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"Le journalisme traditionnel n'est plus adapté à ce que le public recherche sur internet"

"Le journalisme traditionnel n'est plus adapté à ce que le public recherche sur internet"
S’appuyant sur des chiffres de l’“American Society of Newspaper Editors”, le Pew Research Center (PRC, un think tank américain spécialisé dans les tendances aux Etats-Unis et le monde – ndlr) a publié une enquête indiquant que le nombre de journalistes de presse quotidienne traditionnelle aux Etats-Unis avait chuté de 54 000 en 2006 à 38 000 en 2012, soit une baisse de 30%. Concernant la presse magazine, ce n’est guère mieux, avec une baisse de 26% des effectifs au cours des dix dernières années. Sans compter la suppression prochaine de 500 emplois chez l’éditeur Time Inc. prévue cette année. Cette enquête rapporte qu’à la même période, 5 000 nouveaux emplois ont été créés dans la presse numérique. BuzzFeed – qui a lancé son portail français l’année dernière – est passé d’une demi-douzaine d’employés en 2012 à 170 aujourd’hui. Ces petites structures n’ont pas vocation à couvrir toute l’information. En France, ce phénomène peine encore à s’imposer.

Comment Coachella est-il devenu un monstre de la musique indé mondiale ? Soleil californien, programmation imposante tant par sa qualité que par la quantité d’artistes, festivaliers heureux et hyper-lookés… comment Coachella est-il devenu l’un des festivals les plus prisés au monde ? De Phoenix à Air, en passant bien sûr par Daft Punk, tous les meilleurs artistes français s’y sont d’ailleurs produits. Que se cache-t-il vraiment sous l’imposante machine qu’est devenue Coachella ? Comment le festival réussit-il à imposer aujourd’hui des artistes deux week-ends de suite ? Le Coachella Valley Music and Arts Festival est né quelques mois après l’édition 1999 du festival de Woodstock. Si aujourd’hui Coachella est l’un des festivals les plus importants au monde, ses débuts ont été incertains. Un peu d’histoire L’idée même du festival et le choix du lieu datent de 1993 lorsque Pearl Jam joue sur les terrains de l’Empire Polo Club (là où le festival prendra place plusieurs années plus tard). Persévérance est mère de la réussite Une grosse machine avant tout

- Journalisme en mutation : six leçons à retenir du Journocamp, les “bidouilleurs” de l’info Eloge du plaisir de la complexité chez Google aussi – ©Journocamp Le 3 avril 2014 a eu lieu le Journocamp, premier barcamp français de journalistes (mais pas que) dans les locaux de Google, à Paris. Une centaine de membres de la communauté Google+ des “journalistes qui tâtent un peu des outils modernes” se sont retrouvés pour échanger conseils et bonnes pratiques à propos des nouveaux outils, formats ou tendances éditoriales. Ce genre d’évènement ringardise quelque peu la conférence (con)descendante où une poignée d’experts discutent de sujets qui intéressent plus ou moins les spectateurs. D’une manière générale, l’auditoire doit pouvoir poser des questions ou intervenir tout au long des conférences et pas seulement dans le dernier quart-d’heure, quand on a depuis longtemps oublié ce qu’on voulait demander (technique éprouvée du “noyage de poisson”, bien connue des politiques). C’est le témoignage qu’a livré Samuel Laurent, notamment, des Décodeurs du Monde. Cyrille Frank

Valérie Patrin Leclère Valérie Patrin Leclère Maître de conférences au CELSA - Université de Paris-Sorbonne Responsable du département Médias et Communication Membre du GRIPIC valerie.patrin@celsa.paris-sorbonne.fr Enseignements : - Panorama des entreprises médiatiques / Connaissance des médias - Analyse sémio-économique des transformations médiatiques. - Analyse des hybridations professionnelles entre professionnels des médias, du marketing et de la communication - Transformations du journalisme - Méthodologie de la recherche en Sciences de l'information et de la communication. Principaux thèmes de recherche : Analyse des transformations médiatiques ; incidences de la publicité sur les formes et les contenus médiatiques ; créations de dispositifs médiatiques par les organisations communicantes ; hybridations entre communication et information, entre marques et médias ; analyse de la critique des médias. >> En savoir plus sur Valérie Patrin-Leclère : activités de recherche, publications...

Plumes d'ici et d'ailleurs Marketing de l'Art et de la Culture : Spectacle vivant, patrimoine et industries culturelles: Amazon.fr: Dominique Bourgeon-Renault, Stéphane Debenedetti, Anne Gombault, Christine Petr Tout ce qu'il faut savoir sur les licences Creative Commons Je m'y réfère tous les jours, que ce soit ici pour ce blog, pour LittleThingz, et pour illustrer tout un tas de choses, et pourtant je me rends compte que je ne suis jamais vraiment entré dans le détail pour expliquer ici ces fameuses licences Creative Commons. Car oui, sauf exceptions de rares photos personnelles, de captures d'écran, ou de quelques images "piquées" sur les pages d'un service web parce que j'en fait la promotion, toutes les images que tu trouves ici sont distribuées selon une de ces licences. Et pourtant, j'ai l'impression que ce n'est pas la règle sur la majorité des blogs et sites web, et je pense que c'est bien dommage. Voici donc l'essentiel de ce qu'il faut savoir sur le sujet, en t'expliquant un peu ma manière personnelle de gérer ça. Pourquoi faut-il connaître et utiliser ces licences ? Sauf que comme toute chose, il y a un auteur derrière chaque création, et il n'est pas forcément d'accord que tu lui piques son travail sans contrepartie. Attribution (CC BY)

