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La guerre de l’information n’est pas la cyberguerre » Article » OWNI, Digital Journalism

La guerre de l’information n’est pas la cyberguerre » Article » OWNI, Digital Journalism
En prenant activement la défense de WikiLeaks, les Anonymous ont-ils franchi un cap supplémentaire dans la guerre de l'information? Le vocabulaire mérite d'être précisé. MAJ du lundi 13 décembre: Après l’opération Payback, les Anonymous ont décidé de lancer l’opération Leakspin, augmentant les attaques par déni de service distribué d’une vaste enquête contributive. Pour résumer, ils souhaitent se concentrer sur les mémos diplomatiques déjà publiés par WikiLeaks pour mettre au jour des informations qui n’auraient pas été révélées par les médias. L’inquiétante vidéo ci-dessous détaille cette nouvelle initiative, qu’on peut envisager comme la troisième phase (après les miroirs et les DDoS): Mais les soucis techniques des uns et des autres ne se sont pas arrêtés pour autant. Quelques minutes plus tard, Gawker était également attaqué. [DDOSWAR NOW!] Pour le Guardian, jeudi 9 décembre est “le jour où la cyberguerre a été déclarée”. Il est pour l’instant relativement mineur.

La dictature nouvelle est arrivée Je me faisais un plaisir de pouvoir lire bien tranquillement au coin du feu l'article placé en tête de gondole de ce "Libé des philosophes" acheté ce matin. Son titre, WikiLeaks : la dictature de la transparence, et sa signataire, madame Élisabeth Roudinesco, historienne, directrice de recherches à l’université de Paris-VII (GHSS), me laissaient espérer une sorte d'orgasme intellectuel ineffable. Las ! il me fallut déchanter. Grave. Apparemment, je suis arrivé un peu tard. Elémentaire, mon cher lecteur ! Ceci étant, madame Roudinesco arrive à remplir son contrat, qui devait être fixé à deux petites colonnes, sans aucunement s'essoufler, mais sans analyser quoi que ce soit non plus. Elle nous montre ainsi, pour notre plus grande satisfaction, qu'elle pratique en virtuose la méthode dichotomique des grands maîtres anciens... "Libé des philosophes" oblige. On ne s'en lasse pas... De quoi regretter les bonnes manière de Julian Assange, le dictateur détrôné... Ça doit être de la philosophie, ça...

GLADIO, L'ARMÉE SECRÈTE DE L'OTAN - Le blog de Merlin... Le réseau Gladio, armée secrète d'Europe, est un documentaire choc (1h24) sur un sujet ignoré. En effet, plusieurs services secrets d’États européens avec l'OTAN, sous la pression des USA, ont commandité des attentats terroristes sous fausse bannière, ou False Flag, fabriqués pour accroître la stratégie de la tension contre leur propre population pour contraindre les gouvernements à renforcer leurs systèmes sécuritaires, et/ou empêcher la montée des partis de gauche ou d’extrême gauche au pouvoir. Le réseau Gladio a été mis en place sous l'égide de la CIA et du MI6 britannique, comme structure de l'OTAN. L'organisation secrète "Stay behind", rebaptisée plus tard Gladio, le "glaive", a vu le jour en 1948 à l'initiative des États-Unis. Ces réseaux fonctionnaient le plus souvent sans que les gouvernements nationaux en aient connaissance. Dans beaucoup de pays, les américains recrutèrent des partisans de l’extrême droite pour former les réseaux Stay-Behind de l’OTAN. - Voir aussi :

“Nous sommes passés dans l’allégeance au suzerain américain”, par Jean-Pierre Chevènement Jean Pierre Chevènement « Nous avons détruit la Libye » Entretien de Jean-Pierre Chevènement accordé à Marianne, vendredi 10 juillet 2015. Propos recueillis par Anne Rosencher et Alexis Lacroix. MARIANNE : Les événements récents ont donné matière à s’interroger sur la place de la France, sur sa capacité à tenir son rang et à se faire entendre. On a notamment appris il y a deux semaines que la NSA avait mis sur écoutes trois présidents français. Jean-Pierre Chevènement : Le général de Gaulle eût été beaucoup plus sourcilleux. Barack Obama s’est excusé, non ? Pas exactement. Qu’est-ce qui explique, selon vous, que nous ayons plié le genou face aux Etats-Unis ? La tétanisation exercée sur nos entreprises commence à l’échelle des banques. Vous dressez un constat d’intériorisation de la contrainte par nos entreprises et par nos dirigeants. D’ailleurs, l’OTAN n’a-t-il pas aussi pris la place de l’ONU ? Justement, quelle analyse géopolitique faites-vous de l’émergence de Daesh ? C’est-à-dire ?

