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L'Ossuaire de Douaumont

L'Ossuaire de Douaumont

Table ronde Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Table ronde est, dans la légende arthurienne, la table légendaire autour de laquelle se réunissent le roi Arthur et ses chevaliers, dits « Chevaliers de la Table ronde ». Le premier auteur à la mentionner est Wace, auteur normand, qui dans son Roman de Brut (1155) parle d'une table construite sur ordre d’Arthur afin d'y réunir ses meilleurs chevaliers. Elle est un symbole de paix et d'égalité, car il ne peut y avoir de préséance autour d'une table ronde : « C’est pour les nobles preux seigneurs qui l’entouraient et qui tous se croyaient meilleurs les uns que les autres — et l’on aurait eu bien du mal à désigner le pire — qu’Arthur fit la Table ronde, cette table sur laquelle les Bretons racontent tant de fables. Selon les auteurs, le nom et le nombre de chevaliers pouvant s’asseoir autour de la table varie ; Chrétien de Troyes parle d‘une trentaine, Layamon de 1 600. Pourquoi une table ronde ? Table ronde à Winchester.

Mémoire et histoire - Commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale Une grande commémoration nationale Les enjeux La commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale est porteuse de plusieurs enjeux mémoriaux importants : la compréhension d'une épreuve qui engagea l'ensemble de la société française ;la transmission de cette mémoire aux Français d'aujourd'hui ;l'hommage rendu à ceux qui vécurent la guerre et firent le sacrifice de leur vie ;l'appréhension du conflit dans la perspective d'une histoire nationale et européenne partagée. Cent ans après ce terrible conflit, il s'agit pour les Etats européens d'être porteurs d'un message de paix, afin de contribuer à la construction d'un avenir commun. L'implication de la communauté éducative Le ministère de l'éducation nationale est membre fondateur du Groupement d'intérêt public (GIP) "Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale" chargé de mettre en œuvre les commémorations en lien avec les différents ministères concernés (affaires étrangères, défense, culture, éducation nationale, etc.).

La nécropole nationale et l'ossuaire de Douaumont | Chemins de Mémoire - Ministère de la Défense - Ministère de la Défense Création de la nécropole Le cimetière national de Fleury-devant-Douaumont regroupe les dépouilles de soldats morts pour la France lors des combats qui se déroulèrent dans la région de Verdun de 1914 à 1918, et principalement ceux de la bataille de Verdun. Créé en 1923, le cimetière est aménagé jusqu'en 1936. Une fois l'emplacement déterminé, dès 1923, le Service des Sépultures de guerre, avec le concours du génie de Metz, entreprit le nivellement d'une parcelle de terrain de plusieurs hectares où d'importants travaux de déblaiement avaient été réalisés pour récupérer le matériel abandonné, ainsi que de dangereuses munitions. Le terrain aplani, on procéda à la réalisation des allées et des tombes. Conformément à la loi du 29 décembre 1915, instituant la sépulture perpétuelle au profit des militaires morts pour la France, le cimetière rassemble plus de 16 000 corps en tombes individuelles et un carré musulman comprenant 592 tombes. Informations historiques La bataille de Verdun L’ossuaire

Les marraines de guerre - Tirailleurs Bienvenue ! {* welcomeName *} {* loginWidget *} Bienvenue ! {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *} {* /signInForm *} Votre compte a été désactivé Vous devez vérifier votre adresse email pour finaliser votre inscription. {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}{* /resendVerificationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter {* #socialRegistrationForm *} {* firstName *} {* lastName *} {* emailAddress *} {* displayName *} {* phone *} {* addressCity *} {* addressCountry *} En cliquant sur "Créer un compte", vous confirmez que vous acceptez nos conditions générales et que vous avez lu et approuvé la politique de protection de données personnelles.{* /socialRegistrationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter Nous vous avons envoyé un email de confirmation à l'adresse suivante {* emailAddressData *}. Nous vous enverrons un lien pour créer un nouveau mot de passe {| moreInfoText |}

Introduction du dossier « Les fusillés de la Grande Guerre » - Pour mémoire - CNDP Nous proposons dans ce dossier de revenir sur un phénomène tragique qui a traversé la Grande Guerre de part en part, touché tous les États belligérants, tous les fronts, dès les premiers jours de la guerre et posé aux autorités tant militaires que politiques des questions portant sur leur fonctionnement, leur finalité, leur existence même, puisqu’il s’agit de réfléchir sur la question de l’exécution de soldats au sein de leur propre armée. Nous centrons le propos sur le cas français, non qu’il soit plus important que les autres, mais parce que les sources et l’historiographie dont nous disposons permettent de construire un discours véritablement problématisé et de livrer des conclusions tangibles. D’autre part, la figure du fusillé a opéré un retour en force dans l’actualité, dans les champs mémoriels, dans les débats politiques au point de prendre une place peut-être démesurée face au nombre réel de cas. Le plan du dossier articule six aspects principaux de la question.

