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Exemple fiche projet

Exemple fiche projet

19. La Ronde des Fraîcheurs : La lutte, c'est pas du gâteau La Ronde des Fraîcheurs, entreprise du groupe Intermarché basée à Estillac (Lot-et-Garonne), produit des pâtisseries industrielles. Du 9 mai au 12 juin, une grève de la majorité du personnel de production a touché cette entreprise, déclenchée par la remise en cause du 13e mois et d’une prime d’ancienneté. La grève avec blocage qui a touché l’entreprise La Ronde des Fraîcheurs en mai et juin est sans doute une préfiguration de ce qui pourrait se passer dans beaucoup d’entreprises : la nouvelle loi dite « de sécurisation de l’emploi » issue de l’Accord national interprofessionel ouvre la porte à de multiples baisses de salaires. Côté patronal, cette grève n’a pas été prise à la légère. Blocus dés le premier jour Lors d’une précédente grève, en 2011, la direction refusa de négocier... jusqu’à ce que les grévistes décident de bloquer l’entreprise, empêchant les camions de livrer les pâtisseries à destination des magasins Intermarché. Le conflit continue sous d’autres formes

Ceinture sur les rémunérations... Avis de turbulences sur l’intéressement. Chez Carrefour, 73 millions d’euros à partager entre 120 700 salariés. Certains ont trouvé la pilule amère. « Cela fait 610 € par personne, calcule un délégué CFDT, dont le syndicat a refusé de signer l’accord de participation pour les années 2014-2015-2016. En 2013, nous aurions dû toucher 970 € en moyenne si nous avions gardé l’ancien mode de calcul. » Soit moins d’un demi-mois de salaire supplémentaire, 0,40 mois exactement. Résultat : deux syndicats sur quatre, FO (majoritaire) et la CGC, ont paraphé l’accord. Isabelle Calvez, directrice des ressources humaines de Carrefour France, se félicite, elle, du nouveau mode de calcul de l’intéressement. « La base de calcul est plus simple, axée sur le résultat opérationnel de la France. La « règle des trois » Moins certainement que pour les 75 000 salariés d’Auchan, habitués depuis 1977 à toucher leur « Valauchan », ou fonds commun de placement (FCP). Mais la belle époque est révolue.

Prime d'intéressement : principe - Ooreka Écrit par les experts Ooreka | Le paiement de la prime d'intéressement est soumis aux conditions de son partage entre les salariés. L'employeur qui souhaite mettre en place dans son entreprise un dispositif d'intéressement des salariés doit impérativement initier un processus de négociation et rédaction d'un accord d'intéressement devant conduire à sa conclusion. Une fois l'accord conclu et rédigé, la prime d'intéressement peut être répartie entre les bénéficiaires après un calcul de l'intéressement selon une formule définie dans l'accord. Intéressement salariés : prime collective répartie entre eux L'intéressement est un outil RH d'incitation des salariés à la performance : la formule de calcul de l'accord d'intéressement leur fixe des objectifs communs à atteindre au cours d'une période/d'un exercice, objectifs qui sont chiffrés, une prime collective récompense l'atteinte de ces objectifs. Formule de calcul : des objectifs à atteindre Ce sont eux qui prévoient et détaillent : Attention !

Que font les DRH pour maitriser le climat social ? Article publié le 08/03/2012 Plusieurs facteurs influent sur le climat social d’une entreprise. Il y a ceux qui sont d’ordre structurels et liés au fonctionnement inhérent de l’organisation (satisfaction des salariés, stress, risques psycho-sociaux,…) et ceux qui dépendent de la conjoncture et de l’environnement externe de l’entreprise, comme la crise actuellement. Les indicateurs que suivent les DRH (absentéisme, accidents du travail, turn-over, mobilité,…) sont conditionnés par le climat social. Attention, néanmoins à ne pas confondre les éléments déclencheurs qui impactent l’environnement et le fonctionnement de l’entreprise, de ce qu’il faut mesurer en réalité. « Les risques psycho-sociaux, le stress, le harcèlement moral sont des symptômes qui témoignent d’un malaise au sein de l’entreprise. Les dispositifs pour mesurer le climat social Quelles actions concrètes mettre en place ? Emilie Vidaud

Code du travail Section 1 : Dispositions générales. Le contrat de travail est soumis aux règles du droit commun. Il peut être établi selon les formes que les parties contractantes décident d'adopter. Le contrat de travail à durée indéterminée est la forme normale et générale de la relation de travail. Toutefois, le contrat de travail peut comporter un terme fixé avec précision dès sa conclusion ou résultant de la réalisation de l'objet pour lequel il est conclu dans les cas et dans les conditions mentionnés au titre IV relatif au contrat de travail à durée déterminée. Le contrat de travail établi par écrit est rédigé en français. Lorsque l'emploi qui fait l'objet du contrat ne peut être désigné que par un terme étranger sans correspondant en français, le contrat de travail comporte une explication en français du terme étranger. Lorsque le salarié est étranger et le contrat constaté par écrit, une traduction du contrat est rédigée, à la demande du salarié, dans la langue de ce dernier.

