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Lessig at educause 2009: Creative Commons - 3 Translation(s)

Lessig at educause 2009: Creative Commons - 3 Translation(s)

Creative Commons : Soyons créatifs ensemble - Free Culture La photo est issue du concert donnée à New-York le 21 septembre 2004 au bénéfice des licences Creative Commons (avec en particulier David Byrne et Gilberto Gil). Elle est l’oeuvre de Kathryn et est sous licence cc (by-nc-sa). Nota (27 mai 2004) : petite mise à Jour de l’article pour tenir compte des nouvelles fonctionnalités des licences Creative Commons avec la sortie de la version 2.0. Quand on parle de licences libres, on fait souvent et inconsciemment référence aux libertés des utilisateurs : liberté de télécharger sur internet, d’utiliser et de distribuer autant de copies que l’on souhaite d’un logiciel X ou Y, de modifier le code d’un programme, etc. Petit tour d’horizon de ces licences d’un nouveau genre. Share what you want, keep what you want Entre la rétention totale par le copyright et "un monde d’anarchie où les auteurs savourent une liberté sans limite mais sont dés lors vulnérable à l’exploitation", un juste milieu devait être trouvé. Voyons donc de quoi il retourne.

Qu'est-ce que le copyleft ? [Traduit de l'anglais] Le copyleft est une méthode générale pour rendre libre un programme (ou toute autre œuvre) et obliger toutes les versions modifiées ou étendues de ce programme à être libres également. La manière la plus simple de faire d'un programme un logiciel libre est de le mettre dans le domaine public, sans copyright.1 Cela autorise les gens à le partager si le cœur leur en dit, avec leurs améliorations éventuelles. Mais cela autorise aussi des personnes indélicates à en faire un logiciel privateur.2 Elles peuvent très bien y effectuer des changements, nombreux ou non, et distribuer le résultat en tant que logiciel privateur. Ceux qui recevront le programme dans sa forme modifiée n'auront pas la liberté que l'auteur original leur avait donnée ; l'intermédiaire l'aura fait disparaître. Notre but, au projet GNU, est de donner à tous les utilisateurs la liberté de redistribuer et de modifier les logiciels GNU. Le copyleft est un moyen de se servir du copyright du programme.

Blog de M@rcel : des technologies et des pédagogies qui travaillent ensemble Introduction : répondre ou débattre Ce billet portera sur la contribution de deux collègues, Alain Beitone et Margaux Osenda, qui ont publié « La pédagogie inversée : une pédagogie archaïque » (des extraits de cet article seront proposés en bleu ci-dessous) Il ne s’agit pas pour moi de « répondre » à leurs arguments ou de les démonter en tentant de démontrer combien le propos serait incorrect, inapproprié, fallacieux … Je l’ai souvent dit : en matière d’innovation (gardons ce concept pour le moment), il me paraît important de considérer tous les points de vue même ceux envers lesquels, personnellement et subjectivement, on ne peut d’emblée marquer son accord. En effet, les propos des thuriféraires et autres évangélistes doivent être considérés avec circonspection voire méfiance, ceux des « grognons » (comme je les appelle chaleureusement) avec attention en ce qui concerne les alarmes qu’ils nous envoient. La classe inversée n’a rien d’innovant ! Introduction I.1. I.2. I.3.

Licenses Explained | Creative Commons Ceci est la traduction en français d'une création originale de Creative Commons, A Spectrum of Rights. (Credits de la version originale : Cartoon concept and design by Neeru Paharia. Original illustrations by Ryan Junell, Photos by Matt Haughey.) Vous pouvez télécharger toutes les images au format PNG en cliquant ici. Les images ont été dimensionnées de façon à être imprimées sur une page A4 paysage. Les images ont été fabriquées grace à gimp, gif2png et inkscape. Ces travaux ont également été produits sous d'autres formats (pdf, Oo, flash, etc...) sur le site de Framasoft This work is licensed under a Creative Commons License.

Quel copyright / copyleft ? Pourquoi protéger un site web ? Un site web représente tout un capital intellectuel qui doit être protégé, car vous pourrez ainsi définir dans quelles conditions vous souhaitez (ou pas) que l’ensemble ou une partie de celui-ci puisse être reproduit, vendu, etc. Quoi protéger dans votre site web ? Tout : Logo et charte graphique s’il en existe une Web design et ergonomie, code informatique Contenu : textes, documents, photos, vidéos... Quelle différence entre une licence propriétaire et une licence libre ? Le copyright est fondé sur la protection de l’auteur et se présente donc comme un droit privatif. le droit de reproduction, de distribution, de modifictation, de mise en scène (perform) et d’affichage. A contrario, cela signifie que ce sont autant de droits enlevés aux autres citoyens. Le copyleft [1] est fondé sur la liberté des utilisateurs. Le copyleft est basé sur le fait que nous vivons en communauté, il est mieux adapté à internet. Quelques licences pour faire le choix

Licence publique générale GNU Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir GPL. Licence publique générale GNU Logo de la licence publique générale GNU, version 3. Cette licence a depuis été adoptée, en tant que document définissant le mode d'utilisation, donc d'usage et de diffusion, par de nombreux auteurs de logiciels libres, en dehors des projets GNU. Principe de la licence GPL[modifier | modifier le code] La GPL met en œuvre la notion de copyleft, un jeu de mots anglais faisant référence à la notion de copyright (right en anglais signifie à la fois le droit, c'est-à-dire la règle juridique, et la droite, qui marque une direction) que l'on peut transposer en français en parlant de « Gauche d'auteur » par référence au Droit d'auteur. La GPL est la licence de logiciel libre la plus utilisée. L'esprit et l'objectif[modifier | modifier le code] Son histoire[modifier | modifier le code] Richard Stallman en discussion au deuxième jour de la première conférence GPLv3 le 17 janvier 2006.

