The Limits of Intelligence Santiago Ramón y Cajal, the Spanish Nobel-winning biologist who mapped the neural anatomy of insects in the decades before World War I, likened the minute circuitry of their vision-processing neurons to an exquisite pocket watch. He likened that of mammals, by comparison, to a hollow-chested grandfather clock. Indeed, it is humbling to think that a honeybee, with its milligram-size brain, can perform tasks such as navigating mazes and landscapes on a par with mammals. At the other extreme, an elephant, with its five-million-fold larger brain, suffers the inefficiencies of a sprawling Mesopotamian empire. We humans may not occupy the dimensional extremes of elephants or honeybees, but what few people realize is that the laws of physics place tough constraints on our mental faculties as well. Do the laws of thermodynamics, then, impose a limit on neuron-based intelligence, one that applies universally, whether in birds, primates, porpoises or praying mantises? It is a momentous insight.
Google+, comment bien régler ses paramètres de confidentialité Google+ veut concurrencer Facebook sur le terrain des réseaux sociaux. Le site de Mark Zuckerberg a souvent été pointé du doigt pour son manque de transparence quant au respect de la vie privée et au partage des informations, ce qui nous avait poussés à l'étudier en profondeur dans un dossier complet. Quid de son nouveau concurrent en terme de confidentialité? En pleine phase de lancement et donc d'ajustement, OnSoftware s'est penché sur la première version des paramètres de confidentialité de Google+. Les Paramètres Google+ sont accessibles en haut à droite de n'importe quelle page du réseau Google (le moteur de recherche, Gmail, Agenda, Documents, Reader, etc.) à condition bien entendu d'être connecté à son compte. Profil Google+, les paramètres En cliquant sur Paramètres Google+, une page apparaît et vous permet de prendre la main sur plusieurs options, disponibles dans la colonne de droite. Dans la bio, les champs sont tous accessibles d'un clic. Google+, les options de partage
Why Google+ Is Really For Sharing Knowledge, Not Social Networking | Nova Spivack - Minding the Planet - (Navigation privée) Everyone, including possibly even the Google+ team, is currently thinking that Google+ is a Twitter and Facebook competitor. But I think in fact, Google+ is for something entirely different. Google+ is not really for socializing; it’s for sharing knowledge. In many ways, Google+ is a potential replacement for the Blogosphere, which always suffered from the lack of an integrated commenting and search infrastructure. I don’t think all bloggers will move to Google+, because it certainly lacks the power or customization potential of a WordPress or Moveable Type for example, but there’s certainly a chance that good portion of lightweight blogging market share may go there. As such, Google+ may be more competitive with lightweight blogging services like Tumblr and Posterous, and with knowledge sharing and Q&A services like Quora, than with Twitter or Facebook. But that’s just the beginning. Knowledge is not merely information, it is organized information.
Social presence within the community of inquiry framework | Annand Abstract The role of social presence as defined by the community of inquiry (CoI) framework is critiqued through a review of recent literature. Evidence is presented that questions the actual extent of knowledge co-construction that occurs in most higher education settings and therefore challenges the framework’s underlying assumption of the need for sustained, contiguous, two-way communication in higher-level online learning environments. Keywords: Online learning; online pedagogy; communities of inquiry; distance education; constructivism; cohort-based learning; individualized learning Introduction One of the most commonly referenced means for researching formal higher-level online education continues to be the community of inquiry (CoI) framework proposed by Garrison, Anderson, and Archer (2000). In its original formulation, the three presences were represented as overlapping and interacting processes that determined the quality of the online learning experience.
Google+ : les développeurs se regardent le nombril Google+ semble être entré dans nos vies avec autant de fracas que bien des autres avant lui. Déjà les cercles technoïdes dissèquent le service, y compris dans ces colonnes. Chaque bouton est analysé, les experts en appellent même à nos mères pour nous en expliquer la portée. Journalistes, geeks et consultants, toute la netocratie s’ajoute bruyamment, se félicite, s’invective, et tente de répondre à la question essentielle : à quoi sert Google+ ? C’est dans cette question que réside tout le problème de la bulle internet qui est en train de se monter. Illustration des différents services Google - Crédit : DR La raison d’être de ce service est d’exister, comme une prouesse technologique, comme une réplique d’avion, comme un modèle réduit de voiture, un tour de force technique. "Build it, they will come" : construisez-le et ils viendront. La logique est devenue interne.
Twitter et Facebook seraient-ils dangereusement infantilisants? La montée en puissance de Facebook, qui rassemble désormais 750 millions d’utilisateurs, suscite des inquiétudes de la part de psychanalystes et sociologues, qui s’inquiètent des conséquences psychologiques pour les adeptes les plus actifs. Ainsi, certains ont pointé du doigt les dérives mythomanes de certains individus. Au Royaume Uni, c’est la Baronne Greenfield, professeur de pharmacologie à l’Université d’Oxford, qui vient de sonner l’alarme. Elle estime que la croissance d’amitiés virtuelles sur Facebook ou Twitter, ont la capacité de modifier le réseau neuronal du cerveau, et de mettre les utilisateurs en « crise d’identité ». « Ce qui m’inquiète le plus, c’est la banalité de ce qui circule sur Twitter. (Image: 'Will there be 4 Idiots on FB+if+I+'Like'+this+?')
Google+ : 10 astuces à connaître Les astuces proposées ici ont été remises à jour et prennent en compte les dernières nouveautés proposées par Google Plus. Date de validité : novembre 2015 1. Envie de faire ressortir des éléments de votre post ? Voici les principales syntaxes de mise en forme : placez des * de parts et d'autres du mot (ou ensemble de mots) que vous voulez mettre en gras (sans espace) même système avec le _ pour mettre en italique idem avec le - pour barrer un mot Ce qui vous donnera : Au fait, savez quelle est la meilleure heure pour poster sur Google+ ? 2. Il est tout à fait possible de partager un post avec une personne en particulier, ce qui revient à lui envoyer un message personnel. Parmi les saisies possibles, vous pourrez aussi bien indiquer le patronyme que le prénom ou l’adresse e-mail de votre contact. 3. Sur votre accueil s’affiche le nom de vos cercles. C’est au bas de cette page que vous pourrez retrouver le nom de vos cercles. 4. 5. Voir les autres raccourcis disponibles 6. 7. 9. 10. 11. 12.
10 tips to help you get the most out of Google+ With Google+ starting to open to the general public, I bring you 10 tips that will make your life easier if you are starting out on the new social network. Although Google+ will probably seem easy for techies to understand, some of the features are more advanced. It's actually surprising how much you can do, and how many handy little shortcuts there are. Nobody knows if Google+ is going to replace Facebook in the long run, but if you want to start getting the best out of it, you have to learn some of its best features. 1. Make your Google+ status updates stand out by using these simple formatting tips. 2. Sparks is a nifty feature that helps you follow your interests. 3. Google+ makes it super easy to share photos and videos in your stream. 4. Google+ copied Twitter's wildly popular "@ reply" feature. 5. This is a little counter-intuitive, but Google+ allows you to send messages directly to one user. 6. 7. Google+ is taking on Facebook in one crucial area: privacy. 8. 9. 10.