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Campagne 2012

Campagne 2012
Éteignons les enseignes, les vitrines, les équipements informatiques et bureautiques des commerces, entreprises et collectivités en-dehors de leurs heures d'ouverture. Mettons en place une tarification progressive de l'électricité, pour pénaliser les gaspillages tout en permettant aux ménages modestes de couvrir leurs besoins énergétiques de base. Éteignons la lumière dans les pièces inutilisées. Supprimons les panneaux publicitaires déroulants, ainsi que les écrans de publicité vidéo qui consomment chacun autant que 3 foyers. Stoppons l'accroissement constant des déplacements en densifiant les zones périurbaines et en réformant les politiques d'aménagement du territoire. Luttons contre le suremballage, favorisons la vente en vrac et la consigne des emballages, développons le compostage urbain des déchets organiques. Apprenons à ne plus gaspiller la nourriture. Optimisons les systèmes d'éclairage public : leurs consommation électrique peut être facilement réduite de 50 à 70 %.

Liste des actions - Chernobyl Day France / France : 70 actions Partout en France du 26/04 au 21/05/2013 (29) : Cyberaction N° 542 : La Société Générale et la Coface ne doivent pas financer le projet nucléaire russe de Kaliningrad! Contact : Alain Uguenalain.uguen (a) cyberacteurs.org Alsace Dimanche 21 avril 2013 - Strasbourg (67) : L'impossible Procès - Brut de béton 19h - 23h avec entracte : FEC 17 place St Etienne Brut de Béton présente L'impossible Procès de Bruno Boussagol. Entrées payantes : - Plein tarif : 10 € - Tarif réduit (enfants/sans emploi) : 5 € Petite restauration proposée à l'entracte Contact : Aline Baumann - Stop Fessenheimstopfessenheim (a) yahoo.frTel : 368230129 Jeudi 25 avril 2013 - Kaysersberg (68) : L'impossible Procès - Brut de béton 19h - 23h avec entracte : 103 rue du gl de Gaulle Sur scène, un tribunal. 18h : Place de l'Homme de Fer à Strasbourg 11 h : 11 rue des forgerons

International : «Fukushima a bouleversé notre rapport au nucléaire» INFOGRAPHIE - Le consultant indépendant Mycle Schneider estime que l'accident japonais va rendre plus difficile le financement de nouvelles centrales. Le point sur l'état de cette industrie dans le monde. La catastrophe de Fukushima a frappé les esprits. LE FIGARO.FR: Le drame japonais a-t-il eu une influence sur la production mondiale d'électricité issue du nucléaire en 2011? Crédits: Serge Ollivier Mycle SCHNEIDER.- Pour le moment, seuls le Japon, l'Allemagne et la Grande-Bretagne ont fermé des réacteurs (voir infographie ci-dessous). Quelles autres conséquences peut-on attendre de Fukushima? L'accident a eu une influence très importante sur l'opinion publique. Comment cela va-t-il se traduire concrètement? Les pays nucléarisés vont tout d'abord être tentés de prolonger la durée de vie des centrales, comme cela est envisagé en France, pour rentabiliser jusqu'au bout leur investissement. N.B: Le chiffrage des opposants peut varier d'un sondage à l'autre. » Quel nucléaire après Fukushima?

Conjoncture : Le Japon face au casse-tête de l'énergie nucléaire Un an après l'accident de Fukushima, le gouvernement veut relancer ses centrales arrêtées. Le public rechigne. Depuis le tsunami du 11 mars et la catastrophe nucléaire de Fukushima, les réacteurs atomiques nippons se sont arrêtés, les uns après les autres, afin d'être auscultés. Aujourd'hui, sur les cinquante-quatre chaudières qui fournissaient 28% de l'électricité à l'Archipel, seules deux fonctionnent. Les rues de Tokyo brillent pourtant de tous leurs néons, et la vie de la mégapole de 35 millions d'âmes vit au rythme habituel de ses milliers de trains quotidiens. Ce retour à la vie quasi normale malgré la fermeture de cinquante-deux réacteurs, le Japon le paie au prix fort. Dans ce contexte, le gouvernement et les compagnies électriques ne cachent pas leur souhait: redémarrer au plus vite les centrales nucléaires. Redémarrer les centrales nucléaires, juste un an après l'accident nucléaire qui a contraint 100.000 habitants à évacuer leur région contaminée? Rupture de confiance

Sciences : Fukushima: la centrale n'aurait jamais dû être inondée INFOGRAPHIE - Sur la base de prévisions sismiques erronées, les ingénieurs japonais ont creusé une ancienne falaise côtière pour installer les réacteurs à une altitude bien trop basse Tous les spécialistes s'accordent sur le fait que la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi a a priori résisté à la terrible secousse sismique (magnitude 9) qui a frappé le nord-est du Japon, il y a tout juste un an, le 11 mars 2011, à 14h46. Ce que l'on sait moins en revanche, c'est que ces installations hautement sensibles n'auraient jamais dû être inondées par le tsunami qui a dévasté la côte nippone dans l'heure qui a suivi, faisant près de 20.000 morts et disparus. Car c'est bien cette vague monstrueuse de 10 à 12m de haut qui, en noyant la centrale, en particulier les groupes électrogènes de secours chargés de refroidir le combustible nucléaire, a provoqué toute une série de dysfonctionnements qui ont abouti à la fusion totale ou partielle de trois réacteurs. Les pieds dans l'eau «Un concept erroné»

Greenpeace présente sa contre-expertise sur le nucléaire français Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Rémi Barroux et Pierre Le Hir Jamais l'atome n'aura fait l'objet, en France, d'autant d'études, de rapports et de contre-rapports. Après l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), la Cour des comptes et la commission "Energies 2050", c'était au tour de Greenpeace de rendre publique, lundi 20 février, une "analyse critique des évaluations complémentaires de sûreté menées sur les installations nucléaires françaises après Fukushima". Principale conclusion : ces évaluations comportent "trop de limites et de lacunes pour fonder des décisions définitives". Autrement dit, les mesures de renforcement de la sûreté du parc nucléaire préconisées par l'ASN sont mal étayées. >> Le rapport de Greenpeace sur la sûreté nucléaire en France post-Fukushima Les auteurs ont plus particulièrement passé au crible les dossiers des centrales de Gravelines (Nord), Flamanville (Manche)...

Le risque nucléaire, "le problème actuel le plus préoccupant" - LeMonde.fr#xtor=EPR-32280229-[NL_Titresdujour]-20120220-[deroule] Le Monde | • Mis à jour le | Par Pierre Le Hir Fukushima n'aurait-il rien changé ? Le poids de l'atome est-il si grand en France, sa présence si incontestable que, moins d'un an après la catastrophe japonaise du 11 mars 2011, la plus grave de l'histoire du nucléaire après celle de Tchernobyl, l'onde de peur qui a parcouru la planète n'ait pas de résonance dans l'Hexagone ? "On ne la fermera pas, cette centrale, il n'en est pas question !" Et pourtant. L'irruption de l'atome au quatrième rang des motifs d'inquiétude des Français, dans un contexte surdéterminé par la crise économique, est l'un des enseignements marquants de l'édition 2012 du Baromètre de la perception des risques et de la sécurité, établi depuis plus de vingt ans par l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). "A l'évidence, l'accident de Fukushima a provoqué un choc dans l'opinion", commentent les auteurs de l'étude, Marie-Hélène El Jammal et François Rollinger.

Nucléaire : manque d’argent pour le démantèlement Actualité Provisionne-t-on assez d’argent pour le démantèlement des centrales nucléaires en Belgique et le traitement des déchets ? Le citoyen belge est en droit de se poser la question. Et pourtant, la réponse pourrait ne pas être rassurante. C’est en tout cas la crainte de l’Ondraf (Organisme national des déchets et des matières fissiles enrichies). Ce que l’Ondraf conteste, ce sont les montants qui ont été acceptés en décembre dernier par la Commission des provisions nucléaires, qui sont nettement inférieures à ses recommandations. Revenons en arrière pour comprendre ce qui s’est passé. Tout commence fin 2010. Mais pour Synatom, les montants proposés par l’Ondraf en novembre 2010 sont trop élevés. Le plus étonnant c’est que cette décision majeure est prise par un nombre restreint de représentants de la commission.

