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Les émotions au travail: ennemies à combattre ou énergie à exploiter?

Les émotions au travail: ennemies à combattre ou énergie à exploiter?
[Express yourself]Joie, peur, tristesse, colère, surprise, dégoût... Les émotions ont-elles droit de cité dans nos entreprises? A l'évidence trop peu. Nous avons souvent une vision morale, voire moraliste, sur l'émotion. Serions-nous toujours en vie sans les émotions? Cette vision morale sur les émotions peut s'expliquer par la confusion fréquente entre l'émotion ressentie et ce que nous en faisons. Une autre raison qui explique cette mise au placard des émotions au travail est la formation donnée aux managers et dirigeants. Montrer son dégoût pour quelque chose n'est pas non plus très bien élevé car l'enfant poli mange de tout. Certaines cultures favorisent l'émotion Mais ne généralisons pas. Si nous manions les concepts, les chiffres et les procédures avec une grande agilité, nous sommes "gauches" avec les émotions dont nous ne savons pas quoi faire, sinon les ranger dans un coin de notre personne en souhaitant qu'elles n'en sortent plus. Quel dommage! Related:  Emotion

Augmenter notre intelligence émotionnelle Comprendre notre intelligence émotionnelle, c'est ce à quoi s'attache Rosalind Picard directrice du Groupe de recherche sur l'informatique affective au Massachusetts Institute of Technology (MIT) et cofondatrice d'Affectiva, une start-up spécialisée dans les technologies de mesure de l'émotion. Et ce n'est pas si simple, comme en a rendu compte Sally Adee pour le NewScientist... Lors de son interview avec Rosalind Picard, la journaliste du New Scientist a été invitée à chausser un prototype de paire de lunettes mise au point par Affectiva. Cette paire de lunettes a pour fonction d'aider celui qui la porte à décoder les émotions de la personne avec qui il discute (voir le schéma du New Scientist). Image : la technologie d'Affectiva. "Les yeux de Rosalind Picard étaient grands ouverts. Les détecteurs d'émotions peuvent-ils nous aider à mieux nous comprendre mutuellement ? Améliorer notre compréhension des émotions de nos interlocuteurs Comprendre les espaces sociaux entre les gens

sciences économiques et sociales - Des individus aux groupes sociaux Fiche-séance 2 : Les types de groupes sociaux - deux heures Activité 1 : Etude de document (objectif : distinguer groupes primaires et groupes secondaires) Document 1 Le sociologue américain Charles Horton Cooley a proposé en 1909 dans Social Organisation une distinction très importante entre groupes primaires et groupes secondaires. Les groupes primaires, qui sont généralement de petite taille, sontdéfinis comme des groupes de face à face ou dominent les rapports interpersonnels. L'identification des individus au collectif est forte et les rapports de sympathie, decoopération et d'aide mutuelle dominent au sein du groupe ; si l'existence de rapports de compétition au sein du groupen'est pas pour autant entièrement exclue, ces derniers restent toujours emprunts de loyauté, la satisfaction de l'intérêt personnel étant subordonnée à l'intérêt collectif [...] Dictionnaire de sociologie, Jean Etienne et alii, page 135, collection Initial, Hatier , 1995 Questions : Activité 2 : Document 2-

La multiplicité des canaux affecte-t-elle le rôle de l'émotion dans la relation client ? La diversité des supports de communication nuit-elle à la relation client ? La réponse est non, tant qu’il y a une rencontre physique pour mieux cerner les émotions des consommateurs. Quel est désormais le rôle de l’émotion et de l’affect dans le service client, à un moment où celui-ci se fait sur de multiples canaux ? En effet, le mail, l’internet et le mobile ont pris une place prédominante, et la relation client n’a pas été épargnée. Le rendez-vous face à face indispensable Cette idée est défendue également par Elodie Arneguy, consultante en conduite du changement et en management, qui affirme que «les rendez-vous en face à face sont nécessaires pour un service engageant pour le client». L’entreprise doit introduire ces canaux Comment faire face à ces multiples canaux ? *étude menée auprès de 276 salariés

