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Taxonomie de Bloom - ère numérique

Taxonomie de Bloom - ère numérique

Bloom… à toutes les sauces (ou presque) Mis à jour le (Mardi, 14 Juillet 2009 19:18) Ecrit par Anna Dans le support Rédiger une consigne, je parle de la taxonomie de Bloom pour l'intérêt qu'elle présente dans la formulation des objectifs d'apprentissage. Mais ce classement est également utile à d'autres niveaux pour le formateur à distance. En effet, il peut servir à évaluer le potentiel pédagogique d'une ressource. Je profite de cette édition pour proposer la version révisée de sa taxonomie. Evaluer le potentiel d'apprentissage d'une ressource revient à se poser cette question : à la fin de la consultation de cette ressource, de quoi est-ce que l'apprenant sera capable ? Cette question renvoie directement à la façon dont est conçue la ressource en terme d'objectif d'apprentissage. Mais revenons à Bloom… La taxonomie de Benjamin Bloom (1956) classe les objectifs d'apprentissage en 6 familles qui vont de l'opération d'apprentissage la plus simple (le bas de la pyramide), à la plus complexe (le haut de la pyramide).

Qui connaît la taxonomie de Bloom Schéma d'Olivier Legrand (détail) C’est un exemple pur de la façon dont la twittosphère peut dévorer notre temps. Mais c’est aussi l’inverse : une preuve de l’intérêt à s’exposer l’esprit à des centaines de sollicitations imprévues et à se laisser emporter par ses élans de curiosité. C’est également une illustration de ce que j’appelle le merveilleux éducatif : ce qui fait que l’exploration de la planète éducation n’est jamais terminée. Le merveilleux éducatif (à ne pas confondre avec le pittoresque, façon « j’ai survécu dans l’enfer du neuf-trois ») fait voyager non seulement à travers les classes, les salles des profs ou les amphis, mais aussi à travers les époques, les concepts et les délectables controverses que génère le thème « éducation ». Au cours d’une déambulation sur Twitter, je suis, donc, tombé sur la taxonomie de Bloom. Autant dire que tout travail d’analyse, d’une certaine façon, commence par une démarche de taxonomie. La notion d'objectifs pédagogiques Et Bloom ? Luc Cédelle

Pédagogie, Andragogie, Heutagogie : De quoi on parle ? Si on emploie couramment le mot pédagogie, on entend plus rarement les mots andragogie et heutagogie. Une chose est sûre, ces trois mots ont un lien et traversent les âges. En effet, ils désignent tous la façon dont l’apprentissage s’adapte à l’âge de l’apprenant. On se penche un peu plus en détail sur ces méthodes d’enseignement, entre objectif commun et différences. Apprendre et enseigner La pédagogie Au cours de l’Histoire, on a considéré la pédagogie comme un art, puis comme une science. Instruction, éducation des enfants, de la jeunesse. C’est la science de l’éducation des enfants et adolescents. Des articles pour explorer la pédagogie >> S’organiser et apprendre grâce au mind-mapping>> Qu’est-ce que la différenciation pédagogique ? L’andragogie D’où ça vient ? Le terme andragogie a longuement été utilisé par Malcolm Shepherd Knowles dans ses travaux. Qu’est-ce que c’est ? C’est l’apprentissage chez l’adulte. Il établit également 4 principes dans l’application de l’andragogie1 :

Les objectifs pédagogiques : guide pratique (3/3) Les objectifs pédagogiques : guide pratique (3/3) Un objectif pédagogique doit être exprimé avec précision et clarté, mais ce n’est pas suffisant : Pour être complet, un objectif pédagogique devrait comporter (« devrait », car dans la pratique, les objectifs pédagogiques comportent rarement tous ces éléments) : Un comportement observable (c’est-à-dire vérifiable de manière formelle) : le comportement est indiqué par le verbe dont l’apprenant est le sujet, par exemple :« être capable de remplacer un disque dur SATA défectueux par un disque en bon état ayant les même caractéristiques techniques »Des conditions d’exécution, précisant comment est effectuée l’action, par exemple :« en utilisant la documentation constructeur n° XY-385″Des critères de performances, qui précisent les limites d’acceptation de l’action effectuée, par exemple :« en moins de 30 minutes, et avec un taux d’erreur de moins de 5% » Quelques exemples d’objectifs pédagogiques précis et complets :

