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Quand votre banque en faillite viendra se servir sur votre compte

Quand votre banque en faillite viendra se servir sur votre compte
Pour intervenir en Centrafrique il aura fallut à la France trois bons mois pour obtenir un feu vert du Conseil de Sécurité de l'ONU. Ce qui est rapide. François Hollande a beau ne plus vouloir que la France soit le gendarme de l'Afrique, on ne peut pas pour autant jeter le famas dans le fossé et tourner le dos aux massacres. D'où le la Libye, la Côte d'Ivoire, le Mali, la Centrafrique, le tout en quatre ans et deux présidents. Pour sauver des banques, ou mieux, le système bancaire mondial, la théorie voudrait qu'il faille des mois ou des années, vu le nombre de protagonistes impliqués. Seulement voilà : des hommes des femmes et des enfants qui se font massacrer peuvent attendre. En ce sens, l'accord conclu au niveau européen le 11 décembre dernier est une bonne chose. Non, là où l'argent se trouve, si vous aviez encore un doute, c'est.. sur votre compte en banque. Prévoir un plan de sauvetage pour les banques est évidemment responsable. Moi, pas.

Greece’s solidarity movement: ‘it’s a whole new model – and it’s working’ “A long time ago, when I was a student,” said Olga Kesidou, sunk low in the single, somewhat clapped-out sofa of the waiting room at the Peristeri Solidarity Clinic, “I’d see myself volunteering. You know, in Africa somewhere, treating sick people in a poor developing country. I never once imagined I’d be doing it in a suburb of Athens.” Few in Greece, even five years ago, would have imagined their recession- and austerity-ravaged country as it is now: 1.3 million people – 26% of the workforce – without a job (and most of them without benefits); wages down by 38% on 2009, pensions by 45%, GDP by a quarter; 18% of the country’s population unable to meet their food needs; 32% below the poverty line. And just under 3.1 million people, 33% of the population, without national health insurance. “We couldn’t just stand by and watch so many people, whole families, being excluded from public healthcare,” Kesidou said. “We’ve gained so much from people’s innovation,” she said.

« Le système financier est comme une centrale nucléaire mal contrôlée Basta ! : Une nouvelle crise financière est-elle possible, à brève échéance ? Jean-Michel Naulot [1] : Il est très difficile de savoir quand une crise va éclater. Mais les foyers de crise financière ne sont pas éteints, il peut y avoir de nouvelles répliques très vite. Comme en 2007, ou en 1929, les conditions d’une nouvelle crise systémique sont aujourd’hui réunies : une grande abondance de liquidités, déconnectée des besoins de l’économie réelle, une insuffisance de l’encadrement de la finance, et des niveaux de dette publique et privée très élevés. Vous comparez la situation actuelle de la finance à une dangereuse centrale nucléaire... Je trouve ce terme assez parlant : nous sommes face à une centrale nucléaire mal contrôlée. Une crise de cette centrale nucléaire financière aura des conséquences immédiates sur l’économie réelle. Tout le monde insiste désormais sur la « crise de la dette publique »... Au printemps 2010, l’euro a failli éclater. Bien sûr. Un exemple ? Que proposez-vous ?

Quand les banques de « l'économie sociale » financent la bombe atomique L’organisation néerlandaise Pax a analysé les financements dont profitent les industries de l’armement impliquées dans la fabrication, le stockage et l’entretien d’armes nucléaires. La plupart des grandes banques françaises, dont les banques mutualistes, figurent parmi ces investisseurs. Certaines, comme BNP Paribas, se sont pourtant dotées de charte leur interdisant de financer des armes dites « controversées », dont l’arme atomique. Ailleurs en Europe, des fonds d’investissement ont banni ce type de pratiques. Les sociétaires des grandes banques mutualistes françaises l’apprécieront-ils ? L’ONG a examiné le financement de 28 entreprises qui travaillent, entre autres, dans la fabrication, la maintenance ou le stockage des missiles et têtes nucléaires. Des armes pourtant reconnues comme controversées par les banquiers La banque française BNP Paribas arrive parmi les dix plus grands pourvoyeurs de fonds aux producteurs d’armes nucléaires. Rachel Knaebel