La reconnaissance en milieu de travail La reconnaissance constitue d'abord une rétroaction constructive et authentique. Elle est fondée sur l'appréciation de la personne comme un être authentique qui mérite respect et qui possède des besoins ainsi qu'une expertise unique (Brun). Il s'agit en fait d'une considération de l'être humain dans sa globalité. La reconnaissance en milieu de travail constitue un jugement posé sur la contribution du travailleur, tant en ce qui touche le procédé de travail que l'investissement personnel et l'engagement. La reconnaissance s'exprime dans les rapports humains et elle se pratique sur une base quotidienne, régulière ou ponctuelle. À la lumière de cette définition globale issue des principales approches théoriques, il est possible d'identifier quatre formes de reconnaissance en milieu de travail.

5 activités de teambuilding pour renforcer la cohésion d’équipe : 3H Coaching – Vivez pleinement ! La cohésion d’équipe au sein d’une entreprise est une condition sine qua none au développement et à la réussite de celle-ci. Il est primordial pour les dirigeants de savoir qu’ils peuvent compter sur une équipe engagée avec eux, et en qui ils peuvent avoir confiance. L’ensemble des collaborateurs doivent pouvoir travailler ensemble dans un même but, sans se tirer dans les pattes. Il n’y a rien de pire qu’une mauvaise ambiance, ou juste de simples problèmes de communication entre collègues pour entraîner une baisse de la motivation et un cercle vicieux de contre-performance. Pour éviter ce genre de troubles, il existe des activités à effectuer hors du cadre de l’entreprise. Ce sont des activités de teambuilding. 1. Vous avez ici l’embarras du choix pour emmener votre équipe participer à une activité sportive en extérieur. 2. On construit tous ensemble une maquette géante ? Vous pouvez vous essayer à la réalisation du plus grand puzzle possible de 32 000 pièces ! 3. 4. 5.

Comment motiver ses salariés et collaborateurs - Apprendre à fidéliser Motiver et fidéliser ses collaborateurs au sein de l’entreprise sont des points majeurs, pour avoir un travail sérieux, un personnel motivé et productif. Une bonne ambiance de travail, des équipements adaptés, un cadre de travail agréable sont autant d’atouts pour assurer la motivation et la fidélisation des collaborateurs. L’organisation d’événements pour motiver ses salariés Pour booster une équipe et redonner la motivation nécessaire aux employés, rien ne vaut l’organisation de séminaires, de journées thématiques ou des soirées au restaurant. Les avantages sociaux : fidélisation et motivation assurées ! Pour qu’un collaborateur soit efficace et opérationnel, l’entreprise doit passer du temps avec lui, pour assurer son intégration notamment, mais aussi de l’argent, par le biais de formations diverses. Les avantages propres à l’entreprise Un cadre de travail agréable Cela semble une évidence, pourtant de nombreuses entreprises négligent encore cet aspect.

La reconnaissance au travail La reconnaissance est devenue une demande quasi unanime chez les salariés. L’analyse montre qu’elle comprend quatre dimensions spécifiques. La demande de reconnaissance est devenue une composante essentielle de la vie au travail. Elle touche toutes les organisations, privées ou publiques, et toutes les professions, du bas en haut de la hiérarchie. Que se cache-t-il donc derrière cette notion de reconnaissance ? Objet insaisissable car multidimensionnel, elle est à la fois individuelle et collective, quotidienne et ritualisée ; elle concerne autant la personne que le travail ; elle peut être financière ou « symbolique ». Pour s’intégrer dans une organisation, toucher concrètement la vie des employés, des gestionnaires et des dirigeants, elle doit donc s’inscrire au sein d’une culture organisationnelle et se fondre dans les pratiques courantes de gestion des ressources humaines et d’organisation du travail. • Reconnaître la personne : une conception existentielle. Jean-Pierre Brun

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