la pédagogie par objectifs | Didac2b la pédagogie par objectifs Les applications du type Opale suggèrent de présenter les objectifs en début de séquence. Obnubilés par la dernière innovation web 2.0, par une interpolation de mouvement dans un logiciel qui fait du flash « sans connaissance de l’Actionscript » ou par une pop-up qui ne veut pas s’ouvrir chez un stagiaire, nous avions un peu oublié ce que sont ces objectifs. Rafraichissement : Les objectifs pédagogiques ont été popularisés par Mager et Bloom au début des années 60. sous forme de comportement observable décrits par des verbes d’action (la performance) ;avec des critères précis (le niveau de performance) ;et une indication des conditions de réalisation. Dans la formation, une séquence est la période pendant laquelle on traite d’un objectif. Pour rédiger un objectif, on utilise des verbes d’action qui décrivent des comportements observables. La taxonomie de Bloom peut nous y aider : La taxonomie de Bloom la pyramide de Bloom WordPress: J'aime chargement…

Le guide complet de la taxonomie de Bloom En 1956, Benjamin Bloom et ses collaborateurs Max Englehart, Edward Furst, Walter Hill et David Krathwohl ont publié un cadre de catégorisation des objectifs pédagogiques. Intitulé la taxonomie de Bloom, ce cadre a été appliqué par des générations d’enseignants de la maternelle au lycée et par des professeurs d’université dans leurs méthodes d’enseignement. En outre, le cadre élaboré par Bloom et ses collaborateurs se compose de six grandes catégories : connaissance, compréhension, application, analyse, synthèse et évaluation. En plus, les catégories après connaissance ont été présentées comme des « compétences et capacités », en sachant que la connaissance était la connaissance. Alors que chaque catégorie contenait des sous-catégories, toutes situées le long d’un continuum allant du simple au complexe et du concret à l’abstrait, Un peu de difficulté à comprendre la phrase : « la taxonomie est généralement rappelée selon les 6 niveaux de la taxonomie ». L’histoire de la taxonomie de Bloom

Taxonomie de Bloom révisée Taxonomie de Bloom Plus récemment, d'autres auteurs (Wang, Haertel et Walberg, 1993) ont souligné l'effet de variables complémentaires telles que les processus métacognitifs ou le climat de la classe. Les élèves sont aidés quand et là où ils rencontrent des difficultés: la pédagogie de maîtrise insiste beaucoup sur l'importance des remédiations qui vont de pair avec l'évaluation permanente des acquis des élèves. A ce propos, Bloom parle d'évaluation formative pour désigner une forme d'évaluation intégrée au processus d'apprentissage et dont le but est le diagnostic immédiat des difficultés pour pouvoir y apporter une réponse rapide sous la forme de remédiations ajustées aux besoins de chacun. La régulation permanente des apprentissages à travers la passation régulière de tests et l'apport judicieux d'activités de remédiation permet, selon Bloom, d'envisager un enseignement collectif dont l'efficacité ne serait pas loin d'égaler les effets du tutorat individuel.

Pourquoi et comment organiser une veille collaborative ? On ne cesse de nous rappeler qu’à l’ère du numérique la connaissance est de plus en plus accessible. Ce mantra est également valable pour les entreprises, qui ne peuvent plus ignorer le fait qu’une bonne partie de leurs « connaissances » est détenue par leurs collaborateurs. Cependant, force est de constater que l’organisation du savoir, qui est faite naturellement par les individus dans un contexte personnel, est bien plus ardue à organiser par les sociétés. Scoop.it via sa plateforme de curation de contenu a mis en place un formidable outil d’organisation des contenus à destination des experts et individus, et certains d’entre eux ont ensuite plébiscité un système similaire à déployer au sein de leur entreprise. Nous avons donc dû répondre aux questions que se posent les organisations en termes de veille collaborative, et à commencer par deux interrogations très simples : pourquoi et comment ? Pourquoi organiser une veille collaborative d’entreprise ? 1. 2. 3. 1. 2. 3. 4.

La carte heuristique ou mind-map Toute activité demande la mobilisation de nos deux hémisphères cérébraux. Même s’il est faux de caricaturer à ce point leur fonctionnement, on peut dire afin de mieux comprendre que ceux-ci présentent des caractéristiques qui les spécialisent plutôt dans certains domaines : L’hémisphère gauche est plutôt rationnel, logique. Il traite le langage, les mots. Il attache de l’importance aux détails. Il calcule, planifie, analyse, interprète, …L’hémisphère droit est plutôt intuitif. Comment coordonner ces deux hémisphères ? «Le schéma heuristique [Mind Map] est une manifestation de la pensée irradiante et par conséquent une fonction naturelle de l’esprit. Au début des années 70, Tony Buzan, un psychologue britannique, à la suite de ses recherches sur l’apprentissage et le cerveau humain, a donné naissance à une méthode d’organisation des idées, sous forme de dessin ou d’arborescence, d’où découle son concept de carte heuristique (ou Mind Map en anglais). Carte heuristique ou Brainstorming ?

