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L'incroyable productivité des cMOOCs

L'incroyable productivité des cMOOCs
Si vous vous intéressez à l'actualité des MOOCs et lisez les articles réguièrement publiés sur Thot Cursus sur ce sujet, vous devez maintenant savoir qu'on distingue habituellement deux catégories de MOOCs : - Les xMOOCs, qui sont des cours académiques massivement distribués; les contenus sont préparés par l'institution distribuant le cours, et les apprenants doivent assimiler ces contenus. Des tests réguliers et un examen final (qui peut prendre diverses formes) permettent de vérifier le niveau de rétention et de compréhension des contenus, et d'attribuer un certificat de réussite à ceux qui ont obtenu le niveau minimal exigé. - Les cMOOCs, qui sont des espaces de co-construction des savoirs et savoir-faire par les apprenants eux-mêmes. Les animateurs du cours établissent une liste de sujets qui sont abordés dans le cadre d'une progression, fournissent des ressources favorisant la réflexion et facilitent les interactions. Ces MOOCs peuvent faire l'objet d'une validation ou pas. ITyPA Related:  MOOC

Un MOOC peut-il pousser en MFR ? Retour d’expérience et mise en perspective d’un moniteur Suite à son article "Qui veut surfer sur un MOOC ?" dans lequel Dominique THOMAS, formateur à la MFR de Tours- Val de Loire, nous a expliqué la mécanique et les enjeux du MOOC suite à sa participation à Itypa, il revient dans ce nouvel article sur les perspectives pédagogiques offertes par cet outil selon lui. MOOC et MFR ont la même structure : une structure en réseau. Dans un MOOC, chacun définit ses objectifs d’apprentissage, sa participation, choisit ses outils de publication. L’autonomie et la synergie sont privilégiées. Selon les organisateurs ce MOOC ITYPA a mobilisé très peu de ressources financières, et s’est par compte avéré très chronophage, ce qui correspond aussi à notre réalité professionnelle. Dans la vie, chacun a ses "gourous". Pourquoi pas envisager un MOOC dédié à l’alternance entre pédagogie du réel et pédagogique du virtuel… ? Un MOOC n’est pas une panacée, mais une avancée pédagogique Le parcours qu’il propose est difficile.

Retour d’expérimentation d’un MOOC : quand le numérique reconstruit l’espace physique | SUBSTANCES En début d’année le MIT a expérimenté pour la première fois une version MOOC interactive de son cours Learning Creative Learning, ce qui était plus que pertinent puisque le contenu de ce cours développe les potentiels des nouveaux outils numériques dans un apprentissage participatif et créatif. Mais qu’est-ce qu’un MOOC ? Le MOOC, Massive Open Online Course, est la diffusion en ligne de cours d’Universités, qui permet ainsi à des individus de partout dans le monde d’avoir accès à ces enseignements. Pour l’instant, cela ne permet pas encore d’obtenir des diplômes, même si certaines universités commencent à distribuer des certificats de “complétions”. Le MOOC…. une MASSIVE gestion technique J’ai fait partie de ce MOOC en tant qu’élève, et le premier challenge auquel j’ai pu participer a été de construire l’infrastructure qui permette de composer et rendre actifs les 24 000 inscrits dans le monde entier que nous représentions. extrait de la vidéo de Dave Cormier

Comment financer les MOOC ? Les MOOC (Massive open online course) sont de plus en plus populaires sur la toile, particulièrement aux États-Unis. Des millions d'étudiants de cours dispensés par des formateurs experts, travaillant parfois pour de célèbres universités dont l'autre caractéristique, en plus de la réputation, était jusqu'à une époque récente, le coût astronmique de l'inscription. Les plateformes telles que Coursera, edX, Udacity, etc. donnent de la visibilité aux MOOC et aux établissements qui les proposent gratuitement. Mais qui dit gratuité pour l'utilisateur final ne dit pas gratuité de production : les MOOC ont un coût à la fois technique (serveurs, développement d'applications) et pédagogique (rémunération des enseignants et assistants animant les travaux dirigés, scénarisation des cours et enregistrements vidéo, etc.). Certes, en Amérique du Nord, les fondations ont financé la création des MOOC et des plateformes avec des millions de dollars. Créer une valeur ajoutée payante

