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Cartographier les interstices de la ville

Cartographier les interstices de la ville
Parcourir la ville, la saisir en mouvement, et la restituer ensuite à travers une carte. Telle est la démarche de Mathias Poisson. Diplômé de l’École Nationale Supérieure de Création Industrielle (ENSCI/Les Ateliers), parallèlement à son travail de scénographe et interprète pour le théâtre et la danse, Mathias Poisson déploie un intérêt particulier pour la promenade et l’expérience subjective des lieux à travers plusieurs supports tels la carte, la visite guidée ou la performance. Mathias Poisson, Quartier de peines, Marseille, 2003. Ses dessins, que l’on pourrait croire échappés d’une bande dessinée, n’ont rien de banal. Objets insolites, ils renversent l’idée habituelle que l’on se fait d’une carte et éveillent notre curiosité. Mathias Poisson, Entre les dalles, cartographie du quartier Colombier à Rennes, 2009. Le centre de la ville de Rennes est partagé par la Vilaine. Départ. Se faufiler entre les interstices. La carte est avant tout un outil de reconstruction du réel. Arrivée.

Carto et flux à Geneve Le dessous des cartes - Les Carnets du Paysage n° 20 : Cartographies. La cartographie fait partie des outils privilégiés des architectes-paysagistes ; elle permet de synthétiser en une seule image les singularités d’un territoire, d’en faire émerger le paysage. Empruntée au monde de la géographie, la carte en tant qu’objet scientifique est détournée par les artistes qui expérimentent ses multiples possibles. Entre ces deux pratiques, les paysagistes en réinventent les codes et les usages, dans un but à la fois analytique, prospectif et pédagogique. Ce vingtième numéro de la revue des Carnets du Paysage, édité par Actes Sud et l’École Nationale Supérieure du Paysage de Versailles, est une compilation d’écrits théoriques et de productions contemporaines, témoins d’une remise en jeu des fondements et des finalités de la cartographie, à travers les diverses utilisations qu’en font les scientifiques, les artistes et les paysagistes. La carte est un projet D’où vient cet intérêt pour la cartographie ? Carte et paysage

Carte sonographique de Montréal À propos de la carte sonographique Montréal La carte sonographique est une façon efficace d’archiver des environnements sonores. Cet outil recueille des données qui puisent dans les différents domaines politique, artistique, culturel, historique et technologique. L’objectif visé par la création de la carte sonographique de Montréal est de concrétiser une collection des sons enregistrés à la grandeur de l’ile. Il s’agit d’un projet évolutif et continu permettant le partage et l’addition de nouveaux fichiers sonores. Contributions Les envois de fichiers sonores sont acceptées en tout temps. Licence Creative Commons Paternité-Partage des Conditions Initiales à l'Identique Vous êtes libres de reproduire, distribuer et communiquer cette création au public et de modifier cette création. Selon les conditions suivantes: Paternité. Partage des Conditions Initiales à l'Identique. Contactez-nous Max Steinmaxwell.stein@gmail.com Julian Steinjulian.stein@gmail.com

Datavisualisation & géopolitique Architectures de cartes postales: Swann Bourotte, american trip Swann Bourotte est un ami. Il est designer de talent. Il revient d'une grande balade à travers les U.S.A dans un camping-car digne de vos plus beaux rêves. Dans sa traversée, il a cru bon de temps en temps de penser à moi en achetant de-ci de-là des cartes postales. Il en a acheté beaucoup ! Et cela forme une donation Swann Bourotte dorénavant dans ma collection. On y retrouve toutes les qualités de la Boring Postcard de Martin Parr. Des avenues à l'horizon lointain, des Motels colorés au luxe tapageur et au parking presque vide et aussi quelques monuments architecturaux plus marqués. Stephen Shore y retrouverait ses cadres, Little Nemo ses cauchemars, les frères Cohen leurs décors. Je vous propose une petite sélection. Nous commenterons peu, les images parlent d'elles-mêmes. Et nous n'oublierons pas de remercier Swann pour ce voyage par procuration. C'est parti, montons dans le camping-car avec lui ! Burns Oregon, K éditeur Capri, In beautiful Vancouver by Grant-Mann Lithographers ! Plastichrome.