Taxonomie de Bloom Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La roue de la taxonomie de Bloom. La taxonomie de Bloom est un modèle pédagogique proposant une classification des niveaux d'acquisition des connaissances[1]. Benjamin Bloom, bien qu'il n'en soit pas le seul créateur (34 universitaires américains participent aux conférences de 1949 à 1953), est souvent reconnu comme le « père » de cet outil[2],[3]. Description[modifier | modifier le code] La taxonomie organise l'information de façon hiérarchique, de la simple restitution de faits jusqu'à la manipulation complexe des concepts, qui est souvent mise en œuvre par les facultés cognitives dites supérieures[4]. Composition[modifier | modifier le code] La taxonomie des objectifs éducationnels selon Bloom. Elle peut être résumée en six niveaux, chaque niveau supérieur englobant les niveaux précédents. Révision[modifier | modifier le code] Ainsi en 2001 une taxonomie révisée de Bloom a été proposée par plusieurs auteurs dont Lorin W. Taxonomie de van Hiele

Comment analyser le public cible en e-learning ? Supposons que vous veniez de terminer votre analyse des besoins en formation, qui a révélé un problème spécifique ou un écart de performance pour lequel la formation est la solution. Vous vous dites que c’est le moment de commencer à concevoir un module e-learning, n’est-ce pas ? Pas si vite… vous devez encore effectuer une analyse du public pour en savoir plus sur les personnes que vous devez former, ce qu’elles savent déjà et comment communiquer avec elles. Une analyse du public cible en e-learning fait ce que son nom indique, elle étudie qui sont vos apprenants. Dans cet article, nous allons examiner de plus près pourquoi cette analyse est importante et comment la mener. Pourquoi il est important de connaître votre public Pour certains d’entre vous, prendre le temps d’apprendre à connaître ses apprenants est une évidence. Même si les deux groupes doivent apprendre à utiliser le logiciel, ils présentent quelques différences importantes. Étape 1 : posez des questions Questions générales

Cmap Tools. Outil gratuit pour créer des cartes conceptuelles – Les Outils Tice Cmap Tools est une suite logicielle qui permet de créer et partager facilement des cartes conceptuelles ou mindmaps. C’est un outil complet et entièrement gratuit pour le monde de l’éducation dont le principal défaut réside dans le fait que toutes les commandes sont en anglais. Pour le reste il devrait répondre à la plupart des besoins. Si vous avez déjà eu l’occasion d’utiliser un outil de mindmap, Cmap Tools vous semblera familier. Vous pouvez créer autant de cartes que vous le désirez et pourrez y accéder depuis votre tableau de bord. Cmap Tools se présente sous plusieurs formats, c’est d’ailleurs un de ses points forts. Un outil sérieux, quoiqu’un peu austère, qui a pour lui sa gratuité et la bonne intégration des différentes versions proposées pour s’adapter à tous les besoins. Lien : Cmap Tools

La « flipped taxonomie » Marcel LEBRUN Nous avons, dans la vidéo précédente, parler de la cohérence des objectifs, des méthodes, de l’évaluation … des outils. Les objectifs sont souvent décrits par un verbe (un savoir-faire, un savoir-agir, un savoir-être …) qui s’applique sur un nominatif (un contenu, un savoir, un savoir-faire …) : l’étudiant sera capable de « Verbe » à propos d’un « nominatif », par exemple, l’étudiant capable de citer les composantes de l’alignement constructiviste (épisode 2), l’étudiant sera capable d’appliquer la loi de Newton … Le « sera capable » associé au « verbe » est désigné par la notion de capacité. Cette capacité constitue encore un état potentiel … il sera capable, oui mais quand ? Comment ? Dans quel contexte ? La compétence veut dépasser cet état potentiel, mettre l’objectif, l’intention en état de fonctionner. Parlons un peu des « verbes », les opérations cognitives. L’importance du « verbe » est manifeste dans nos exemples inspirés d’un article de la Wikipédia. L’avez-vous remarqué ?

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