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L'école & La laïcité

L'école & La laïcité
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«La laïcité, levier d'intégration et de tolérance» - 23/01/2015 - LaDepeche.fr La question de la laïcité est devenue centrale dans le débat après les attentats. Mais il y a parfois de la confusion. Quelle définition en donnez-vous ? La laïcité est une conception du cadre politique de la vie commune, qui se fonde sur trois principes indissociables : la liberté de conscience ; l'égalité des droits de tous les citoyens, quelles que soient leurs convictions spirituelles (athées, croyants ou agnostiques) ; et l'orientation de la puissance publique vers le seul intérêt général commun à tous. Bref, le triptyque qui définit la laïcité (liberté, égalité, universalité) reprend à s'y méprendre le triptyque républicain. La laïcité n'est donc pas antireligieuse, elle ne s'en prend nullement aux religions comme démarches spirituelles. Mais son affirmation de l'égalité conduit évidemment à rejeter tout privilège public de la religion. Certains estiment que la loi de séparation des églises et de l'État de 1905 est obsolète. Elle n'est évidemment pas obsolète.

Abdennour Bidar, philosophe : “Je suis convaincu qu'existe un universel ­humaniste” Pour le philosophe, un islam humaniste, respectueux des droits de l'homme, est possible. Il appelle le monde musulman à se battre contre la barbarie et à inventer une nouvelle spiritualité. Et si les intellectuels de culture ou de confession musulmane faisaient enfin entendre massivement leurs voix ? Dans le New York Times, vingt-trois d'entre eux, américains, canadiens, anglais, viennent de lancer un retentissant appel à une « réforme de l'islam ». En France, Abdennour Bidar, 44 ans, philosophe, producteur à France Culture, chargé de mission sur la laïcité au ministère de l'Education nationale, ne les avait pas attendus : depuis dix ans, il s'est engagé à montrer que la spiritualité musulmane aurait tout à gagner d'une complète remise en cause des interprétations actuelles du Coran. Sa « Lettre ouverte au monde musulman » est un vibrant appel à l'autocritique et à la réforme. Comment avez-vous réagi aux massacres des 7, 8 et 9 janvier ? Comment avait été reçue votre lettre ?

UTV - La télévision de l'Université de Strasbourg la laïcité en dates définition laïcité La presse américaine dénonce l'hypocrisie des restrictions françaises à la liberté d'expression Temps de lecture: 4 min «Je suis troublé.» C'est la réaction de l'humoriste Jon Stewart, «perdu» face à l'arrestation et au renvoi en correctionnelle, pour «apologie du terrorisme», de Dieudonné pour son post Facebook «Je me sens Charlie Coulibaly»: «C'est un post Facebook ignoble, mais c'est pour ça qu'on a inventé le bouton "unfriend", non?» Pour Jon Stewart et de nombreux journalistes et intellectuels américains –de gauche comme de droite–, les discours de haine sont mieux régulés et combattus dans le débat public d'idées que dans les tribunaux. Des peines trop lourdes? Dans un éditorial, le journal canadien Globe and Mail accuse le gouvernement français d'avoir été trop loin: «Est-ce que des adolescents provocateurs qui crient "Mort à Charlie" devraient vraiment être détenus et condamnés pour des délits de terrorisme?» Lundi, un jeune de 20 ans a pris six mois de prison ferme à Orléans pour avoir crié «Vive la kalach!» La loi et les normes sociales Des lois contre-productives

Liberté de conscience et respect de la laïcité Charb, Cabu, Wolinski et Charlie Hebdo ont-ils été châtiés pour avoir blasphémé ? Non ! Ils ont été assassinés pour avoir défendu, par l’humour mais jusqu’au sacrifice, la liberté de conscience, de pensée et d’expression critiques contre tous les obscurantismes, tous les fanatismes, tous les intégrismes religieux et politiques. En France, le dernier supplicié pour blasphème fut en 1766 le jeune chevalier de La Barre car ce délit n’existe plus depuis la Révolution. Le blasphème a été défini par l’Église catholique comme « tout propos ou acte irrespectueux contre Dieu » et comme « une défaillance dans l’expression de la foi ». En effet, le droit de blasphémer a été conquis comme un corollaire de la liberté de conscience et de pensée. Voilà pourquoi les philosophes des Lumières ont dénié aux religions le droit d’imposer leurs dogmes à toute la société, aux croyants d’imposer leurs croyances aux agnostiques et aux athées. Il ne faudrait donc pas confondre tolérance et laïcité.

