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Apprentissages informels : quel poids réel dans le développement des compétences professionnelles ? - Le blog de la Formation professionnelle et continue Dans certaines entreprises, le modèle 70-20-10 est érigé en dogme. Mais qu’en est il réellement ? Et comment bien l’utiliser ? Pourquoi cette « vogue » des apprentissages informels ? Parce que les cycles technologiques et économiques se sont accélérés. Une étude de Bersin, en 2009, indiquait que « 78% des chefs d’entreprise estiment que le taux de renouvellement et la rapidité de circulation de l’information pose un défi de formation majeure à leur organisation ». Robert Kelley, de Carnegie Mellon, a demandé à des « travailleurs du savoir » (knowledge workers) « Quel pourcentage des connaissances dont vous avez besoin pour faire votre travail est emmagasiné dans votre cerveau ? En 1986, la réponse est de 75%En 1997, 18%En 2006, 9% Et aujourd’hui, où en sommes-nous ? Les connaissances que nous utilisons pour notre travail sont embarquées dans les systèmes d’information, et dans le réseau des personnes avec lesquelles nous travaillons. Mais au fait, d’où vient ce modèle ? P.

Le modèle SAMR : une référence pour l’intégration réellement pédagogique des TIC en classe Le modèle SAMR, élaboré par Ruben Puentedura, est une référence théorique très importante pour les éducateurs qui souhaitent réfléchir à l’intégration efficace et réellement pédagogique des technologies en classe. En voici un résumé. Le modèle SAMR offre une méthode permettant de mieux saisir comment la technologie peut avoir un réel impact sur l’enseignement et l’apprentissage. Ainsi, il aide l’enseignant à comprendre qu’intégrer les TIC ne signifie pas d’utiliser la technologie à tout prix, mais d’engager l’élève dans son apprentissage. La technologie devient donc un outil pour atteindre ce but. Les lettres signifient Substitution, Augmentation, Modification et Redéfinition. Allons voir de plus près chacune des composantes du modèle SAMR, mis en place par Ruben Puentedura. Substitution Définition : La technologie est utilisée pour effectuer la même tâche qu’avant. Exemple : L’élève utilise un traitement de texte au lieu d’un crayon pour écrire un texte. Augmentation Modification En résumé

www.pratiques-de-la-formation.fr/etutorat/data/downloads/7pillierscarre.pdf SAMR vs ASPID : le match | Humeurs d'Astringues Mon métier de formateur au numérique dans le premier degré (AKA #Ftice1d) m’amène régulièrement à réfléchir sur les différentes façons d’orienter les pratiques pédagogiques des enseignants afin d’optimiser l’utilisation d’outils numériques dans leurs enseignements et surtout que leurs élèves se les approprient afin d’optimiser les modalités d’apprentissage. Dans cette optique, j’avais été très séduit par la proposition de Ruben Puentedura et de son modèle SAMR, qui m’avait d’ailleurs amené à en proposer une présentation visuelle que j’utilise encore régulièrement dans mes animations pédagogiques : Puis j’ai découvert il y a quelques semaines un autre modèle qui tend vers des objectifs similaires, à savoir l’intégration des technologies numériques dans l’éducation, proposé par Thierry Karsenti et qui porte le doux nom d’ASPID. Les objectifs Alors, l’un des modèle est-il plus avantageux que l’autre ? Le parti-pris initial Les étapes L’élève et la classe dans le modèle SAMR

www.cedip.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/fichetech7_cle772d72.pdf Les modèles d’appropriation des TIC : une question de doigté pédagogique « On n’est jamais à l’outil d’abord. » (Lucie Pearson) « On n’a pas encore réalisé l’ampleur de l’impact des TIC en éducation. » (@zecool) Les enseignants qui explorent les technologies pour enseigner et apprendre auront probablement croisé le modèle SAMR, …le modèle TPACK …ou plus récemment le modèle ASPID. Ces représentations visuelles contribuent grandement aux éducateurs de se faire une tête autour de la démarche d’appropriation des TIC et de leur intégration judicieuse en enseignement et apprentissage. Cet article de Matt Miller, Rethinking SAMR, TPACK and using technology well, m’amène à cogiter un peu plus sur le sujet… Chose promise, chose due : Tout comme cet éducateur, je voyais avant tout ces modèles comme un projet d’ascension d’une montagne, avec tous les efforts nécessaires pour en arriver au sommet (le R de SAMR ou la zone centrée de TPACK). Je m’explique. Tout en saisissant la portée d’une redéfinition de tâches auparavant inconcevables, le R de SAMR reste une référence.

