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Des maisons de 200m2 imprimées en 3D pour 4 300€

Des maisons de 200m2 imprimées en 3D pour 4 300€
Il n’aura fallu qu’un seul jour pour fabriquer la première maison par impression 3D et c’est dans la ville de Shanghai que cela s’est passé il y a quelques semaines. C’est la société Shanghai WinSun Decoration Engineering Co qui est à l’origine de ce baptême dans l’industrie de la construction et explique travailler depuis plusieurs années sur la machine et les matériaux de construction. L’imprimante 3D développée par le groupe chinois est imposante, elle mesure 32 mètres de long, 10 mètres de large pour 6,6 mètres de hauteur et permet de réaliser des murs en seulement quelques heures. Aucune photo n’a toutefois été dévoilée pour le moment. Le matériau d’impression utilisé est également innovant et éco-responsable, il s’agit d’un béton composé à base de ciment et de fibre de verre, issus de déchets de construction. Les dix maisons imprimées en 3D mesurent 200 m2 chacune pour un coût de seulement $4800, soit environ 4300€ ! Copyright photos www.news.cn. Related:  technologie-et-sante

Ce pilulier connecté deviendra votre meilleur compagnon pour ne jamais oublier vos médicaments Imediapac est une invention française qui rejoint la grande famille des objets connectés. Il s’agit d’un pilulier intelligent qui contrôle la prise de vos médicaments. DGS vous explique en détail cette innovation qui pourrait être une véritable aide pour les personnes sous traitement médicaux. Ce pilulier a la taille d’une tablette et se connecte via GPRS, afin de respecter le cadre légal français en matière de transfert des données des patients. Il possède également des capteurs optiques ainsi qu’un accéléromètre. Il peut accueillir assez de pilules pour une semaine de traitement. L’imediapac est attendu vers la fin de cette année. Ce pilulier connecté est une solution pratique pour éviter l’oubli de la prise de pilules. Ce pilulier a pour but de diminuer les erreurs médicamenteuses et ainsi de rendre les traitements plus efficaces.

Ouverture des données de santé : quels sont les enjeux ? Connaître le taux d'efficacité d'un anti-diabétique, réaliser des études prospectives sur un traitement anticancéreux, éviter les catastrophes sanitaires... Les raisons qui militent pour une ouverture maîtrisée des données anonymes de santé sont multiples. À commencer par l'impératif de santé publique. Des acteurs comme l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), dont la mission est de contrôler la sécurité sanitaire, sont au premier chef concernés par l'ouverture des données de santé. Aujourd'hui, une poignée d'agences de l'État a accès à ces données. Quelles sont les données concernées ? Le Point.fr : Quelles sont ces "données de santé" qui intéressent tant les défenseurs de la transparence et les acteurs de la sécurité sanitaire ? Anne Cousin : La loi ne définit pas les données de santé. Cette initiative de ITS s'appuie sur le mouvement actuel favorable à l'exploitation des données publiques, notamment à des fins d'information et de contrôle des politiques publiques.

Un microscope ultra-low-cost en papier pour vaincre le palu Le paludisme a fait, en 2012, entre 600 000 et 1,2 millions de morts, selon les sources. S’il n’existe pas encore de vaccins, le simple dépistage de la maladie permet de la traiter à temps, afin d'en limiter les effets et la diffusion. Problème : analyser un échantillon de sang coute trop cher dans les pays pauvres où le fléau sévit. Manu Prakash, ingénieur biologiste au Stanford College, a présenté la semaine dernière un microscope au prix dérisoire qui pourrait changer la donne. Dans son rapport 2013 sur le paludisme, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) souligne que « la mise en œuvre universelle de tests de diagnostic dans les secteurs publics et privés réduirait considérablement les besoins en traitements antipaludiques dans le monde. » Le Foldoscope, justement, pourrait « être produit en grande quantité dans les pays émergents pour permettre des examens médicaux très bon marché », affirme son créateur lors d’une conférence TED. Deux étudiants inventent le savon anti-palu