Charlie Hebdo : la France a toujours préféré Rousseau à Voltaire En guise d’hommage avant la marche républicaine, réflexion sur la liberté d’expression dans le contexte de l’atteinte – inédite en France – qu’elle a subie lors de l’assaut sur Charlie Hebdo. Le siècle des Lumières fut notamment marqué par le débat philosophique – et la querelle personnelle – entre Jean-Jacques Rousseau et Voltaire. Ce débat forgea dans une grande mesure l’histoire politique ultérieure de notre pays. Ma conviction est que l’une de ses ramifications se retrouve jusque dans l’attaque sur Charlie Hebdo. Dans Du contrat social*, Rousseau énonce la théorie selon laquelle, si le pouvoir étatique émane de la volonté du peuple, la liberté individuelle doit être sujette au dessein collectif incarné par l’Etat. L’implication de cette logique est claire : la puissance publique doit subsumer l’essence privée. La vision de Voltaire pourrait difficilement être plus opposée à celle de Rousseau. Dans la culture française, la vision de Voltaire est résumée par une célébrissime citation :

QUI SOMMES NOUS ? Il est facile d’écrire et de parler, tant que personne ne peut prouver le contraire de ce que l’ont dit, on peut donc dire ce que l’on veut et prétendre qu’on est les meilleurs. J’ai lu des tas de fiches dans lesquelles le prétendant se présente comme le plus grand mage ou sorcier de tous les temps ! Mais est-ce vraiment le cas ? Je suis en deux mots un professeur de théologie et un érudit des sciences occultes. Avec lui et grâce à lui, j’ai commencé à percer la formidable connaissance cabalistique et c’est grâce à cet homme que j’ai vraiment donné un sens à ma vie.

Allan Kardec Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Kardec. Allan Kardec Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Buste d'Allan Kardec. Léon Rivail est né à Lyon en 1804 dans une famille de juristes. Il devient interne au château d'Yverdon, sur le lac de Neuchâtel, chez le célèbre pédagogue Johann Heinrich Pestalozzi qui met alors en pratique les principes de l'« Émile » de Rousseau. Le pédagogue[modifier | modifier le code] Page de garde d'un ouvrage pédagogique d' Hippolyte Léon Denizard Rivail, 1828. Il est au début de sa vie un pédagogue disciple de Johann Heinrich Pestalozzi. En 1832, il épouse Amélie Boudet, une institutrice qui travaille avec lui dans son école et dans la poursuite de son œuvre pédagogique. En 1850, il tient diverses comptabilités dont celle de la « Baraque Lacaze », un théâtre appartenant au prestidigitateur Lacaze. Le spirite[modifier | modifier le code] Mémorial Allan Kardec, à Lyon. Selon Kardec : D.

L'OCCULTE SCEAU DE SALOMON Selon la légende, le Sceau de Salomon était un anneau magique que le Roi Salomon possédait... Dans une légende musulmane, ce sceau lui donnait simultanément le pouvoir de commander les démons et les génies (djinns), ou de parler avec les animaux. Le Coran parle explicitement de ce sceau et des pouvoirs de Salomon qui en découle… LES ALLÉGATIONS FARFELUES DE VICTOR VIENNE :Par Matthieu Langlois Quant à la théorie de V. Le professeur Vienne poursuit ainsi son explication...« Le sceau de Salomon est nécessairement un symbole "solaire" et "saturnien", qu’on doit aussi sans doute associé à la constellation d’"Orion" et à "Sirius". J'ose attirer l'attention du lecteur sur "la faux" et la "tête de taureau" présentes sur ce talisman de Saturne et ce que représentent bien trop souvent dans ce contexte occulte, les crop circles en formations d'étoiles de ce type souvent rencontrées dans les champs. ISIS + RÂ + HORUS = ISHTAR + BAAL + MOLOCH Reine des cieux + Roi des rois + Roi, Fils des dieux V.

Théosophie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Emblème de la société théosophique. Les cinq symboles visibles dans le sceau sont l'Étoile de David, l'Ânkh, la Sauvastika, l'Ouroboros et, au-dessus du sceau, le signe Aum. Autour du sceau sont écrits les mots : « Il n'y a pas de religion supérieure à la Vérité ». Le terme théosophie fait référence à un système philosophique ésotérique à travers lequel l'être humain tente de connaître « le Divin » et les mystères de la Vérité. La « théosophie antique » est à distinguer de la « théosophie moderne » ou « théosophisme »[1] se référant à la Société théosophique. Théosophie antique[modifier | modifier le code] La théosophie (theosophia — en grec : theos, divin et sophia, sagesse) a été fondée par des auteurs de l'Antiquité. Pour Porphyre, le theosophos est « un être idéal unissant en lui-même la qualité d'un philosophe, d'un artiste et d'un prêtre du plus haut niveau »[2]. Théosophie moderne / Théosophisme[modifier | modifier le code]

Espéranto - Lingvo Internacia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’espéranto est une langue construite conçue à la fin du XIXe siècle par Ludwik Lejzer Zamenhof dans le but de faciliter la communication entre personnes de langues différentes. Zamenhof publia son projet en 1887 sous le nom de Lingvo Internacia (Langue Internationale), sous le pseudonyme de Doktoro Esperanto (Docteur qui espère), d’où le nom sous lequel la langue s’est popularisée par la suite. Fondé sur une grammaire régulière (sans exception), l'espéranto est une langue globalement agglutinante où les mots se forment à partir d'un nombre limité de racines lexicales et d’affixes. Ces particularités facilitent son apprentissage. L'espéranto est la seule langue construite qui a dépassé le stade de projet pour devenir une langue vivante, avec des locuteurs actifs répartis dans la plupart des pays du monde[1]. Histoire[modifier | modifier le code] Le premier congrès mondial d'espéranto se déroula en 1905 à Boulogne-sur-Mer.

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