Ossuaire de Douaumont 01/08/2010Monument du Mois - Août 2010 - Ossuaire de Douaumont Monument du Mois - Août 2010 L'Ossuaire de Douaumont Très étiré par son immense cloître, il mesure 137 m de long. En sous-sol, des fosses reçoivent les ossements anonymes. La façade principale est dépouillée, seulement décorée des armoiries des villes qui ont contribué à l'exécution du monument. Dans la chapelle, les fenêtres sont garnies de vitraux de conception moderne du peintre Desvallières, maître de l'art sacré. Les statues religieuses sont d'Elie-Jean Vézien (Saint Joseph, Sainte thérèse, Sacré-Coeur, Jeanne d'Arc, Pietà). Devant l'Ossuaire s'étend l'immense nécropole nationale où ont été regroupés 16 142 soldats français dont 6 de 1939-1945. Les architectes En 1923, le concours de l'Ossuaire est remporté par un trio d'architectes qui travailleront ensemble sur d'autres projets en Egypte : Léon Azéma, Max Edrei et Jacques Hardy. Dans l'Ossuaire de Douaumont, Léon Azéma démontre toute son admiration pour l'art roman.

Russie tsariste Les premiers tsars russes Le mot tsar est un dérivé du mot césar, titre qui était traditionnellement réservé à l’empereur de Byzance. Le titre de tsar confère au dirigeant un statut similaire à celui d’empereur.Plusieurs souverains ont joué le rôle de tsar entre 1547 et 1917, dont Ivan IV et Alexis 1er. Ivan IV Le premier souverain russe à être couronné tsar est Ivan IV, en 1547. Ivan IV Ivan le Terrible a divisé le pays en deux et a même forcé le déplacement des populations, ce qui a engendré de nombreux problèmes dans le pays. La dynastie Romanov prendra le pouvoir en 1550 et le gardera jusqu’à la fin de l’époque tsarine. Alexis 1er Au 17e siècle, Alexis 1er est au pouvoir. La Russie au 18e siècle Le 18e siècle en Russie est marqué par de nombreuses transformations (transformations du territoire et transformations sociales). Pierre le Grand (1672-1725), tsar de 1682 à 1725 Le règne de Pierre le Grand est marqué par les efforts acharnés du tsar de rapprocher la Russie de l’Europe. Nicolas II

Présentation du dossier « L'armistice du 11 novembre 1918 » - Pour mémoire - CNDP L’armistice, signé le 11 novembre 1918 entre les Alliés et l’Allemagne marquant la fin de quatre années de guerre, constitue un moment clé de la conscience nationale et européenne. « L’École a pour mission l’enseignement de l’histoire de la Grande Guerre, et également la transmission de la mémoire » (*). La commémoration de l'armistice permet de mener un travail d'Histoire ancré dans un enseignement de la citoyenneté et des valeurs de la République. © H. Marquis Partant des événements de l'année 1918 (voir le chapitre 9 du livre La Grande Guerre par M.C Bonneau-Darmagnac, Fréderic Durdon, Pierrick Hervé, CRDP de Poitiers collection trait d’union, 2008) qui ont conduit à l'arrêt des combats, cet opus de la collection « Pour Mémoire » met en évidence les spécificités de la Première Guerre mondiale. C'est une guerre longue, qui est, dès 1915, appelée « Grande Guerre ». La Grande Guerre, M.C. La Première Guerre mondiale, CNDP, collection « Dévédoc », 2008. Conception et réalisation du dossier

CRDP Amiens - Historial de la Grande Guerre : exposition « Les Enfants dans la Grande Guerre » L’événement dont il est question est l’inauguration de l’ossuaire de Douaumont. Celle-ci a été faite par le président Albert Lebrun en août 1932. Cet ossuaire abrite les restes non identifiés d’environ 130 000 soldats français et allemands. L’ossuaire appartient au site de Verdun qui est devenu, après-guerre, une zone mémorielle du champ de bataille : sur ce sol s’est déroulée l’une des plus terribles batailles de la Grande Guerre, avec quelque 300 000 morts ou disparus, côté français. Les enfants : des témoins du sacrifice de leurs aînés Les deux photographies ont été prises dans le cimetière du faubourg du Pavé. L’une d’elles montre des enfants fleurissant les tombes du cimetière. Les deux clichés visent également à fixer les deux composantes essentielles du travail de mémoire concernant les morts au combat : - Une composante individuelle du rituel de deuil qui met l’accent sur le sacrifice de chaque soldat. Le travail de mémoire : signification et symbolique