Copyright Copyleft Une récente étude, révélée au Comdex à Las Vegas le 13 novembre, montre que la propriété intellectuelle représente 80% de la valeur des 500 premières entreprises du S&P. Elle s'élève, d'ailleurs, pour les Etats-Unis, à 400 milliards de dollars ! La réglementation et la protection de la propriété intellectuelle constituent donc un enjeu considérable pour nos sociétés de l'information. Il semble évident que la notion classique de copyright ne permet plus d'appréhender la valeur intellectuelle dans son ensemble. 1) Les similitudes: deux notions juridiques anglo-saxonnes qui s'intéressent à la propriété intellectuelle Les "copyright laws" anglo-saxonnesLe Copyright Act américain de 1976 met en évidence trois principes : Il fixe les droits des auteurs sur leurs oeuvres originales. Il se présente sous la forme d'un contrat puisque l'auteur peut céder ses droits à une tierce personne en échange d'une rémunération ou non en fonction des termes fixés par une licence. La GNU General Public License

Richard Stallman Richard Stallman en 2019. signature Richard Matthew Stallman, né le 16 mars 1953 à Manhattan, connu aussi sous les initiales rms (en minuscules[note 1]), est un programmeur et militant du logiciel libre. Initiateur du mouvement du logiciel libre, il lance, en 1983, le projet GNU et la licence publique générale GNU connue aussi sous le sigle GPL. Depuis le milieu des années 1990, il consacre la majeure partie de son temps à la promotion des logiciels libres auprès de divers publics un peu partout dans le monde. En 2010, un récit biographique qui relate la vie de Richard Stallman paraît en français sous le titre Richard Stallman et la révolution du logiciel libre. Biographie[modifier | modifier le code] Richard Matthew Stallman est né à Manhattan d'une famille juive[2] le 16 mars 1953. Tout bascula au début des années 1980. Il parle couramment anglais et français[7],[8], assez couramment espagnol et un peu indonésien. Emacs[modifier | modifier le code] Projet GNU[modifier | modifier le code]

Linus Torvalds Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Linus Benedict Torvalds, né le à Helsinki en Finlande, est un informaticien américano-finlandais[1]. Il est connu pour avoir créé en 1991 le noyau Linux dont il continue de diriger le développement. Il en est considéré comme le « dictateur bienveillant ». Biographie[modifier | modifier le code] Linus Torvalds fait partie de la communauté des Finlandais suédophones (Finlandssvensk), une population représentant 6 % des habitants de la Finlande. Il découvre l'informatique vers l’âge de 11 ans grâce à l'ordinateur de son grand-père (un Commodore VIC-20)[3]. Inspiré par le système Minix développé par Andrew S. Après avoir quitté l'Université d'Helsinki, Linus Torvalds a travaillé de à chez Transmeta, une société de la Silicon Valley qui fabrique des microprocesseurs à faible consommation électrique. Linus Torvalds a également créé le logiciel de gestion de versions Git, initialement prévu pour le développement du noyau Linux.

Lawrence Lessig Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lawrence Lessig Lawrence Lessig (né le 3 juin 1961 dans l'État du Dakota du Sud aux États-Unis) est un juriste américain de notoriété internationale. En 2010, il est professeur de droit (C. Wendell and Edith M. Spécialiste de droit constitutionnel et de droit de la propriété intellectuelle, il est un défenseur réputé de la liberté sur Internet et s’oppose à une interprétation extensive du droit d'auteur qui porte atteinte au potentiel de création et aux échanges en ligne. Biographie[modifier | modifier le code] Lawrence Lessig a été l'assistant (clerk) de plusieurs magistrats réputés dont le juge Antonin Scalia, à la Cour suprême des États-Unis et le juge Richard Posner, à la Cour d'appel des États-Unis[3]. Il a commencé sa carrière universitaire en étant professeur assistant à l'université de Chicago entre 1991 et 1997. En 2002, Lawrence Lessig a reçu le prix pour le développement du logiciel libre de la Free Software Foundation[4].

Free Software Foundation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir FSF. La FSF aide également au financement du projet GNU depuis l'origine. Son nom est associé au mouvement du logiciel libre. Le logiciel libre[modifier | modifier le code] La fondation est à l'origine des quatre règles fondatrices du logiciel libre : La liberté d'exécuter le programme, pour tous les usages (liberté 0).La liberté d'étudier le fonctionnement du programme, et de l'adapter à ses besoins (liberté 1). Le projet GNU[modifier | modifier le code] Protection légale[modifier | modifier le code] En concevant les licences GNU GPL, LGPL et FDL sous l'égide de Richard Stallman et d'Eben Moglen, la fondation devient une protection légale pour GNU. Ce mécanisme sera plus tard reproduit par la fondation Mozilla. Financement[modifier | modifier le code] La FSF employait à l'origine certains hackers du projet. La communauté du logiciel libre[modifier | modifier le code] Techniques[modifier | modifier le code] BadVista

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