À propos de Mooc, quelques exemples Cette nouvelle forme d’enseignement (sans doute faudrait-il utiliser le pluriel), sous-tendue par la théorie dite connectiviste (Siemens, 2008), (Downes, 2010), est intéressante à analyser dans la mesure où elle se situe dans une sorte de double rupture avec à la fois les formes traditionnelles de transmission d’information et les modalités informelles d’apprentissage (Henri, 2011). L’observation des sites en ligne révèle certains des choix faits par des opérateurs et confirme un mouvement d’émergence régulière de systèmes de ce type. Voici quelques exemples, sans souci d’exhaustivité. Exemples d’offres de formation en réseau MIT openCourseware À ma connaissance, la forme de cours massivement ouvert a historiquement été inaugurée par le MIT aux États-Unis au début de la décennie 2000. En octobre 2012, d’après le site du MIT, il y a 2100 cours, certains étant même spécialement pourvus en ressources pour les apprenants ayant peu accès à des ressources complémentaires (OCW Scholar) [2]. EdX

Pourquoi nous ne sommes pas encore prêts pour les MOOC et ce qu'il faut faire pour y arriver Les MOOC sont souvent discutés par les responsables politiques, les dirigeants universitaires et les spécialistes en TIC. Certains croient que c'est la fin des universités... Je crois de plus en plus que ceux-là rêvent en couleur et ont perdu tout contact avec la réalité. D'autres pensent que c'est le futur de nos universités et qu'il faut y plonger tête première... Voici une infographie très intéressante... Source de l'infographie: OnlineColleges.net. Avez-vous remarqué le très faible taux d'apprenants qui terminent les MOOC? C'est assez clair pour moi que même la génération "C" n'est constituée que d'un très faible pourcentage de personnes qui ont pleinement adopté les TIC et ont développé des compétences très poussées quant à leur utilisation. À court terme, il y a encore plusieurs morceaux du puzzle à placer avant que les MOOC puissent réellement avoir un impact. La troisième étape est la plus importante et la plus facile à concrétiser à TRÈS court terme...

MOOC, y es-tu ? L'enquête Déjà 21 Formations en Lignes Ouvertes à Tous (FLOTS, version francophone de l’acronyme MOOC), quelques jours après l’ouverture du portail OCEAN. Environ 600 MOOCs à l’instant T aux Etats-Unis, 90 en Europe, et des projets partout dans le monde … Cette effervescence donne déjà la matière à de premiers retours d’expériences. Je propose aux lecteurs de ce blog qui sont également « MOOCers » d’y participer. J’ai construit l’enquête en m’appuyant sur les apports de Marcel Lebrun, dont le passionnant MOOC Elearn2 m’a permis de bénéficier. On y retrouve donc des questions issues du modèle IMAIP. –La Motivation, qui s’inscrit dans le caractère personnel de l’apprentissage –L’Information, les ressources mises à disposition pour apprendre –Les Activités de l’apprenant : en quoi contribuent elles aux apprentissages visées –L’Interactivité : dans une approche socio-constructiviste, l’apprenant a besoin du support du groupe Je publierai bien sûr la synthèse des réponses sur le blog.

Quelles modalités d'évaluation pour les MOOCs ? Aucun doute, le MOOC est bel et bien une tornade qui s'apprête à faire voler les vieux papiers des universités. Après un an à peine d'existence, ce nouveau modèle de distribution des cours s'apprête à entrer de plain-pied dans les cursus académiques. Ceci, grâce à l'adjonction de véritables crédits universitaires au certificat qui attestait jusqu'ici du succès des courageux ayant suivi l'intégralité d'un cours et ayant réussi l'examen final. Des examens surveillés pour obtenir des crédits universitaires Le New York Times annonce en effet que l'American Council of Education et Coursera ont pour projet d'examiner en 2013 les savoirs réellement acquis par les étudiants ayant suivi au moins un Mooc par le biais de Coursera, en les comparant à ceux qu'acquièrent les étudiants en présence suivant le même cours. Les participants engagés dans un MOOC distribué par edX (plateforme animée par le MIT et les universités de Harvard et de Berkeley) auront la même possibilité. À lire : Jeffrey R.

Magic MOOC Apprendre en ligne est devenu le classique des universités et même des grandes entreprises. C’est à l’enseignement ce que la petite robe noire (ou le costard même couleur) est à nos garde-robes. Et pourtant le domaine du e-learning nous réserve encore quelques surprises. La dernière surprise ? Bientôt des cours filmés de l’École Polytechnique gratuitement sur Internet : l’enseignement supérieur de demain se fera-t-il à distance Avec le développement des massively open online courses (MOOC), ces cours en ligne gratuits dispensés aux États-Unis par les plus grandes universités, le e-learning est devenu le sujet d’intérêt majeur des acteurs de l’enseignement supérieur. En annonçant qu’elle rejoint Coursera, l’École polytechnique ouvre bien grandes les portes des MOOC à la française. On doit cette terrifiante allégorie d'un MOOC transformant tout sur son passage dans l'enseignement supérieur à Michael Branson Smith, un professeur assistant de communication du York College de New York. Parmi les spécialistes cités en bas de l'affiche, George Siemens est un théoricien de l'apprentissage dans une société basée sur le numérique (ce qu'on appelle le "connectivisme"). Aux États-Unis ils s’appellent Coursera, Udacity ou edX, au Royaume-Uni FutureLearn s’apprête à se lancer, tous mettent en ligne des centaines de cours gratuits pouvant ensuite déboucher sur l'obtention de certificats. Former ceux qui ne se forment pas

L'apprenant rêvé des MOOCs Il se dit que 2013 est « l’année des MOOCs ». Les MOOCs ce sont les Massive Online Open Course – des cours en ligne ouverts à un très large public, la plupart du temps gratuits. En avril dernier, un MOOC de l’université californienne Caltech sur les « machines apprenantes » (Machine Learning) a réuni simultanément plus de 200 000 inscrits. Certains pensent qu’il s’agit potentiellement d’une vraie révolution, susceptible à terme d’impacter aussi bien l’enseignement supérieur initial que la formation continue des adultes. D’autres qu’il s’agit juste d’une « couverture marketing ». Un MOOC, de quoi cela est il fait ? Il y a différentes sortes de MOOC, la distinction la plus courante étant celle des x-MOOCs et des c-MOOCs. Prenons d’abord les points communs : Il y a du contenu, mis à disposition des participants inscrits sur une plateforme dédiée. Les différences s’établissent en suite selon le type de MOOC : Les x-MOOCs (MOOCs académiques) sont dédiés à la transmission des contenus.

Should you start a MOOC? By Frank Kenna Digital technology continues to change the world as we know it, with one of the latest changes being the advent of massive open online courses. MOOCs are online education classes offered by leading universities such as Stanford, Harvard, Yale and MIT. Anyone can join these classes for free and without registration, creating unprecedented access to the world’s top thinkers and teachers. As a result, some of these classes have attracted up to 150,000 “students” at a time. Pretty powerful stuff. Translated into workplace jargon, think of the communication and employee-learning gains you could attain if you could reach 1,000 times as many of your employees at a time. While you may not have the educational resources of a Yale or Harvard, you do have the digital tools available to ratchet up your communications. Digital signage, which has become popular in the last few years, has been a step in that direction, offering one-to-many communication capabilities.

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