[mHealthEU] Santé connectée: "Nous donnons les outils à l’utilisateur pour qu’il se prenne en charge dans la durée" Placer l’utilisateur au centre et l’accompagner sur le long terme sont les fondements pour réussir dans le secteur de la santé numérique et apporter des solutions disruptives. Entretien avec Alexis Normand, Directeur du Développement Commercial Santé chez Withings, société française développant et commercialisant des objets connectés, à la suite de son intervention au sommet européen mSanté à Berlin sur la "Révolution de la santé connectée" L’Atelier : Chez Withings, travaillez-vous en partenariat avec des professionnels de la santé ? Alexis Normand : Oui, nous vendons des produits aux médecins pour un usage en l’état comme c’est le cas avec l’Hôpital Européen Georges Pompidou qui possède une dizaine de nos tensiomètres et les prête à ses patients pour qu’ils puissent s’auto-mesurer à domicile. Décririez-vous vos produits comme du wearable ? Oui et non. Diriez-vous que le wearable est cool ou effrayant ? En quoi peut-on dire que Withings apporte des solutions disruptives ?

[mHealthEU] Santé numérique : "Il faut se concentrer sur la valeur ajoutée et savoir qui va payer pour celle-ci" Les nouveaux modèles de paiement permettent de relier le secteur médical et le grand public pour apporter de la valeur ajoutée et être rentable. Entretien avec Juliane Zielonka dans le cadre de sa présentation sur "Les nouveaux types de paiement et business models pour une meilleure prise de décision en santé numérique" lors du sommet européen mSanté à Berlin. Elle a fondé die Artverwandten, une société d’édition spécialisée dans les nouvelles technologies dans le domaine de la santé numérique. L’Atelier : Vous avez établi une comparaison entre le secteur médical et le secteur "lifestyle". Qu’est-ce qui caractérise leurs business models ? Juliane Zielonka : D’un côté, il y a le secteur médical qui regroupe le patient, les professionnels de la santé et le payeur, c’est-à-dire le gouvernement en tant qu’assurance-santé. Pouvez-vous expliquer plus en détails les nouveaux modèles de paiement que vous préconisez ? En tant qu’entrepreneuse, quels conseils pourriez-vous donner à des startups ?

Wearables have a dirty little secret: 50% of users lose interest There's a little-known fact about wearables that manufacturers don't advertise to consumers: Most people lose interest within a few months. Tech wearables, particularly those for health and fitness, fail to keep the interest of users for more than a few months. A survey of 6,223 US adults revealed that one in ten consumers age 18 and over owns a modern activity tracker such as Jawbone, Fitbit, Nike+ Fuelband or Misfit Wearables. The survey was conducted by Endeavour Partners and the results were published last month in a white paper, “Inside Wearables: How the Science of Human Behavior Change Offers the Secret to Long-Term Engagement.” Dan Ledger, principal at Endeavour Partners, said the fast-growing popularity of wearables was evident at this year’s CES, with more than 10 new wearable devices introduced from manufacturers such as Sony, Pebble, Meta, LG, Garmin and Razer. Don’t make an ugly wearable Having the right design ethic is crucial. The psychology of wearing wearables

[Doctor 2.0] “Classer et noter les applications autour de la santé permettrait aux médecins de les prescrire au bon moment.” Avocate spécialisée dans la santé électronique, Nathalie Beslay décrit les enjeux juridiques, réglementaires ou pratiques à envisager face à la dématérialisation des données et les transformations numériques dans le domaine de la santé. Nathalie Beslay est l’une des intervenantes de l’événement Doctor 2.0 & You qui se tient à Paris depuis jeudi jusqu’à ce vendredi. Que va apporter la dématérialisation des données médicales et quels sont les enjeux de cette mutation? La dématéralisation favorise, dans le respect de la règlementation, l'accès et le partage et donc une meilleure connaissance des pratiques de santé et une meilleure prise en charge des patients, à terme. Il y a aussi nécessairement comme enjeu un objectif de limitation des coûts, dans le contexte impératif de limitation des dépenses de santé. La communauté médicale vous semble-t-elle prête aux transformations que le numérique engendre sur le secteur de la santé ? Ça dépend des catégories de professionnels de santé.

