background preloader

La génération Z passée aux rayons X

La génération Z passée aux rayons X
Ces derniers jours, une nouvelle expression s’est imiscée dans les médias : celle de "génération Z". Une nouvelle catégorie sociologique qui chasse la génération Y du devant de la scène. Mais que représente-t-elle vraiment ? Et quelles sont ses caractéristiques ? Après les générations X et Y, voici venu le temps de la génération Z. Si les enfants de la génération Z font aujourd'hui leur apparition dans les médias, c'est qu’ils atteignent l'âge adulte, et ne vont donc pas tarder à faire leur entrée sur le marché du travail. Au vu de son hyperconnectivité constante, les prophéties au sujet de cette génération se succèdent. Le second, tout juste âgé de 16 ans, appartient à cette génération Y. Des incompétents ? En 2012, Le Figaro écrit un article intitulé : "Génération Z" : des connaissances superficielles. "Le titre de l’article du Figaro veut clairement dire que les jeunes sont incompétents, ce qui est choquant, analyse Eric Delcroix. "Vous me suivez ou je dégage" Eric Delcroix poursuit :

La génération Z : les rois du monde digital A peine le temps de mettre en place une conduite du changement à l’égard du management de la fameuse Génération Y, qu’il faut déjà anticiper l’arrivée rapide de la génération suivante ! Certains l’appellent Génération Z (pour la suite logique de X et Y), d’autres parlent de Génération C (pour Communication, Collaboration, Connexion et Créativité), ou encore de la génération silencieuse, de la Y’, de la AA ou des Emos (pour « émotionnels »). Chaque expert tente d’imposer son nom. Née aux alentours de 1995, elle concerne les jeunes qui ont aujourd’hui entre 8 et 18 ans et qui ne vont pas tarder à faire leur entrée sur le marché du travail. On peut penser que la Génération Z n’est que la petite sœur de la Y, avec les mêmes comportements et les mêmes attentes. Concrètement, la Génération Z est « hyper connectée »: elle gère ses contacts virtuels et alimente ses réseaux de manière naturelle et cela fait partie de sa vie courante. Désintérêt du papier au profit de l’écran… 02 Février 2012

France : «Génération Z» : des connaissances superficielles - Aurora Selon un rapport, les moins de 20 ans, dits «génération Z» ne sont pas si compétents avec les nouvelles technologies. Ils les utiliseraient plus dans un but récréatif que formateur. Missionné par François Fillon, le député Jean-Michel Fourgous, spécialiste UMP du numérique à l'école, vient de lui remettre un épais rapport «Apprendre autrement à l'ère du numérique». S'il est de bon ton aujourd'hui d'affirmer que la «génération Z», comprenez les moins de vingt ans, est parfaitement à l'aise avec les nouvelles technologies et dépasse de loin ses aînés, rien n'est moins sûr. Selon une enseignante citée dans le rapport, «nos élèves utilisent les ressources informatiques de façon quantitative, non qualitative. Le numérique devrait être une «discipline à part entière» Il est nécessaire que les enseignants forment de futurs adultes qui ne soient pas esclaves des technologies mais qui en maîtrisent les enjeux, insiste Jean-Michel Fourgous. » Les parents pour l'entrée du numérique à l'école

Portrait de la Génération C : hyperconnectée et en contact continu (enquête Ipsos Santé) La thématique de la 8e étude quantitative annuelle Adolescences d’Ipsos Santé pour la Fondation Pfizer est : les différences intergénérationnelles. Elle confronte sur le même sujet les avis d’adolescents et d’adultes. Cette approche en regards croisés permet de mettre en relief les points de vue, perceptions et vécus des jeunes aux opinions des adultes. Génération C : génération hyper connectée, en contact continu Les adolescents interrogés sont nés entre 1994 et 1997. C’est une génération connectée, trait consensuellement reconnu par une majorité d’adolescents et d’adultes. Ainsi les nouveaux médias sont utilisés pour leur permettre de concrétiser leur idéal de fusion avec leur entourage, ne jamais quitter leurs amis. 83 SMS reçus et émis par jour pour un adolescent en France En moyenne, un adolescent utilise chaque jour 10 fois plus de SMS qu’un adulte : il reçoit et émet au total en moyenne 83 SMS. Méthodologie d’enquête Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : France

1che32.pdf Quelles compétences informatiques et internet pour contribuer au développement de la e-santé ? Dans toutes les structures sanitaires et médico-sociales les applications informatiques sont omniprésentes pour la gestion administrative et des ressources humaines et de plus en plus pour la production des activités de soins et du dossier patients. Les infirmiers multiplient les usages d’internet avec le développement des applications pour smartphones et tablettes. Les sites internet santé sont également de plus en plus consultés par les Français. Comment les professionnels de santé et les infirmiers en particulier, sont-ils formés aujourd’hui et préparés à cette évolution dont le rythme s’accélère ? La Direction des Systèmes d’Information de Santé (DSIS) au sein de la Direction Générale de l’Offre de Soins (DGOS) et l’Agence des Systèmes d’Informations Partagés de santé (ASIP), relayés par les Agences Régionales de Santé (ARS) développent différents projets de e-santé : le programme Hôpital numérique, le projet du Dossier Médical Personnel (DMP), les projets de télémédecine … Note 1.

Les TIC comme compétence transversale en soins infirmiers Margot Phaneuf, inf. (Infiressources) Le programme de formation en soins infirmiers comporte comme axe de développement certaines compétences personnelles telles que la capacité de bien communiquer et d’établir une relation aidante avec le malade (01Q5), des compétences professionnelles (01QF), et d’autres de nature sociale (01Q5), technique et organisationnelle (01Q4). Quelques compétences proposées dans ce programme couvrent les champs de diverses spécialités – par exemple, les soins de clientèles particulières, comme les personnes âgées (01QM), les enfants (01QJ), les nouveau-nés (01QH), etc. État de la question en formation infirmière collégiale Les nouvelles générations d’apprenantes possèdent, il est vrai, un bagage d’expérience informatique plus important que celles qui les ont précédées. Cependant, du côté des enseignantes infirmières, certaines questions se posent, car leur recours au matériel scolaire informatisé demeure relativement faible. Les besoins du milieu éducatif

Les objets connectés renforcent la confiance des français envers les professionnels de santé Dans le cadre de la vaste réforme du système de santé menée en France, Groupe Pasteur Mutualité a souhaité à nouveau interroger les Français sur leur niveau de confiance à l’égard des professions de santé. La 4e vague de ce baromètre révèle un attachement toujours aussi fort au corps médical et une confiance dans sa capacité d’adaptation et d’ouverture aux nouvelles technologies. Les infirmiers et les médecins spécialistes en tête du baromètre 2015 Le niveau de confiance globale des Français envers les professionnels de santé reste toujours très haut par rapport à la vague précédente de 2013. Dans ce palmarès, viennent ensuite les pharmaciens (92%), les médecins généralistes (91%), les chirurgiens-dentistes et les médecins hospitaliers (87%) puis les sages-femmes (86%, 5 points par rapport à 2013). L’écoute comme source principale de confiance Des professionnels de santé qui s’adaptent aux mutations de la e-santé Un accès aux soins qui reste compliqué

Related: