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Enterprise Service Bus

Enterprise Service Bus
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir ESB. L'enterprise service bus (ESB) est une technique informatique intergicielle. Son but est avant tout de permettre la communication des applications qui n'ont pas été conçues pour fonctionner ensemble (par exemple deux progiciels de gestion intégrés provenant d'éditeurs différents). Roy Schulte de la société Gartner inc, en fait la description suivante : « L'ESB est une nouvelle architecture qui exploite les services web, les systèmes orientés messages, le routage intelligent et la transformation. L'ESB agit comme une colonne vertébrale légère et omniprésente de l'intégration à travers laquelle les services logiciels et les composants applicatifs circulent ». L'ESB peut être considérée comme une nouvelle génération d'intégration d'applications d'entreprise (EAI) construite sur des standards comme XML, Java Message Service (JMS) ou encore les services web. Les principes[modifier | modifier le code]

Urbanisation (informatique) L'urbanisation du système d'information d'une entité ou d'une organisation, qui peut être une entreprise ou une administration, est une discipline d’ingénierie informatique consistant à faire évoluer le système d'information (SI) de celle-ci afin qu'il soutienne et accompagne efficacement les missions de ladite organisation et anticipe ses transformations[1]. L'urbanisation du SI ne fait pas table rase du passé mais tient compte de l'existant et permet de mieux envisager les évolutions ou contraintes internes et externes affectant le SI, en s'appuyant le cas échéant sur des opportunités technologiques. Les concepts manipulés s'apparentent à ceux de l'urbanisation de l'habitat humain (organisation des villes, du territoire), concepts qui ont été réutilisés en informatique[2] pour formaliser ou modéliser la réingénierie du système d'information (SI)[3]. L'urbanisation informatique est une des méthodologies d'architecture d'entreprise[5],[4],[1]. Plus particulièrement, l’urbanisation vise :

Excel : optimiser l'affichage - Fiche pratique Séparer l'écran en deux Parfois, il est nécessaire de travailler sur plusieurs cellules en parallèle. Lorsque celles-ci se trouvent aux extrémités supérieures et inférieures du tableau, ce n'est pas une mince affaire. Excel offre la possibilité de diviser l'écran en deux parties verticalement et horizontalement. Il suffit de tirer sur les repères situés en haut et en bas de l'ascenseur vertical. La feuille se divise alors en deux parties dont la taille est réglable à volonté. On peut par ailleurs utiliser cette fonction pour ne pas perdre de vue l'intitulé des colonnes ou le contenu d'une première colonne en bloquant le défilement, très utile si un tableau s'étale sur de nombreuses lignes. Une autre manière d'y arriver est de placer votre curseur sur une cellule, disons B4 par exemple. Eviter les '####' dans une celluleLorsqu'une colonne est trop étroite pour afficher une valeur à l'écran, Excel y affiche une suite de '####'.

Entrepôt de données Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition et construction[modifier | modifier le code] Un Entrepôt de données est une base de données regroupant une partie ou l'ensemble des données fonctionnelles d'une entreprise. Il entre dans le cadre de l'informatique décisionnelle ; son but est de fournir un ensemble de données servant de référence unique, utilisée pour la prise de décisions dans l'entreprise par le biais de statistiques et de rapports réalisés via des outils de reporting. D'un point de vue technique, il sert surtout à 'délester' les bases de données opérationnelles des requêtes pouvant nuire à leurs performances. D'un point de vue architectural, il existe deux manières de l'appréhender : La définition la plus communément admise est un mélange de ces deux points de vue. Principe de fonctionnement[modifier | modifier le code] Intégration[modifier | modifier le code] Historisation[modifier | modifier le code] Organisation fonctionnelle[modifier | modifier le code]

Les principes SOLID A l’heure où de nombreux débats font rages sur l’éventuel successeur du langage Java, le XKE (Xebia Knowledge Exchange) de Mars a été l’occasion de faire un retour sur les fondamentaux de la conception Orienté Objet. Faisons un petit sondage dans la communauté : quels arguments avanceriez-vous en faveur du langage Java ? Parmi les principaux arguments, il est fort à parier que les réponses seront en majorité les applets (heu… non plus maintenant… mais souvenez vous dans les années 90), la JVM, le cross-platform, le monde Open Source et la Communauté, les nombreux frameworks, la simplicité d’écriture et la gestion de la mémoire, les IDEs, etc. Nous nous apercevons que le fait même que Java soit un langage objet est secondaire. Alors pourquoi programme-t-on en Java ou dans un langage objet ? La conception objet Au premier abord les concepts objets ne sont pas simples à appréhender. Mais comment caractériser l’intolérance au changement ? Les principes SOLID Single Responsibilty Principle

