certaines visions occultes. Néanmoins le mot singe renvoie à l’animal et établit Satan comme une bête par rapport à Dieu.

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