Méthodes et modèles pédagogiques Frédéric Haeuw :"L’irruption massive des technologies et des réseaux dans la formation des jeunes et des adultes fait ressurgir de vieux débats sur les méthodes pédagogiques. Les Massive Open Online Courses, par exemple, sont généralement distingués en « xMOOC » plutôt basés sur une pédagogie transmissive de savoirs clairement identifiés dans des référentiels fermés, et en « cMOOC » dont les objectifs d’apprentissage sont plus ouverts et qui se basent sur le principe que ce sont les participants qui créent le contenu. On parle alors de méthodes pédagogiques, classées généralement en méthodes déductives (démonstrative, expositive …) ou inductives (active ou expérientielle), et l’on considère souvent que la méthode dépend de l’objet à construire ou à transmettre : les savoirs académiques se prêteraient davantage à une méthode déductive et les compétences à une méthode inductive. Les constructivistes répondent à cette question de manière radicalement opposée.

Qu'est-ce que le connectivisme ? Les théories et les modèles de l'apprentissage se suivent et ne se ressemblent pas forcément; chacun présente une approche spécifique avec ses avantages et ses limites et on n'a pas toujours intérêt à adopter inconditionnellement l'une ou l'autre de ces approches. Le modèle transmissif où l'enseignant est le détenteur du savoir et s'évertue à le transmettre à un apprenant qui aspire à correspondre à un modèle a vu ses beaux jours décliner quoiqu'il soit encore appliqué dans des bastions réfractaires tels que certains espaces universitaires traditionnels (et les xMoocs). Le béhaviorisme, avec le balisage de l'apprentissage du plus simple au plus complexe avec force renforcements, positifs et/ou négatifs, des informations fournies juste à temps à l'apprenant et les remédiations pertinentes qui récupèrent tout retardataire vivra encore de très beaux jours et amènera des réussites ponctuelles satisfaisantes. Toutes ces approches correspondent à des pratiques courantes dans l'apprentissage.

E-learning, les 5 alertes de Meirieu Avec l'avènement du numérique, les pédagogues ont dû relever plus d'un défi. Comment intégrer les nouvelles technologies aux apprentissages ? S'agit-il d'une simple amélioration de l'existant, d'une plus-value qui rehausse la qualité de l'enseignement et de la formation ou carrément d'une refonte de nos prestations face à une génération hyper connectée ? Mais faut-il s'en convaincre encore, il y a toujours débat dans le milieu universitaire autour de la question pédagogique, notamment lors de la conception et mise en oeuvre de projets e-learning. Meirieu et le numérique : méfiance Dans la conférence qu’il donne à l’Université Lyon 3 lors des 8ème Journées du E-Learning, sur le thème « la réussite des usages du numérique en pédagogie », et que Educavox publie en quatre capsules vidéo, Philippe Meirieu lance 5 alertes qui constituent des garde-fous contre le miroitement parfois aveuglant du numérique. E-learning et pédagogie peuvent (vraiment) faire bon ménage Références :

Constructivisme Le constructivisme est une théorie de l’apprentissage fondée sur l’idée que la connaissance est élaborée par l’apprenant sur la base d’une activité mentale. Cette théorie repose sur l’hypothèse selon laquelle, en réfléchissant sur nos expériences, nous nous construisons et construisons notre propre vision du monde dans lequel nous vivons. Développée par Jean Piaget (1964) en réaction au behaviorisme, la théorie constructiviste met en avant le fait que les activités et les capacités cognitives inhérentes à chaque sujet lui permettent de comprendre et d’appréhender les réalités qui l’entourent. Ainsi, une personne confrontée à une situation ou à un problème donné va être amenée à mobiliser un certain nombre de structures cognitives, nommées schèmes opératoires. L’enseignement constructiviste est fondé sur la croyance que toute personne apprend mieux lorsqu’elle s’approprie la connaissance par l’exploration et l’apprentissage actif, les mises en pratique remplaçant les manuels.

Socio-constructivisme Ce mouvement pédagogique est à la base des principes du social learning. Mais de quoi s’agit il ? En réalité, il font suite aux travaux de Piaget, et démontrent que le processus d’assimilation/accommodation est en réalité assuré par une médiation sociale dans laquelle l’apprenant est co-auteur dans l’acquisition de la connaissance. Ainsi, l’environnement social, affectif, émotionnel joue un rôle primordial dans le développement cognitif de l’enfant et de l’adulte. Dans cette perspective, il est important de mettre en avant le fait que les acteurs de la construction et du développement intellectuel de l’individu sont bien évidemment les parents et les professeurs mais également les autres élèves de la classe. Ainsi le processus d’apprentissage comporte plusieurs dimensions : la capacité cognitive de l’individu en terme de développement neuronal par exemple mais aussi la richesse des interactions sociales dont il pourra bénéficier. A consulter ici

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