Artistes 2.0: C’est quoi MySpace et pourquoi vous devez l’utiliser absolument MySpace c’est l’un des sites les plus ma foutu du web et c’est pourtant devenu l’un des outils incontournable de l’artiste 2.0… Même si c’est moche et parfois galère a utiliser, c’est un formidable outil pour découvrir et se faire découvrir… C’est quoi ? MySpace (« mon espace ») est un service qui permet de créer gratuitement votre page web personnelle (le site est financé par la pub). après inscription, vous pouvez choisir un modèle et démarrer une page ou vous pourrez vous présenter, ajouter des images, des vidéos, de la musique, afficher vos gouts, … Bref être présent en ligne. Dans les mots d’une utilisatrice: « moi j’imagine que c’est ma pièce à moi ou je met mes films mes musiques, mes photos et j’invite mes amis. Puis cette pièce, j’essaie de la faire le plus possible à mon image et tous les jours (ou semaine) je la modifie, j’arrange des choses et mes amis sont les bienvenue et aiment voir ce que j’ai mis dedans« . Ergonomie zéro Le site est nul, mais la communauté géniale

Écrire un livre, lire un roman ou publier une histoire. logiciel auto édition en ligne ecrire publier un livre Cinq artistes avec d'excellents sites Internet Il y a quelques temps, on vous parlait des groupes ou artistes présents sur les réseaux sociaux. Mais avant de liker ou tweeter, Internet était fait pour créer des sites. Certains ne l’ont pas oublié! On aurait pu vous parler du très réussi site de Beyoncé. Laurent Garnier, version journal Il y a trois jours est né Le Journal de Garnier, webzine sur et par Laurent Garnier. Machinedrum, leçon d’orientation Cela fait plusieurs mois que Machinedrum, alias Travis Stewart, nous fait vivre son projet « Vapor City », du nom de son album sorti l’année dernière chez Ninja Tune. Cliquez sur l’image pour visiter Vapor City. Oh! Autant l’avouer tout de suite, on n’a pas compris grand chose au site d’Oh! Björk, la tête dans les étoiles On en attendait pas moins de Björk: son site officiel est complètement fou! Mr Oizo 3000 = Commodore 64 Mr Oizo n’aime pas trop montrer sa trombine dans la presse ou sur Internet.

monBestSeller.com, plateforme de publication gratuite de livres. Les "premiers pas" des artistes sur Facebook, révélateurs d'une carrière (ou pas) Dis-moi comment tu abordes Facebook, je te dirai qui tu es ? Pas si simple, surtout dans le monde de la musique. Image de une : Diplo, Grimes, Skrillex et Tokimonsta (entre autres) affairés devant leurs ordinateurs. De ceux qui s’y sont mis dès l’ouverture du réseau social, à ceux qui ont pris le train en marche, les artistes ont du composer avec Facebook, de gré ou de force. Woodkid 2009, Yoann Lemoine commence ardemment à bosser sur sa musique, alors qu’il commence à s’imposer comme quelqu’un d’incontournable dans la réalisation vidéo. Mais on note que les premiers pas de Woodkid ne seront pas révélateurs de la suite de son aventure avec le réseau social, avec lequel il deviendra plus distancié par la suite. Fauve Ceci est le second post Facebook de Fauve, qui a lancé sa page en 2011, suivant de près la formation même du collectif. Gesaffelstein Mike Lévy s’est mis assez tard à Facebook, lui qui est toujours apparu comme relativement insaisissable au niveau de son image digitale. Rone

«La France ce n’est pas Daft Punk…» L’industrie musicale française se prend une belle une soufflante par Rachid Ferrache • Zeal Journal Après le triomphe des Daft Punk aux Grammy Awards, la déferlante médiatique ne s’est pas fait attendre publiant des articles encore et toujours plus élogieux. Grand bien leurs fasse. Mais le débat fait rage lorsque Rachid Ferrache lit des articles faisant l’apologie de la «French touch» outre Atlantique. En effet, les Daft Punk sont-ils vraiment représentatifs du paysage musical français actuel ? Souvenez-vous bien que le titre QUAND IL PÈTE IL TROUE SON SLIP est passé en tête des ventes devant DAFT PUNK aujourd’hui récompensé de 6 Grammy awards devant le monde entier. L’artiste aux multiples facettes dresse un constat alarmant de l’environnement musical dans lequel la France s’enlise depuis plusieurs années. Daft Punk aux Grammy… Pas besoin de crier victoire au nom de la France les amis… La France ce n’est pas Daft Punk… La musique française d’aujourd’hui ce sont des Keen V et autres Maître Gims qui finiront aux oubliettes dans moins d’un an. Pour l’amour de la musique.

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