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Quitter la sécurité sociale

Quitter la sécurité sociale

| Sécurité sociale : brisons le monopole!Contribuables Associés "Le trou de la Sécu" est une réalité connue de tous. Et si le déficit chronique des 4 branches de notre système social venait de leur situation de monopole ? Si cette hypothèse est juste, réintroduire de la concurrence devrait améliorer les choses ? Et les contribuables s'en porteraient mieux : aujourd'hui, nous sommes de plus en plus taxés et de moins en moins remboursés dans un système dépassé. Par Laurent C., de profession libérale, figure de proue parmi les nombreux Français qui décident aujourd'hui de quitter la Sécu. Par Laurent C. Pour rappel, la sécurité sociale comprend quatre branches : Maladie, Vieillesse, Famille et Accidents du travail/Maladie professionnelles. Prenons le cas de l’assurance maladie qui dans l‘imaginaire collectif a pris le nom de « sécu ». « Ah mais la santé n’est pas un bien de consommation comme un autre ! L’État est donc le seul capable de la gérer et s’agissant au sens propre d’une question de vie ou de mort il n’y a pas à regarder à la dépense.

Le monopole de la sécurité sociale a-t-il vraiment sauté ? Par Alexis Vintray. La question de la fin éventuelle du monopole de la sécurité sociale déclenche régulièrement les passions, encore plus ces dernières semaines avec un regain d’intérêt marqué pour le sujet (BFM, RMC, Atlantico, etc.). Pourtant, les libéraux devraient se garder d’un trop grand optimisme sur un sujet où les réponses sont au mieux incertaines. Ici ou ailleurs, des chroniqueurs aux avis radicalement divergents se sont déjà affrontés, arguant pour les uns que le monopole de la sécurité sociale avait déjà sauté, pour les autres, qu’il était encore d’actualité. Je n’ambitionne pas de faire mieux qu’eux, n’ayant ni la formation juridique nécessaire ni le temps de rentrer dans des textes juridiques pour le moins abscons. Je me contenterai de quelques remarques de bon sens. Qu’on le veuille ou non, le droit reste univoque Personne n’a jamais été condamné pour avoir incité à quitter la sécu. Certes, personne ne semble avoir été poursuivi à cause de ce texte.

Exclusif : je quitte la Sécu, Episode 1 ! Laurent C. est travailleur indépendant. Lassé de ses relations avec la Sécurité sociale, il a décidé de la quitter et de souscrire à une assurance privée. Jour après jour, il vous raconte son parcours, les obstacles qu’il doit affronter, et livrera ses impressions quant au fonctionnement des assurances privées. Avertissement aux lecteurs : cet article et les suivants ne sont pas une incitation à quitter la SS car une telle démarche est sanctionnée par la loi (source : : « Le code de la sécurité sociale instaure désormais des sanctions lourdes contre toute personne qui incite les assurés sociaux à refuser de se conformer aux prescriptions de la législation de Sécurité sociale, et notamment de s’affilier à un organisme de Sécurité sociale ou de payer les cotisations et contributions dues : une peine de 6 mois de prison et/ou une amende d’un montant porté de 7500 à 15.000 € …». Quitter la sécu ? Tout d’abord je me présente

Sécurité Sociale : l’État perd son sang-froid Actuellement se déroule, dans une discrétion de plus en plus relative, un combat majeur occupant certains Français qui désirent quitter le giron étouffant de la Sécurité Sociale. L’enjeu est de taille puisqu’à mesure que ceux-ci s’extraient du système d’assurance collectiviste français, la position financière de l’institution, déjà rendue médiocre par des années de gestion calamiteuse, s’en retrouve encore plus fortement dégradée. Ce combat a été illustré tout au long de l’année 2013 par les aventures de Laurent C., dont on peut trouver l’ensemble des épisodes sur Contrepoints, et dont le dernier en date nous révèle un nouveau développement dans les manœuvres que mènent les institutions pour tenter d’étouffer le mouvement dans l’œuf. On apprend en effet que deux de ces assureurs ont décidé de ne plus offrir de contrat à ceux qui avaient renoncé à la Sécurité Sociale. Le premier, Aviva, a envoyé un e-mail au webmestre du site pour lui demander de retirer son nom de la liste.

Quitter la Sécurité Sociale, un mouvement qui prend de l’ampleur et qui s’inscrit dans la coagulation du 26 janvier Il y a quinze ans, ils étaient peu à quitter la sécurité sociale et on n’en entendait presque pas parler. Dernièrement nous avions pu interroger un de ceux qui ont fait le pas : Laurent C. et qui raconte son histoire sur un blog. France2 vient d’y consacrer un reportage dans son 20h. Nous avons pu nous entretenir avec Philippe Letertre, chirurgien à Nice, un acteur important de ce mouvement. Philippe Letertre est un des fondateurs de la page Facebook : « les médecins ne sont pas des pigeons », créée sur le modèle des Genopi. Avant les actes de médecine et de chirurgie esthétique bénéficiaient, comme les autres actes médicaux, d’une exonération de TVA. Comme nous l’avait déjà confié Laurent C., avec le ras-le-bol fiscal le mouvement prend de l’ampleur : « on est à la tête d’une nouvelle vague ». Il est bien clair que le gouvernement ne compte pas laisser le mouvement se développer.

Sécurité Sociale, le front suisse Par Stéphane Montabert, depuis Renens, Suisse. Des milliers de lecteurs ont suivi avec intérêt les chroniques de Laurent C., un indépendant français bien décidé à quitter le carcan de la Sécurité Sociale hexagonale – celle-là même que réclament bien naïvement les Suisses ! Il faut savoir que le monopole de la Sécurité Sociale française serait abrogé depuis maintenant vingt-deux ans (!) par le biais de directives européennes libéralisant les services d’assurance à l’échelle communautaire. Ces quelques lignes plongeront nombre de lecteurs français dans la perplexité, tant ils sont maintenus dans l’ignorance de la législation européenne lorsqu’elle peut leur apporter un peu de liberté. Pendant des années, des décennies même, le barrage a tenu bon : si Laurent C. et d’autres, aidés par Claude Reichman, ont réussi à sortir du système – sans être ni jetés en prison ni mis sur la paille – ils évoquaient plus des gouttes perlant à la surface qu’une véritable brèche. —Sur le web.

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