Map of the Internet by Peer 1 Hosting for iPhone 3GS, iPhone 4, iPhone 4S, iPhone 5, iPod touch (3rd generation), iPod touch (4th generation), iPod touch (5th generation) and iPad on the iTunes App Store 26 abandoned gasoline stations : Eric Tabuchi Komm mit nach Deutschland* Liebe Leserin, liebe Leser**, Si toi et moi on se connaît déjà un peu, je t’ai sûrement déjà bassiné avec ce lieu cher à mon cœur : la Maison Heinrich Heine, située dans la Cité internationale universitaire de Paris. Alors, je te rassure tout de suite cher lecteur, malgré le fait que son logo semble te faire un gros doigt d’honneur, la MHH aime tout le monde et t’accueillera même si tu ne parles pas allemand. Herzlich Willkommen! (N.B. : le logo représente l’architecture du bâtiment, on l’aura tous compris et souligné.) Déjà, sache que la Cité U, c’est un parc trop cool. Mais commençons par les bases. La MHH, c’est la fondation de l’Allemagne. La MHH, c’est la Maison Heinrich Heine très exactement. Heinrich est né Harry et mort Henri (à Paris d’ailleurs), et c’est l’un des plus grands écrivains allemands. perdu ! « T’es sûre que c’est pas le type du ketchup Heinz ? La Lorelei ! Die Loreley est un poème d’Heine paru en 1824 et c’est d’ailleurs probablement son texte le plus connu. Küsse.

Conférence - "La grammaire générative des jambes" par Jean-Christophe Bailly, écrivain, dramaturge et essayiste Amphi Cinéma, École Spéciale d’Architecture Berlin, 1928 © Mario von Bucovich Dans le cadre de son cycle de conférence sur la Marche, L’École Spéciale d’Architecture JEAN-CHRISTOPHE BAILLY, écrivain, dramaturge, essayiste français et enseignant l’École nationale supérieure de la Nature et du Paysage à Blois. Introduction par Catherine Weinzaepflen, écrivain et enseignante à l’École spéciale. En savoir plus : Jean-Christophe Bailly est né à Paris en 1949. Infos Pratiques : Entrée libre dans la limite des places disponiblesAccès à l’École Spéciale

Flânerie | La précarité du sage Guide psychogéographique de ParisLa foule est son domaine, comme l’air est celui de l’oiseau, comme l’eau celui dupoisson. Sa passion et sa profession, c’est d’épouser la foule. Pour le parfait flâneur, pour l’observateur passionné, c’est une immense jouissance que d’élire domicile dans le nombre, dans l’ondoyant dans le mouvement, dans le fugitif et l’infini. Etre hors de chez soi, et pourtant se sentir partout chez soi ; voir le monde, être au centre du monde et rester caché au monde, tels sont quelques-uns des moindres plaisirs de ces esprits indépendants, passionnés, impartiaux, que la langue ne peut que maladroitement définir.Charles Baudelaire, Le Peintre de la vie moderne, 1859. Parmi les types de récits de voyage contemporains, la flânerie urbaine a une place à part et doit faire l'objet, au moins une fois dans son histoire, d'un billet de blog précaire. Des esprits malins diront que c'est Edgar Alan Poe, non Baudelaire, qui a inventé la flânerie. Charles Baudelaire

Artistes marcheurs - 10 minutes d'un promeneur Abramovic, Marina et Ulay, “The Lovers : Great Wall Walk” (performance, livre, 1988) Acconci, Vito, “Following Piece” (séries de performances, 1969) Alÿs, Francis, “Trucque”, “Reenactment”, “Walking a Painting”, “The Doppelgänger”(1998-9), “The Liar, Copy of the Liar”, “Urban Rumors” (2000) “The Collector” (1991-2), “Magnetic Shoes”(1994), “The Leak” (1995, 2003) Andre, Carl, “Lever”, 1966, “Joint” 1968 Auster, Paul, Trilogie new-yorkaise [1985-86], Actes Sud, coll. Barrio, Artur, “4 jours, 4 nuits” (performance) Beckett, Samuel, “Arena Quad I + II” (vidéo, 1981) Beurard-Valdoye, Patrick, Les noms perdus : des sources aux pertes de la Meuse, La Main Courante, 1996 Beuys, Joseph, “La revoluzione siamo no” (1971), “Bog Action”, 1971 Bey, Hakim, Temporary Autonomous Zone trad. Breton, André, L’amour fou, Paris, Gallimard (coll. Bunting, Heath, Brandon, Kayle et al., “Tour de Fence”, 2002 Buren, Daniel “Seven Ballets in Manhattan”, 1975 Cadere, André

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