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Process com: comment gérer les six personnalités les plus courantes

Process com: comment gérer les six personnalités les plus courantes
D'après la méthode d'analyse ProcessCom®(1), mère de beaucoup d'autres, on distingue six profils de personnalité, dont l'un domine chez chacun de nous. Le manager a intérêt à les connaitre, afin de cerner les besoins psychologiques de ses collaborateurs et de les nourrir de façon adaptée. Objectif : booster leur motivation, faire baisser la pression individuelle et insuffler un état d'esprit positif dans l'équipe. 1. Logique, rationnel, responsable, il fonctionne par étapes, soucieux d'avoir des directives claires et des échéances. >> Ses besoins: la perfection et la structuration du temps Pour le féliciter : "Bravo, bon boulot. Pour le recadrer : " Le dossier Y n'a pas été rendu à l'heure puisque tu me l'as apporté vendredi à 17h, ce qui ne m'a pas permis de le traiter dans la foulée..." 2. Chaleureux, sensible, il est attentif aux autres et inspire confiance. >> Ses besoins :la reconnaissance de soi et le " self cocooning ". Pour le recadrer : "Si je te reçois, c'est pour te parler. Related:  serie pendergast

La proxémie En fait, notre façon d’occuper l’espace en présence d’autrui est un des marqueurs de l’identité.Pour exemple, notre proximité spatiale est différente selon notre culture. Ce sont donc nos habitudes cultuelles qui nous font prendre différentes places spatiales. Hall a montré qu’il y avait autour de nous une surface, « une bulle », une zone émotionnellement forte ou encore un périmètre de sécurité individuel. Celui-ci est plus important en face de nous que sur les côtés ou par derrière. La dimension de cette bulle personnelle varie selon les cultures. La distance intime (entre 15 et 45 cm) : zone qui s’accompagne d’une grande implication physique et d’un échange sensoriel élevé. L’hypothèse qui sous-tend ce système de classification proxémique est la suivante : « La conduite que nous nommons territorialité appartient à la nature des animaux et en particulier à l’homme. La distance va être différente selon l’image que l’on se fait de l’autre.

Grille de BLAKE et MOUTON Le modèle de Blake et Mouton est un outil qui permet de cartographier rapidement et cerner les styles génériques de management. Cette matrice s'articule autour de 2 axes : l'intérêt pour la production (ou les résultats) en abscisses, et l’intérêt pour l'élément humain en ordonnées. La grille est découpée en 9 valeurs pour chaque axe. Le résultat de cette analyse est la mise en valeur de 5 styles prédominants de manager (le premier chiffre donne la valeur pour le degré d'orientation "production", le second pour l'humain) : (1-1) "Laisser faire" : le partisan du management laxiste. Ce profil évite toute situation difficile (conflits, confrontations...). (1-9) "Social" : les collaborateurs sont au centre de ses préoccupations. (5-5) "Intermédiaire" : la voie de l'équilibre entre orientation vers l'humain (prise en compte des besoins psychologiques) et résultats. (9-1) "Centré sur la tâche" : un style autoritaire centré sur la production au détriment de la prise en compte de l'humain. Keyros

La communication interpersonnelle Nous nous intéresserons ici à la Pragmatique (au Comment) de la communication interpersonnelle telle qu'elle a été étudiée et modélisée par l'école nord-américaine de Palo Alto sous l'impulsion du Professeur Paul Watzlawick. Nous montrerons en quoi cette façon de considérer le comportement de deux individus qui communiquent relève d'une approche complexe, où la circularité et la rétroactivité des échanges fait place à une causalité linéaire. Nous partirons du postulat que lorsqu'une communication entre deux personnes est établie, il n'y a plus ni commencement ni fin, mais un modèle circulaire d'échanges, dont ni l'un ni l'autre des interlocuteurs n'a la prééminence. Partant des modèles mathématiques de la théorie des groupes et des types logiques pour expliquer les différents types de changements et leurs implications dans le comportement humain, les auteurs en ont déduit cinq axiomes de base qui gouvernent toute communication. I - Les cinq axiomes de la communication "Euh.... Rejet Déni

En attendant la fin des vacances..... un petit snood sur mes aiguilles Avant la fin des vacances et en attendant les nouvelles collections de laine, on fait les fonds de tiroirs et on a trouvé cette belle laine! Une laine toute douce, facile à tricoter même par temps chaud.... Laine KATIA ARAN Ce modèle que je partage avec vous et que j'ai sur mes aiguilles : SNOOD et point irlandais (facile). Il vous faut trois pelotes de laine KATIA MERINO ARAN coloris 53 Echantillon : un carré de 10cm x 10 cm point de base 16 mailles et 20 rangs avec des aiguilles n°5 Une pelote de 100 gr qui fait environ 155 mètres. Le snood est composé de trois nattes et il vous faudra une paire d'aiguilles n°6 (pour plus de souplesse) une aiguille à double pointe pour laisser les mailles en attente pour votre torsade. Ce snood est une taille unique et mesure environ 33 cm sur 65 cm. Grille pour vous permettre de faire cette torsade. Ne soyez pas effrayée car cette natte est très facile à faire. Sur le rang n°3 vous ferez trois nattes de 18 mailles séparées par 4 rangs à l'envers. 1er rang :