Matt Taibbi and Bank Whistleblower on How JPMorgan Chase Helped Wreck the Economy, Avoid Prosecution JUAN GONZÁLEZ: A year ago this month, the Justice Department announced the banking giant JPMorgan Chase would avoid criminal charges by agreeing to pay $13 billion to settle claims that it had routinely overstated the quality of mortgages it was selling to investors. When the toxic mortgage securities started turning bad, investors lost faith in the banking system, and a housing crisis turned into the 2008 financial crisis that led to millions of home foreclosures. New York Attorney General Eric Schneiderman unveiled the settlement last November. ATTORNEY GENERAL ERIC SCHNEIDERMAN: Not only will Chase have to pay the largest settlement ever levied against a financial institution, but it has admitted in our statement of facts that its own employees, employees of Bear Stearns and employees of Washington Mutual made material misrepresentations to the investing public about a large number of residential mortgage-backed securities that they issued prior to the crash in 2008. [break]

The $9 Billion Witness: Meet JPMorgan Chase's Worst Nightmare She tried to stay quiet, she really did. But after eight years of keeping a heavy secret, the day came when Alayne Fleischmann couldn't take it anymore. "It was like watching an old lady get mugged on the street," she says. "I thought, 'I can't sit by any longer.'" Fleischmann is a tall, thin, quick-witted securities lawyer in her late thirties, with long blond hair, pale-blue eyes and an infectious sense of humor that has survived some very tough times. Featured News From Fleischmann is the central witness in one of the biggest cases of white-collar crime in American history, possessing secrets that JPMorgan Chase CEO Jamie Dimon late last year paid $9 billion (not $13 billion as regularly reported – more on that later) to keep the public from hearing. Back in 2006, as a deal manager at the gigantic bank, Fleischmann first witnessed, then tried to stop, what she describes as "massive criminal securities fraud" in the bank's mortgage operations. Jamie Dimon (Photo: Bloomberg/Getty)

Les accords fiscaux secrets entre le Luxembourg et 340 multinationales dévoilés - L'Obs Après l'Offshore Leaks, un "Luxembourg Leaks" ? Des accords fiscaux secrets entre le Luxembourg et 340 multinationales, dont Apple, Amazon, Ikea, Pepsi ou Axa, afin de minimiser leurs impôts, sont révélés jeudi 6 novembre par 40 médias internationaux s'appuyant sur des documents obtenus par le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ). Ces accords, passés entre 2002 et 2010, représentent des milliards d'euros de recettes fiscales perdues pour les Etats où ces entreprises réalisent des bénéfices, selon l'ICIJ et ses médias partenaires, dont "Le Monde" en France, "The Guardian" au Royaume-Uni, le "Süddeutsche Zeitung" en Allemagne ou l'"Asahi Shimbun" au Japon. L'ICIJ avait dévoilé en janvier les placements de dignitaires chinois dans les paradis fiscaux. La pratique du "tax ruling", qui est légale, permet à une entreprise de demander à l'avance comment sa situation sera traitée par l'administration fiscale d'un pays, et d'obtenir certaines garanties juridiques.

Les Économistes atterrés : "La BCE tente un coup d’État contre la Grèce" L’illusion d’une Banque centrale européenne pratiquant un assouplissement monétaire pour sortir la zone euro de la déflation n’a duré que deux semaines. Hier, la BCE a unilatéralement décidé de ne plus accepter les titres publics grecs en contrepartie des liquidités accordées aux banques, tout particulièrement aux banques grecques. Ainsi, Mario Draghi met en péril la zone Euro, rompant son engagement à « tout faire pour préserver l’Euro ». Les banques grecques qui continuent à acheter des obligations de l’État, ne pourront donc plus les utiliser pour se refinancer auprès de la BCE. Cette décision irresponsable, dogmatique et punitive, prise pour des raisons politiques, par des technocrates non-élus, aboutit à déstabiliser le système bancaire grec et de la zone euro. La décision de la BCE va aggraver les difficultés d’élaboration et de mise en œuvre d’une politique alternative permettant de sortir de la crise. Le Collectif d’Animation des Economistes Atterrés

Nous sommes avec la Grèce et l'Europe Trois cents économistes et universitaires de tous les continents, de James Galbraith à Stephany Griffith-Jones, de Jacques Sapir à Dominique Meda, appellent les gouvernements européens et les institutions internationales à « respecter la décision du peuple grec » et à « engager des négociations de bonne foi avec le nouveau gouvernement grec pour résoudre la question de la dette ». Nous appelons les gouvernements d’Europe, la commission européenne, la Banque centrale européenne et le FMI à respecter la décision du peuple grec de choisir une nouvelle voie et d’engager des négociations de bonne foi avec le nouveau gouvernement grec pour résoudre la question de la dette. Le gouvernement grec a raison de soutenir qu’une profonde réorientation est nécessaire car les politiques mises en œuvre jusque là sont un complet fiasco. Elles n’ont apporté ni la reprise économique, ni la stabilité financière, ni les emplois, ni même des investissements directs étrangers. Premiers signataires

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