Les 58 réacteurs nucléaires français aussi fragiles que ceux de Fukushima Greenpeace a commandité un rapport critique sur les évaluations complémentaires de sûreté, communément appelées “stress-tests”, des installations nucléaires françaises, demandées par le gouvernement à EDF et Areva et analysées par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Cette contre-analyse menée par des experts indépendants démontre qu’en cas d’accident entraînant une fusion du cœur du réacteur aucun des 58 réacteurs nucléaires français en fonctionnement ne résisterait mieux que ceux de Fukushima : les risques de ruptures de confinement et de rejets radioactifs importants sont tout aussi réels qu’au Japon. Sur la méthode d’analyse employée par les exploitants, les experts indépendants sont dubitatifs : les évaluations complémentaires de sûreté ont été faites de manière totalement théorique. Autre point mis en avant par les scientifiques : l’absence de prise en compte des risques liés à certains facteurs extérieurs, notamment le facteur humain. Partagez cet article :

L'ASN épingle EDF sur des fuites à la centrale nucléaire de Civaux L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a envoyé un rapport accablant à la direction de la centrale de Civaux (Vienne) après la découverte de fuites de tritium dans la nappe phréatique. Ce rapport, daté du 23 janvier et mis en ligne mercredi 25 janvier sur le site de l'ASN, a été rédigé après l'inspection que l'organisme a diligentée sur place la semaine dernière. Il met en évidence "une attention insuffisante aux risques de contamination par le tritium, tant en ce qui concerne l'état de la capacité de rétention, les programmes de surveillance du génie civil, le choix des méthodes de mesures employées par le service de prévention des risques et la formation des agents". L'ASN indique également qu'"à l'intérieur de la capacité de rétention, des fissures sont présentes dans le béton, dont certaines ont manifestement fait l'objet d'une réparation d'étanchéité à l'aide de mastics ou de gels de silicone".

Centrale nucléaire de Golfech : EDF devra répondre de ses actes devant les tribunaux 10 novembre 2017 CIGÉO : défendant l’indéfendable, Hulot enterre son éthique avec les déchets - Jusqu’où reculera-t-il devant le lobby nucléaire ? 7 novembre 2017 Le gouvernement enterre les (insuffisants) objectifs de la loi de transition énergétique 30 octobre 2017 Nouvelle publicité EDF : l’industrie nucléaire continue ses mensonges et se réfugie dans la réalité virtuelle Plainte déposée devant le Jury de déontologie publicitaire 27 octobre 2017 Le 3ème Forum Social Mondial antinucléaire se tiendra à Paris du 2 au 4 novembre 2017 24 octobre 2017 Bure : Jean Pierre Simon condamné, toutes et tous coupables de nos convictions ! 20 octobre 2017 État de délabrement avancé à la centrale nucléaire de Belleville : nous exigeons qu’EDF soit sanctionnée en justice ! 19 octobre 2017 Nouvelle décision complaisante envers Areva ! 17 octobre 2017 Importants rejets de gaz radioactifs à la centrale nucléaire de Golfech : pas d’impunité pour EDF !

Hausse du risque de leucémie de l'enfant près des centrales Une étude française montre que le risque de leucémie est augmenté chez les enfants vivant à proximité des centrales nucléaires, mais cet excès n'est pas corrélé aux très faibles doses de radiation dues aux rejets des centrales. L'important maintenant est donc d'en comprendre la ou les causes. C'est la conclusion prudente que suggèrent les nouvelles données portant sur la période 2002-2007, analysées par l'équipe de Jacqueline Clavel épidémiologiste au Centre de recherches en épidémiologie et santé des populations (Inserm) en collaboration avec l'IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire). Le risque demeure cependant extrêmement faible. Interrogée par Le Figaro Jacqueline Clavel est même catégorique: «Cela n'a pas de sens de recommander aux parents de déménager. Poursuivre les recherches Les détails de l'étude viennent d'être publiés en ligne dans l'International Journal of Cancer. » Leucémie: les signes, les traitements

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