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Observatoire national de la fin de vie (ONFV)

Observatoire national de la fin de vie (ONFV)

L’Observatoire économique de l’hospitalisation publique et privée Auparavant assuré par le conseil de l’hospitalisation, et ce dans le cadre d’une concertation entre l’ensemble des acteurs du secteur, le suivi des dépenses d’assurance maladie relatives aux frais d’hospitalisation est à présent suivit par l’observatoire. A cette fin, l’observatoire remet au Gouvernement et au Parlement un rapport sur les dépenses de l’année précédente en mai et un rapport sur les dépenses du premier semestre de l’année en cours en octobre. Installé en septembre 2007, il comprend 15 membres : La présidence de l’observatoire est assurée par Madame Marine Jeantet, l’inspectrice générale des affaires sociales et sa vice-présidence par le directeur directeur général de l’offre de soins, Monsieur Jean Debeaupuis. Les rapports de l’observatoire

Les mots-clés du débat sur la fin de vie "Euthanasie passive", "double effet", "obstination déraisonnable"... Difficile de s'y retrouver dans le vocabulaire employé dans le domaine de la fin de vie. Le personnel médical emploie parfois des mots malcompris par la personne soignée et par ses proches, tandis que certains termes et expressions se chargent d'idéologie et de connotations dont il faut décrypter les enjeux. "Aide active à mourir" et "aide médicale à s'éteindre" La distinction entre ces deux notions est au cœur de la loi Leonetti sur la fin de vie de 2005. "Faire mourir" et "laisser mourir" Ces deux termes renvoient à la distinction précédente. Euthanasie En grec, l'euthanasie signifie la "bonne mort". Suicide assisté Contrairement à l'euthanasie, où une personne tierce réalise le geste qui entraînera la mort, dans le suicide assisté, c'est le patient lui-même qui s'auto-administre la potion létale fournie par un tiers. Exception d'euthanasie "Directives anticipées" et" personne de confiance" Double effet Sédation

Observatoire des Médicaments, des Dispositifs Médicaux et de l’Innovation Thérapeutique (OMEDIT) Les observatoires sont au nombre de 22 et sont des structures d’appui et d’expertise pour le bon usage des médicaments et des dispositifs médicaux pour les établissements de santé et les agences régionales de santé (ARS) dont ils vont éclairer la décision. Ils sont composés de 2 à 3 personnes principalement des pharmaciens et des médecins hospitaliers. L’observatoire peut être régional ou inter régional, chaque ARS proposant l’organisation la plus appropriée aux besoins et aux exigences. Les observatoires travaillent en réseau en mettant en commun leurs informations et leurs outils. Pour en savoir plus Les repères juridiques Les liens utiles La cartographie des OMEDIT

Observatoire des pratiques de l’évaluation des risques sanitaires dans les études d’impact L’article 19 de la loi sur l’air du 30 décembre 1996 a posé les bases juridiques qui exigent que les effets sur la santé soient désormais inclus explicitement dans les études d’impact réalisées pour des installations industrielles et agricoles ou lors de projets d’aménagement (projet routiers, ferroviaires, …) L’objectif de l’observatoire est de permettre aux professionnels concernés par les études d’impact que ce soit pour leur réalisation (bureaux d’études, industriels) ou pour leur lecture critique (services de l’état, juristes de l’environnement, associations de protection de l’environnement ou/et de la santé) d’améliorer leurs pratiques. De quoi parle-t-on ? Acteurs et adresses Actualités et nouveautés Références réglementaires Références méthodologiques Dossier Questions / Réponses Pour en savoir plus

Fin de vie : hâtons-nous lentement ! Le rapport Sicard sur la fin de vie, à peine remis au président de la République, est déjà devenu un abcès de fixation, suscitant d’interminables polémiques autour de thèmes qui n’en constituent pourtant pas le suc : l’euthanasie et le suicide assisté. Qu’y a-t-il donc dans ce fameux rapport, que personne ne semble avoir lu et qui suscite tant d’inquiétudes, par ailleurs légitimes ? Le préambule de ce texte qui actualise la loi Leonetti se révèle purement statistique. Il nous apprend deux choses essentielles : personne ne souhaite mourir; et si cela devait arriver ce devrait être sans douleur. D’où il ressort que 58% des gens se déclarent favorables au suicide assisté, ce qui a justifié l’engouement du candidat Hollande et la commande dudit rapport au professeur Sicard. Qu’il nous soit permis d’émettre quelques réserves. Dans un deuxième temps, il dresse le bilan de la loi Leonetti; et plus particulièrement de sa non-application en dehors des soins palliatifs. *Photo : Ed Yourdon.

L'agence régionale de santé met en place un observatoire des maladies chroniques - Actualité Région Dans le Nord - Pas-de-Calais, huit cent mille personnes bénéficient du régime de l'ALD (affection longue durée pour laquelle la prise en charge de l'assurance-maladie est de 100 %). Cancers, diabète, maladies cardio-vasculaires, Alzheimer... dans ces directions, l'agence régionale de santé (ARS) met en place un observatoire des maladies chroniques. > Mieux dépister. « Beaucoup de maladies sont en train de devenir des maladies chroniques », explique Daniel Lenoir, le directeur général de l'ARS. > Encourager l'éducation thérapeutique. > Les antibiotiques. Une particularité qui n'est pas spécialement bonne pour la santé publique, comme l'explique Christian Lahoute, de l'ARS : « Nous sommes confrontés à l'émergence de bactéries multirésistantes, des bactéries qui résistent aux antibiotiques à large spectre. » > Les ambulances. > Lutter contre l'habitat insalubre. La Voix du Nord

observatoire de la santé des dirigeants de PME, commerçants et artisans Fin de vie : et si on en parlait vraiment ! - Billets Actuellement, la loi LEONETTI promulguée le 22 Avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie indique que le médecin a pour mission de sauvegarder la dignité du mourant et d’assurer la qualité de sa vie en dispensant les soins palliatifs. A la demande du patient, elle autorise les équipes médicales, conformément au code de déontologie, à ne pas poursuivre des actes et traitements par une obstination déraisonnable. Ceci semble être remis en cause par le Président de la République, François Hollande, qui envisageait lors de la campagne électorale de légaliser l’euthanasie afin « que toute personne majeure en phase avancée ou terminale d’une maladie incurable, provoquant une souffrance physique ou psychique insupportable, et qui ne peut être apaisée, puisse demander (…) à bénéficier d’une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité ». Les conclusions de ce rapport mettent notamment en exergue trois points qui, à mon sens, sont les plus importants :

Observatoire Vieillissement & Société OMG - Observatoire de la Médecine Générale

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