Fin du régime tsariste en Russie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Avant 1917, la Russie était dirigée par l'empereur Nicolas II, « l’empereur de toutes les Russies ». C’était un régime monarchique autocratique. L'Empire russe était un immense empire qui rivalisait de grandeur avec l’Empire britannique mais il était économiquement et militairement faible. La Russie avant 1917[modifier | modifier le code] Le développement économique[modifier | modifier le code] L’industrialisation de la Russie connut son apogée au début des années 1900, bien après les autres pays européens. Les dix premières années du règne de Nicolas II furent favorables à l’évolution économique. L’empire constitutionnalisé[modifier | modifier le code] La Révolution russe[modifier | modifier le code] Les déclencheurs de la Révolution[modifier | modifier le code] Les grèves et l’abdication de Nicolas II[modifier | modifier le code] La Douma demanda à Nicolas II de former un nouveau conseil pour sortir le pays de cette crise, mais le tsar refusa.

Histoire et mémoire des deux guerres mondiales - Enseigner la première guerre mondiale - Les femmes et la 1ère guerre mondiale par Jocelyne et Jean-Pierre Husson Pendant la 1ère guerre mondiale la contribution des femmes à l'effort de guerre a revêtu des formes multiples : - courage des femmes d'agriculteurs qui, dans une France encore à dominante rurale et agricole, ont dû assumer à partir de l'été 1914 les durs travaux des champs ; - dévouement des infirmières qui ont soigné les soldats blessés dans les hôpitaux de guerre et les maisons de convalescence ; - compassion des « marraines de guerre » qui écrivaient et envoyaient des colis aux soldats du front, rendaient visite aux blessés dans les hopitaux ; - courage aussi des femmes des villes qui ont dû pallier le manque de main d'oeuvre dans de nombreux secteurs d'activités, distribuant le courrier, conduisant les tramways, travaillant plus de 10 heures par jour dans les usines d'armement. 1/ L'appel aux Françaises de Viviani « Debout, femmes françaises, jeunes enfants, filles et fils de la patrie. Remplacez sur le champ de travail ceux qui sont sur le champ de bataille. 14-18. in J.

fascisme italien fascismo de fascio faisceau Régime établi en Italie de 1922 à 1945, instauré par Mussolini et fondé sur la dictature du parti unique, l'exaltation nationaliste et le corporatisme. Doctrine ou tendance visant à installer un régime autoritaire rappelant le fascisme italien. 1. On ne saurait comprendre l'émergence du fascisme sans un rappel des déséquilibres et dysfonctionnements de l'Italie issue du Risorgimento. 1.1. L'État national italien s'est établi tardivement. Qui plus est, jusqu'à l'introduction du suffrage universel masculin en 1912, le système politique (régi par la Constitution de 1848 [lo Statuto]), est dominé par les élites traditionnelles grâce à l'instauration d'un régime censitaire. Le refus des catholiques de participer aux élections, l'absence de véritables partis politiques, le recours permanent à la combinazione pour dégager des majorités, les méfaits du clientélisme concourent à ruiner la légitimité de l'édifice politique. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 2. 2.1. 2.2. La violence comme moyen d'affirmation 2.3.

La représentation du soldat durant la Grande Guerre L’histoire culturelle de la Grande Guerre apparaît comme indissociable de la question nationale. La mobilisation des armées au cours de l’été 1914 définit pour la première fois l’affrontement sur les bases de la conscription universelle et sa réussite, nous dit l’historien Jean-Jacques Becker, doit être regardée comme le résultat mécanique du triomphe de l’idée nationale . Le cas britannique de recours au volontariat comme celui des Dominions sont emblématiques de ce point de vue en raison du succès massif que rencontrèrent les campagnes de recrutement. C’est en relation avec ce contexte inédit de guerre nationale fondée sur la mobilisation générale qu’a été conçu ce dossier sur le soldat de 14-18 dans les représentations des sociétés en guerre. Les représentations des figures combattantes permettent en premier lieu de s’approprier le cadre référent à la nation, ses valeurs et ses ressorts au rang desquels une mention particulière doit être faite à la notion de devoir envers la patrie.

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