Les Illuminati, un peu d’histoire « Autres Sociétés Secrètes Article publié le 28 août 2005 Au travers de ces lignes, nous allons tenter, tant que faire se peut, de dénouer les fantasmes entourant l’Ordre des Illuminati. En effet, face à l’invasion sans cesse grandissante de la théorie de la conspiration & du rôle que les Illuminati y tiendraient, il semble qu’il faille replacer les éléments disponibles dans leurs contextes. Les Rituels de l’Ordre étaient « rationalistes » et non pas occultistes, et cependant les ennemis des Illuminati voulurent y voir une forme de satanisme ou de culte d’adoration de Satan… Bref, les auteurs comme Barruel virent dans les documents de l’Ordre ce qu’ils voulaient bien y voir & les fantasmes de conspiration – repris après la Révolution française — y allèrent bon train dans une incompréhension & un manque total d’esprit critique. 1. Adam Weishaupt est né le 6 février 1748 à Ingolstadt. Désireux de régénérer la société allemande, il fonde avec le baron de Knigge une société secrète. 1. 2. – Adam Weishaupt – Hertel 2.

nouvel ordre mondial Les Sociétés Secrètes 49Share3 28 14.6KShare1 Introduction Une société secrète est une organisation qui ne révèle pas ses activités aux personnes venant du dehors. Le terme société secrète revient assez souvent quand il s’agit de parler de théories de conspirations… Il y a un paquet de théories de conspiration, mais les gens sont déjà au courant de la plupart d’entre elles, comme le 11 Septembre 2001. Mais les conspirations ne sont pas des théories. Les théories de conspirations et le terme société secrète remonte aux temps des Grecs, et c’est un terme qui n’est pas nouveau si c’est ce que vous voulez savoir! En construction… – La Secte des Illuminati – La Franc-Maçonnerie – La société des Jésuites – B’nai B’rith – L’ordre de la Rose-Croix – Le Protocole des Sages de Sion – Les Chevaliers de Colomb – Le Bohemian Grove – L’Ordo Templi Orientis (OTO) – Le Conseil des Neuf – Les Chevaliers du Temple – La société Fabienne Lumière et Vérité L’université de Yale Mystère sur le Campus de Yale

Infiltration du Bohemian Club Infiltration du Bohemian Club Le Bohemian Club, créé en 1872 par cinq journalistes du San Francisco Examiner (qui en furent exclus par la suite) et situé à San Francisco en Californie, est l’un des clubs les plus fermés du monde. Véritable club néo-conservatiste de l’élite et des personnes d’influence, il regroupe quelques 2 000 membres (uniquement des hommes, pour la plupart des Américains qui représentent au total le quart de la fortune privée aux États-Unis, mais aussi quelques Européens et Asiatiques) qui se réunissent tous les ans lors des deux dernières semaines du mois de juillet au Bohemian Grove. Ils y exercent leurs talents musicaux, comiques, mais des discours y sont aussi tenus. Le Bohemian Club est situé au 20601 Bohemian Avenue à Monte Rio dans un vaste domaine de 1500 hectares de nature sauvage, de forêts de séquoias et de lacs en Californie. Le Bohemian Club à été fondé en 1872 par 5 journalistes du San Francisco Examiner et c’est l’un des club les plus fermés au monde.

Secret society "Secret Society Buildings at Yale College", by Alice Donlevy[1] ca. 1880. Pictured are: Psi Upsilon (Beta Chapter), 120 High Street. Left center: Skull & Bones (Russell Trust Association), 64 High Street. Right center: Delta Kappa Epsilon (Phi Chapter), east side of York Street, south of Elm Street. A secret society is a club or organization whose activities, events, and inner functioning are concealed from non-members. Anthropologically and historically, secret societies are deeply interlinked with the concept of the Mannerbund, the all-male "warrior-band" or "warrior-society" of pre-modern cultures (see H. A purported "family tree of secret societies" has been proposed, although it may not be comprehensive.[2] The Thuggee were a secret cult of assassins who worshipped the Hindu goddess Kali. Alan Axelrod, author of the International Encyclopedia of Secret Societies and Fraternal Orders, defines a secret society as an organization that: David V. Politics[edit] Revolutions[edit]

Illuminati History The Owl of Minerva perched on a book was an emblem used by the Bavarian Illuminati in their "Minerval" degree. The Illuminati movement was founded on May 1, 1776 in Ingolstadt, Upper Bavaria as the Order of the Illuminati, and had an initial membership of five.[2] The founder was the Jesuit-taught Adam Weishaupt (d. 1830),[3] who was the first lay professor of canon law at the University of Ingolstadt.[1] The Order was made up of freethinkers as an offshoot of the Enlightenment and seems to have been modelled on the Freemasons.[4] Illuminati members took a vow of secrecy and pledged obedience to their superiors. Fundamental changes occurred in the wake of the acceptance of Adolph Freiherr Knigge into the order. In 1777, Karl Theodor became ruler of Bavaria. Barruel and Robison The works of Robison and Barruel made their way to the United States, and across New England, Reverend Jedidiah Morse and others gave sermons against the Illuminati. Modern Illuminati Popular culture Novels

Skull and Bones History[edit] Skull and Bones was founded in 1832 after a dispute between Yale debating societies Linonia, Brothers in Unity, and the Calliopean Society over that season's Phi Beta Kappa awards. It was co-founded by William Huntington Russell and Alphonso Taft as "the Order of the Skull and Bones".[2][3] The society's assets are managed by the society's alumni organization, the Russell Trust Association, incorporated in 1856 and named after the Bones co-founder.[2] The association was founded by Russell and Daniel Coit Gilman, a Skull and Bones member, and later president of the University of California, first president of Johns Hopkins University, and the founding president of the Carnegie Institution. The first extended description of Skull and Bones, published in 1871 by Lyman Bagg in his book Four Years at Yale, noted that "the mystery now attending its existence forms the one great enigma which college gossip never tires of discussing. The Tomb[edit] Coordinates: Bonesmen[edit]

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