La culture d’entreprise : à quoi ça sert ? Si Carrefour peut être comparé à Auchan, H&M à Zara, ou encore la Macif à la Matmut, ces entreprises sont pourtant différentes et uniques par leur culture, et ce principe s’applique à toutes les organisations quel que soit leur secteur d’activité ou leur taille. Qu’appelle-t-on culture d’entreprise ? En quoi est-elle si importante ? Eléments de réponse. Zoom sur les composantes de la culture d’entreprise La culture de l’entreprise, aussi appelée culture organisationnelle, se résume en un ensemble d’éléments qui définissent son fonctionnement, son identité, son esprit unique par rapport à ses concurrents. Intérêt de la culture d’entreprise La culture d’entreprise est primordiale pour permettre à l’organisation de se différencier. En termes d’image d’une part, elle présente des atouts que ce soit en interne ou à l’externe auprès des consommateurs. En termes de compétitivité d’autre part, en favorisant l’appartenance, la culture augmente les performances des salariés. À propos de l'auteur

L’intelligence émotionnelle, un atout dans les relations de travail Les émotions sont encore loin d’avoir bonne presse dans nos sociétés. Pourtant, identifiées, analysées et canalisées, elles se révèlent de précieux indicateurs pour interagir efficacement avec les autres. L’intelligence émotionnelle gagne du terrain dans le monde de l’entreprise, car ses atouts sont nombreux. Au niveau du savoir-être, elle permet de mieux gérer son stress, de prendre de meilleures décisions et de mieux aborder le changement. L’intelligence émotionnelle se développe ! Tout commence par avoir une conscience bienveillante de ses émotions.

La génération X friande d'outils virtuels pour communiquer Naviguer d'un média à un autre pour communiquer est loin d'être le privilège de la génération Y : leurs aînés ont aussi complètement assimilé le fait de passer de l'un à l'autre en permanence pour dialoguer. Les jeunes générations sont loin d'être les seules à avoir complètement assimilé les modes de communication virtuelle à leur quotidien. D'après une étude menée chaque année par l'université du Michigan, les adultes de la génération X, tout du moins ceux en fin de trentaine, entrent autant en contact avec leurs proches, leur famille ou leurs collègues et contacts professionnels via des modes de communication électroniques, comme le mail, les médias sociaux, les messageries instantanées, les webcam... Une question d'habitudes socio-professionnelles Dépasser les connexions dans le monde réel ? *A noter que l'enquête a été menée en 2011

Les émotions jouent le rôle d'accélérateurs de l'achat, y compris sur Internet Le rôle des émotions dans le processus d'achat est plus important quand son objet est destiné à un usage proche dans le temps. Cela, quel que soit le canal. Les professionnels du marketing le pressentaient depuis longtemps : plus l’impact d’une décision est proche dans le temps plus l’acheteur est susceptible de faire confiance à ses émotions plutôt qu’à des arguments rationnels. Parue dans le Journal of Consumer Research, une étude de chercheurs de l’université de management de Singapour et de la Colombia University en apportent une preuve. Pour le montrer, ils ont mené une expérience avec deux groupes d’étudiants à qui ils ont demandé de choisir un appartement à louer parmi deux options. Prendre en compte le temps entre l’achat et la consommation A l’inverse, les étudiants plus jeunes, pour qui la perspective d’un emménagement était plus lointaine, se sont montrés plus raisonnables en choisissant la deuxième option. L’achat en ligne est-il dénué d’émotion ?

