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La stratégie du mauvais élève

La stratégie du mauvais élève
un peu ancien sur un blog nommé "Paroles de Papa". Je résume rapidement de quoi il s'agit si vous ne voulez pas vous en infliger la lecture intégrale, rapidement roborative et prévisible : un père s'occupe seul de ses deux enfants pour la journée et publie les échanges de SMS avec sa conjointe, échanges qui montrent comme il est trop pas doué LOL genre il amène le gamin à McDo et dit que c'est équilibré parce que les frites c'est des légumes MDR et aussi il sait pas reconnaître la machine à laver et le lave-vaiselle ROFL. Vous avez là l'essentiel des ressorts comiques, et comme vous pouvez le voir, on se bidonne mais d'une force peu commune. Histoire authentique ou simple blague un brin caricaturale ? Ce n'est pas le plus important. Ce que l'on peut voir mis en scène et justifié, c'est ce que l'on peut appeler avec Jean-Claude Kaufmann la "". On pourra objecter que le cas rapporté ici est probablement fictif, ou tout au moins assez romancé.

Review – « A quoi rêvent les jeunes filles ? » Vous connaissez peut être Ovidie, c’est une femme active par bien des domaines : écrivaine, productrice, réalisatrice, féministe « pro sexe », auteure notamment du désormais bien connu « ticket de métro d’Ovidie » : un blog aux thématiques féministes … Ovidie donc qui présentera son documentaire Infrarouge le 23 juin sur France 2, documentaire sur le thème « A quoi rêvent les jeunes filles ? ». Le doc est déjà disponible sur YouTube. En voyant le titre, j’avais un peu peur, je me demandais effectivement à quoi nous rêvions, sur quoi cela pouvait porter. On va commencer tout de suite par ce qui fâche pour se concentrer ensuite sur l’intérêt primordial de ce documentaire : c’est très blanc, déjà. Une fois qu’on est conscient des failles majeures de ce documentaire, on peut tout de même en tirer je pense un propos intéressant. Ce document prend notre société et la passe au peigne fin des médias numériques qui sont devenus le quotidien de toute une génération. KarlS

« La ville durable creuse les inégalités » Dès qu’on adopte les lunettes du genre pour étudier la ville, celle-ci apparaît inégalitaire entre femmes et hommes. Et la ville durable ne ferait qu’empirer les choses, selon l’analyse du géographe Yves Raibaud. « À quoi ressemblera la ville de demain ? Comment la penser, la construire et la gérer ? Écoquartier de la Caserne de Bonne, centre-ville de Grenoble. Des inégalités qui fleurent bon le machisme et l’archaïsme En premier lieu, l’analyse d’une enquête1 montre que les femmes, de tous âges, seraient défavorisées par les « bonnes pratiques » de mobilité dans la ville durable, et notamment l’abandon de la voiture. (Pour les femmes), la voiture, plus qu’un outil de mobilité, représente un moyen de protection pour affronter la nuit. Les piétonnes regrettent qu’on éteigne de bonne heure les éclairages de rue pour faire des économies tandis qu’on éclaire et arrose abondamment des stades, considérés comme nécessaires à l’attractivité des métropoles et fréquentés uniquement par des hommes.

La diarrhée pendant les règles, le dernier tabou sur le corps des femmes | Slate.fr Temps de lecture: 3 min Pendant les règles, les fonds de culottes, les draps, les toilettes sont un champ de bataille. Un branle-bas de combat qui commence fort, dès les premières heures après le déclenchement des menstruations. Une envie pressante d’aller aux WC se fait sentir, afin de se débarrasser non seulement du sang qui coule, mais aussi se soulager d'un autre symptôme désagréable qui accompagne les règles: la diarrhée. Un détail dont personne ne vous prévient quand vous devenez réglée à l'adolescence –ni les livres de SVT, ni les médecins. «Déjà les règles, c'est bien dégueulasse. La faute aux prostaglandines Alors quoi, une fois par mois, le corps des femmes déraillerait complètement au point de les transformer en usine à déjections? «Elles provoquent des contractions qui vont détruire la muqueuse et lui permettre d'être expulsée. Pas un mot à la gynéco Des non-dits bien tenaces Pourquoi un tel tabou?