Les caméras plutôt que les objets connectés pour un diagnostic sans contact? L’utilisation de caméras pour surveiller les signes vitaux des patients offre un nouvel outil au médecin pour analyser l’évolution de la santé des patients. Avec l'apparition des objets connectés, la tendance est de plus en plus d'être, littéralement, au plus près du patient. Bracelets, montres, capteurs, il semble que le patient devienne littéralement le support des appareils médicaux. Cependant cette évolution n'est pas forcément la seule voie possible. Xerox vient ainsi de terminer une expérience effectuée au sein d'un hôpital indien consistant à surveiller les signes vitaux des patients, non par le biais d'appareils intrusifs et portables mais via des caméras. Bien plus que de simplement surveiller le comportement des patients, les caméras, en lien avec des logiciels analytiques, peuvent calculer température corporelle, rythme cardiaque et autres signes vitaux. Manipal, Inde Diagnostic sans contact

Apnée du sommeil: pour être remboursés, les malades devront accepter le télé-flicage... Pour la première fois en France, le remboursement d’un traitement par la Sécurité sociale est fonction du comportement du malade assuré social. Un comportement surveillé à distance par la télémédecine. «Télé-flicage», dénoncent ceux qui voient ici un premier exemple des futures menaces sanitaires pour les libertés individuelles. L’affaire a été récemment révélée sur le site automesure.com par le Dr Nicolas Postel-Vinay. publicité Source d’inconfort durant la nuit, elle a diverses conséquences durant la journée (fatigue chronique, somnolence) et peut être la cause, au fil du temps, de pathologies cardiovasculaires. Il existe aussi un traitement salvateur de référence: la pression positive continue (PPC). Ce matériel est installé gratuitement au domicile via un système de location. Jusqu’à présent, les malades disposaient de machines qui étaient contrôlées deux fois par an par le prestataire. Une dépense non justifiée de 80 millions JeanYves Nau À lire aussi sur Slate.fr

Nos smartphones vont-ils guider nos pratiques de santé ? La mode est récente mais l'engouement est rapide : de plus en plus de personnes connectent leur corps à Internet avec des capteurs reliés à leur smartphone ; ici une balance, là un tensiomètre, ailleurs un détecteur de phases du sommeil, un lecteur de glycémie (mesure du taux de sucre dans le sang), un cardiofréquencemètre (calcul du rythme cardiaque), un podomètre (comptage du nombre de pas lors de la marche) ou un accéléromètre, utilisé lors d'un parcours de jogging pour comptabiliser les efforts et la distance parcourue, au besoin avec la fonction de géolocalisation du téléphone. Mémorisés sur la Toile, les résultats permettent de suivre l'évolution des performances qui sont parfois partagées sur les réseaux sociaux. Ces connexions du corps effectuées sans avis médical sont nommées "quantified self", littéralement "quantifiées par soi-même". Que le contexte des nouvelles technologies ne nous trompe pas : mesurer son corps n'est...

Apple approche les mutuelles pour divulguer nos comportements - Numerama L'ENSCI était à Wave for Health dans le Parc de la Villette Au sein de l'exposition itinérante "Wave", créée à l'initiative de BNP Paribas et qui propose 20 projets issus de l'ingéniosité collective, installée jusqu'au 5 octobre dans le Parc de la Villette au sein d'un espace éphémère conçu par Sylvain Dubuisson, une réflexion était menée le temps d'une soirée et restituée le lendemain matin auprès d'un public restreint, avec la présence d'un jury d'ambassadeurs experts comme Joël de Rosnay. En une soirée, le 23 septembre dernier, plusieurs équipes ont planché sur l'un des trois défis proposés : un de communication pour mieux connaître et diffuser de l'information sur ce problème, un autre sur une manière de collecter les données pour faire avancer la recherche, et le dernier, plus complexe parce que scientifique, proposait de travailler sur les biomarqueurs, nécessaires pour élaborer un diagnostic de retard de croissance utérine.

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