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RPS : coût de la non-prévention - RH - RSE

RPS : coût de la non-prévention - RH - RSE
108 519 euros : c'est ce qu'a du verser ce groupe du CAC 40 à une salariée qui avait tenté de se suicider. C'était en 2008. A l'époque, Jacqueline, ingénieure, 55 ans, 12 ans d'ancienneté dans la maison, se sent harcelée. Elle craque. Coup de canif dans les veines, suicide manqué. Mais la quinqua réagit : elle attaque son employeur aux Prud'hommes, puis engage une action auprès du Tribunal des affaires de la sécurité sociale (TASS). 200 000 euros d'indemnités D'ailleurs, pour son divorce consécutif à sa dépression, Jacqueline obtient 15 000 euros supplémentaires au titre du « préjudice d'établissement ». La note va s'alourdir pour les employeurs Pour les entreprises qui attendaient l'accident pour agir, la stratégie de la « réparation » risque de coûter de plus en plus cher. La prévention, une source d'économies

Gérez le stress technologique de vos collaborateurs ! Et si vous organisiez une "journée sans mails" dans votre entreprise ? Loin d’être une mauvaise blague, il s’agit du créneau déjà privilégié par certains grands comptes (et peut-être bientôt par des PME ?) pour réduire le "stress technologique" de leurs salariés. À l’instar du groupe Canon, qui a mis en place sa première journée sans mails fin 2010. Au programme : recours exclusif au téléphone et priorité aux échanges en face-à-face pour permettre aux salariés de rester concentrés à fond sur leurs dossiers sans être dérangé par des mails intempestifs. Déluge d’informations "Si, grâce aux messageries Outlook, aux calendriers partagés et autres smartphones, il n’a jamais été aussi simple de créer et transmettre de l’information, rappelle Jean-Paul Lugan, dirigeant de Lugan et Partners, institut de formation de managers, ces outils font toutefois peser sur les salariés un panel de risques." Rédiger une charte des bonnes pratiques Des outils de mesure

Les préalables à l'amélioration de la QVT : l'attention réciproque Améliorer la Qualité de Vie au Travail (QVT) ne procède pas du « y a qu’à, faut qu’on ! ». Deux préalables me semblent nécessaires pour aborder efficacement l’amélioration individuelle et collective de la QVT. Quelle est l’idée ? Vous auriez envie, vous, de parler de la QVT avec quelqu’un.e dont vous êtes persuadé qu’il.elle a des conditions de travail insupportablement et indécemment supérieures aux vôtres ? Cela vous paraît extrême comme situation ? C’est probablement aussi pour cela que c’est si dur de travailler en coopération sur la prévention du stress, des RPS et de la souffrance au travail. Mon stress est tellement plus légitime que le prétendu vôtre ! Avec la promotion de la QVT, on engage un deuxième préalable : s’intéresser aux conditions de travail et au ressenti des autres, et ceci sans tomber dans le piège de la comparaison biaisée, le mieux étant encore de se débarrasser de cette infernale habitude de vouloir tout comparer en permanence. Quels sont les bénéfices attendus ?

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