Zéromacho – M Éditeur Des hommes disent non à la prostitution ! En 2011, Florence Montreynaud lance Zéromacho, un réseau international d’hommes engagés contre le système prostitueur. Un an plus tôt, à Paris, un mot la heurte en pleine rue. Un mot d’une affiche, une publicité pour une série sur Canal+, Maison close : de belles jeunes femmes dans un décor de luxe, avec le slogan « Les hommes rêvent d’y entrer, elles se battent pour en sortir ». Cette nostalgie pour les bordels l’agace, avec sa complaisance qui masque le sordide, mais autre chose la choque. Que des hommes rêvent d’entrer dans un bordel, c’est incontestable. Des hommes disent non à la prostitution : une centaine s’expriment dans ce livre. Dans un monde d’égalité, il n’y aura pas de prostitution !

La coupe (menstruelle) est pleine ! | Femmes Plurielles Société Ragnagnas par Mathilde Largepret publié le 21 décembre 2018 (c) Belges & Culottées () Chaque mois, environ 1.900.000.000 de vagins saignent dans le monde, et ceux-ci connaitront cet éternel recommencement près de 480 fois au cours de leur existence. Se saigner pour s’acheter des tampons Parce que le phénomène des menstruations se perpétue chaque cycle depuis la nuit des temps et que, sur terre, le nombre de personnes réglées représente un public-cible inépuisable, le marketing autour des règles est une valeur sûre. Trop de marketing menstruel, ça fait voir rouge ! L’industrie de l’ « hygiène féminine » soulage bien des situations désagréables, mais répond aussi à des « problèmes » qu’elle crée elle-même. (c) Saforelle La pub pour les serviettes ou « le sang bleu de la schtroumpfette » Depuis peu, certains spots publicitaires ont troqué l’énigmatique liquide bleu pour sa variante rouge, bien plus réaliste. Tous ces enjeux résonnent comme des techniques purement marketing.

«Apnée», quand le traumatisme d'enfance refait surface C’est un film que son réalisateur a voulu «comme un cri». Adressé à la société, autant qu’au petit garçon de 4 ans qu’il était, pour lui dire que «tout cela n’a pas été vain». Dans le documentaire Apnée, diffusé ce lundi soir sur France 3 et coréalisé avec Olivier Laban-Mattei, le journaliste Baptiste de Cazenove a décidé de raconter, sans fard, son histoire. Celle d’un enfant de quatre ans violé par un maître nageur, et qui passera le quart de siècle suivant en «apnée», frappé d’amnésie traumatique. Baptiste fait face au mur de souvenirs qu’il a dressé pour l’aider à se remémorer ses souvenirs d’enfance. Nous sommes à l’été 2015, et Baptiste, alors âgé de 28 ans, a comme un «déclic». La conversation avec cet ami, en qui il se «reconnaissait, d’une certaine manière», le laisse «estomaqué» plusieurs jours durant, frappé d’un profond mal-être, de vertiges. Dans une piscine municipale de Clermont-Ferrand, Baptiste apprend à nager avec le maître-nageur qui l’agressera sexuellement.

Comment être un homme féministe Comment aller ensemble dans la bonne direction, après que les revendications féministes du 14 juin auront été formulées et – avec un peu de chance – écoutées? Le Temps a donné la parole à trois experts de la masculinité en leur posant une question simple: que peuvent faire les hommes au quotidien? Sébastien Chauvin est professeur associé au Centre en études genre de l’Université de Lausanne «Aux hommes qui nous lisent, j’ai envie de dire: «Vous devriez vous intéresser à ces questions, car elles s’intéressent à vous.» Pour agir correctement, il faut d’abord prendre conscience de son privilège. Qu’on soit un homme sympa ou pas, on bénéficie des avantages associés à la discrimination envers les femmes, quand bien même on n’y participe pas personnellement. Il faut identifier son propre privilège et ne pas attendre d’être félicité à chaque initiative «La féministe Rebecca West disait: «Je n’ai jamais réussi à définir le féminisme.

Croyance en un monde juste La croyance en un monde juste ou hypothèse du monde juste, est un biais cognitif originellement décrit par le psychologue social Melvin J. Lerner (en), suivant laquelle on obtient ce qu'on mérite ou mérite ce qu'on obtient. Description[modifier | modifier le code] Les résultats cohérents obtenus à la suite de l'application de cette théorie dans différents domaines de recherche, c'est-à-dire le lien entre une croyance forte des observateurs et leur tendance à assigner le blâme aux victimes pour la souffrance de ceux-ci, ont fait d'elle une théorie largement acceptée dans le cadre de la recherche en psychologie sociale[1],[2]. Origines de la théorie[modifier | modifier le code] Si de nombreux philosophes ont abordé le sujet sous différents aspects, ce sont les travaux de Lerner qui ont mis la croyance en un monde juste sur le devant de la scène scientifique dans le domaine de la psychologie sociale. Melvin Lerner[modifier | modifier le code] Premiers éléments[modifier | modifier le code]

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