Management : des sources d'inspiration Notions Directions RH: Actualités RH et Management - Les Echos Business Le plancher de 1.607 heures n'est pas respecté du fait des dérogations.Les employeurs publics sont appelés à réorganiser et unifier les régimes. Surcharge de travail : l’entreprise s’attaque à la mesure Selon une étude de l’Observatoire Opérationnel de la Charge de Travail , 75 % des entreprises n’ont jamais été alertées sur les... Tendance Thales convertit les ingénieurs au lean Thales, qui vient de remporter l'appel d'offres « du siècle » en Australie, au côté de DCNS, étend cette technique d'amélioration continue... Vive les réseaux sociaux en chair et en os ! Notre chroniqueuse Eléna Fourès a raison de nous apprendre à ériger des frontières, à ne pas nous laisser dévorer par notre job (lire... « Mon travail grignote ma vie personnelle » Les conseils d' Eléna Fourès , expert en leadership et multiculturalité, du cabinet Idem per Idem.elena.foures@idem-per-idem.com Chronique Lodgis internalise un poste de coach Business case BNP Paribas recrute à Roland-Garros Tendance Rendez-vous Partenaires

Attitude et comportement dans le rapport cause-effet : quand l’attitude détermine l’acte et quand l’acte détermine l’attitude 1Cet article propose de traiter de la relation cause-effet entre les attitudes et les comportements à travers deux champs théoriques classiques de la psychologie sociale expérimentale : la persuasion et la dissonance cognitive. La relation entre attitude et comportement occupe une place centrale dans la psychologie sociale. Cette discipline, majoritairement expérimentale aujourd’hui, étudie les comportements, les états mentaux et processus mentaux chez l’Homme en société. 1 Eagly et Chaiken (1993, p.1) dans leur ouvrage de référence sur les attitudes définissent l’attitu (...) 2Le concept d’attitude occupe une place centrale en psychologie sociale depuis les années trente et maintient encore aujourd’hui cette position. Figure 1 : Exemple d’une échelle de mesure d’attitude en psychologie sociale 2 Davidson et Jaccard (1979) ont pour exemple mesuré l’attitude de femmes à l’égard de la pilule con (...) Figure 2 : Changer l’attitude pour changer le comportement

Pourquoi est-il important de décoder le langage non verbal ? L’expression « non verbal » demande à être définie précisément.Dire qu’est non verbal ce que ne sont pas les mots revient à fabriquer une définition si floue qu’elle ne peut pas être opérationnelle. Le non verbal peut, sans difficultés, être regroupé en cinq grandes catégories de base : le périverbal,le para verbal,l’infraverbal,le supra verbal,le préverbal (1) L'identification de ces catégories permet de comprendre en outre, pourquoi plutôt que penser une science du non-verbal unique, il semble plus efficace scientifiquement de penser la réalité non verbale au croisement de disciplines diverses. Le périverbal peut être considéré comme la première dimension non verbale.C’est l'espace et le temps dans la communication. L'infraverbal comprend les codes non décodables consciemment, les odeurs, mais aussi les couleurs par exemple.Dès que nous parlons d'effet subliminal ou que nous évoquons les "effets d'exposition" "effets d'amorçage", nous évoquons en fait l'infraverbal. Éléments annexes :

Les 7 émotions universelles Ces derniers temps, je m’intéresse de près aux microexpressions. Largement médiatisées dans la série Lie To Me, série TV basée sur les travaux de Paul Ekman, il s’agit d’une expression faciale de très courte durée (moins d’une seconde) apparaissant généralement lorsque les enjeux d’une situation sont élevés. A la différence des expressions faciales, les micro-expressions sont totalement involontaires mais cependant, c’est là le hic, difficile à décrypter vu la brièveté du mouvement. En attendant un article plus fouillé sur les micro-expressions (et oui il y a pas mal de choses à raconter sur le sujet), je vous propose de découvrir un test sur le site de Paul Ekman visant à mesurer votre capacité à les décrypter. Si votre score est de moins de 40%, allez lire la suite de l’article où je vous donne les éléments clés des 7 émotions universelles du test (en anglais sad, happy, angry, contempt, surprise, fear, disgust) qui je l’espère vous permettront d’améliorer votre score. Loading ...

La culture d’entreprise : à quoi ça sert ? Si Carrefour peut être comparé à Auchan, H&M à Zara, ou encore la Macif à la Matmut, ces entreprises sont pourtant différentes et uniques par leur culture, et ce principe s’applique à toutes les organisations quel que soit leur secteur d’activité ou leur taille. Qu’appelle-t-on culture d’entreprise ? En quoi est-elle si importante ? Eléments de réponse. Zoom sur les composantes de la culture d’entreprise La culture de l’entreprise, aussi appelée culture organisationnelle, se résume en un ensemble d’éléments qui définissent son fonctionnement, son identité, son esprit unique par rapport à ses concurrents. Intérêt de la culture d’entreprise La culture d’entreprise est primordiale pour permettre à l’organisation de se différencier. En termes d’image d’une part, elle présente des atouts que ce soit en interne ou à l’externe auprès des consommateurs. En termes de compétitivité d’autre part, en favorisant l’appartenance, la culture augmente les performances des salariés. À propos de l'auteur

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