Intégration d'applications d'entreprise Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir IAE et EAI. Par extension, l'acronyme EAI désigne un système informatique permettant de réaliser cette architecture en implémentant les flux interapplicatifs du système d'information. Composants[modifier | modifier le code] Une plate-forme IAE est composée de plusieurs éléments : Des connecteurs servent d'interface entre l'IAE et les applications. Exemple de fonctionnement[modifier | modifier le code] Pour comprendre le fonctionnement, on peut présenter l'exemple suivant : Une application A de gestion de commande crée un nouvel article (une pompe) et elle veut le rendre disponible à une application B qui suit les anomalies techniques de cet article et à une application C qui affiche l'article sur un portail Web. L'application A crée un nouvel article dans sa base de données. Avantages/Inconvénients[modifier | modifier le code] Avantages : Inconvénients : L'IAE dans l'entreprise[modifier | modifier le code]

ESB & démarche SOA « Architecture, processus et gouvernance du SI Contrairement à une idée reçue encore largement répandue, l’utilisation d’un ESB ne va pas forcément de pair avec une démarche SOA. Cette idée vient sans doute du fait que la notion d’ESB a émergé dans le même temps que celle de SOA, et qu’une majorité de schémas d’architecture SOA contiennent un ESB en point central. Soyons clair : Il est possible d’utiliser un ESB sans suivre de démarche SOA, et à l’inverse, il est possible de construire sa SOA sans utiliser d’ESB. Cet article s’intéressera au premier point évoqué ci-dessus, à savoir l’utilisation d’un ESB hors d’un contexte SOA ; Afin de mettre en parallèle deux types de démarches – l’une SOA, l’autre non – j’utiliserais deux exemples de projets utilisant un ESB développés chez l’un de nos clients. Projet A Nouvelle application, basée sur l’architecture standard SOA définie par la société : division de l’application en trois couches principales : Projet B La différence d’approche : Articles qui devraient vous intéresser IAM – 5.

Pronétaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pronétaire est un néologisme créé par Joël de Rosnay en 2005 à partir du grec pro, (« devant », « avant », mais aussi « favorable à ») et de l’anglais net (« réseau »), qui a conduit à l’appellation familière en français d’Internet (le « Net »). Le mot « pronétaire » s'emploie comme nom commun et est un clin d'œil au mot « prolétaire ». L'adjectif est « pronétarien ». L'ensemble des pronétaires constitue le « pronétariat ». Définitions[modifier | modifier le code] Pour de Rosnay, les pronétaires sont : Depuis quelques années, nous assisterions donc, sur un théâtre virtuel, au développement d'une nouvelle lutte des classes entre les « infocapitalistes », qui détiennent les contenus et les réseaux de distribution de masse, et les « pronétaires ». Voir aussi[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Portail d’Internet

ESB Roundup Part One: Defining the ESB The theme of Accenture chief technology officer Don Rippert's recent interview that the full potential of SOA is still five years away. However, buried in the interview was simple assertion--that the use of an Enterprise Service Bus (ESB) is step three out of four steps to realize the full potential of an ESB. The steps in Don Rippert's model are: Use of eXtensible Markup Language (XML) to use application interfaces in a more standard way. Mr. ...an ESB is not on my list if the few "basic components" that I recommend for getting started with SOA. Referencing her book, she goes on to mention that the basic components include: One or more service platforms (e.g., .NET, a Java EE app server, etc.) Referencing an earlier posting from a group member, she says: "...an ESB is especially good for bridging to legacy applications, and therefore it is a useful component in a services infrastructure. This seems to fit with Mr. Both Ms.

MediasSociaux.fr ESB Roundup Part two: ESB Use Cases In part one of this series, we began with the basic definition of an Enterprise Service Bus (ESB) on the Wikipedia. One of the points of general agreement seemed to be that an ESB was distinct from orchestration and Business Process Management belonged in a seperate class of product. In addition, there was a healthy debate on whether an ESB was a product or pattern. In part two of this series, InfoQ examines the purpose of an ESB--what are the use cases and requirements for an ESB? Dave Chappell from Sonic kicked off the debates in the previous article, part one of this series with a suggestion that Sonic Software might in fact try to standardize a set of UML based patterns that essentially define the reference architecture of an ESB. Stuart Charleton (Enterprise Architect for BEA Systems' Strategic Consulting Services, in Toronto, Canada) offered the following examples of uses: And augmenting these themes, Paul Fremantle (Co-founder and vice president of technology at WSO2) added: ..

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