Génération Y, mode d'emploi Oui, elle a dit non. Combien de fois? "Deux ou trois", quelque chose comme ça. Du haut de ses 29 ans, Morgane a refusé "deux ou trois CDI". Oui, vous avez bien lu, et peut-être avez-vous frémi, visualisant déjà des conseillers de Pôle emploi attiser un bûcher pour rôtir cette sorcière des temps modernes. "C'est vrai que ça va à l'encontre de tout ce qu'on entend, reconnaît cette journaliste indépendante qui gagne (bien) sa vie en travaillant pour le Web et la radio, et en proposant ses services pour créer des sites. Une révolution douce est en marche et son nom de code est Y. "Gagner moins bien ma vie et être heureuse" Leur première exigence? Les "Yers" ont également dans leur panoplie un certain goût pour la prise de risque, ne craignant ni les remises en question, ni l'instabilité, ni les chemins de traverse. Une insatisfaction partagée par beaucoup de salariés De quoi faire fantasmer tous les salariés?

Peut-on contrôler ses émotions ? Comment définissez-vous la « théorie de l’appraisal » ? Elle propose d’expliquer un aspect fondamental négligé par les autres théories : le déclenchement de l’émotion. Cette théorie s’intéresse aux mécanismes cognitifs par lesquels l’émotion va naître, se déployer dans le temps, et se différencier, c’est-à-dire devenir une émotion particulière comme la peur, la honte ou la joie. L’évaluation (ou appraisal) d’un événement s’effectuerait sur la base de critères qui déterminent à la fois la qualité (par exemple, le fait que le ressenti soit agréable ou désagréable) et l’intensité de l’émotion. L’un de ces critères évalue à quel point l’événement nous est pertinent, notamment en lien avec notre bien-être, nos buts et nos besoins importants du moment. S’intéresser aux mécanismes de déclenchement de l’émotion permet-il de répondre par exemple à la question classique abordée par William James de l’œuf et de la poule : a-t-on peur parce que l’on fuit ou fuit-on parce que l’on a peur ? (1) M.

Communication non verbale : ces gestes qui vous trahissent - Articles - Bien-être Votre interlocuteur vous inonde de paroles ou, au contraire, se fait discret. Comment cerner la personne qui se trouve devant vous? Est-elle honnête avec vous? Comment se sent-elle? En fait, la communication passe par le langage, mais aussi par de petits gestes révélateurs, posés inconsciemment. Le mensonge En observant votre interlocuteur, vous serez en mesure de déterminer s'il dit la vérité ou s'il ment. Le menteur Il aura tendance à dissimuler son visage; Ses narines frémiront légèrement; Il clignera plus rapidement des yeux; Ses yeux fixeront un point vers la droite. L'honnête Au contraire, la personne qui s'exprime avec franchise se penchera légèrement vers vous, buste en avant, dans une allure plus détendue; Ses pupilles seront généralement dilatées; Son sourire sera chaleureux; Ses jambes et ses bras, décroisés. La gêne Il n'y a pas que le rouge aux joues qui trahit la gêne. Le gêné Le type à l'aise Par contre, s'il est à l'aise... La confiance Sur la défensive L'ennui L'agressivité

La perception des émotions est culturelle Vous voulez savoir comment ce que ressent un Japonais ? Portez une attention particulière au ton de sa voix, et non pas à son visage. C’est ce que feraient les autres Japonais. Une étude a examiné comment les Hollandais et les Japonais évaluaient les émotions des autres, et a découvert que les Hollandais faisaient plus attention aux expressions du visage que les Japonais [1]. "Comme les êtres humains sont des animaux sociaux, il est important pour eux de comprendre l’état émotionnel des autres personnes afin de conserver de bonnes relations" explique Akihiro Tanaka de l’Institut Waseda pour l’Avancement de la Science au Japon. "Quand un homme sourit, il est probablement heureux, et quand il pleure, il est certainement triste." Pour cette étude, Tanaka et ses collègues ont fait une vidéo d’acteurs disant une phrase de façon neutre – "C’est comme ça ?" Ceci a un sens si vous regardez les différences entre la façon dont les Hollandais et les Japonais communiquent, spécule Tanaka.

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