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The capitalist network that runs the world - physics-math - 19 October 2011

The capitalist network that runs the world - physics-math - 19 October 2011

http://www.newscientist.com/article/mg21228354.500-revealed--the-capitalist-network-that-runs-the-world.html#.U0dRtdGI70M

Observatoire des inégalités 18 juillet 2006 - L’abolition des droits de succession, qui favorise les rentiers au détriment du travail, est contraire à l’esprit même du capitalisme. Entretien avec Philippe Frémeaux, directeur d’Alternatives Economiques (extrait d’une chronique de France Musique). Warren Buffet, deuxième fortune mondiale, vient de décider, de donner 85 % de sa fortune, à des fondations caritatives, et notamment à la fondation Bill et Melinda Gates, qui finance la recherche médicale et la délivrance de médicaments au profit des populations du tiers monde. Comment analyser ce renouveau de la charité privée ?

Israël-Palestine: le plan de paix secret d'Obama - Benjamin Netanyahou, Barack Obama et Mahmoud Abbas Jason Reed / Reuters - Le parti conservateur américain devrait remporter haut la main les élections de mi-mandat. Les Israéliens peuvent-ils s'en réjouir? Ils n’ont pas une affection particulière pour Barack Obama qu’ils accusent de favoritisme à l’égard des Arabes. La propension de certains commentateurs politiques de l’affubler de son deuxième prénom, Hussein, en dit long sur le niveau des arguments employés. En Israël, on lui reproche, en vrac, d’être allié des islamistes, de s’acharner sur le gouvernement Netanyahou pour le faire tomber, de prendre position contre les implantations de Cisjordanie, de se prêter au jeu de l’Iran et, enfin, de laisser la Turquie tomber vers l’islamisme.

Jean de Maillard Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Maillard. Jean de Maillard (né le à Saint-Germain-en-Laye) est un magistrat français. Après avoir été inspecteur du travail, il est entré dans la magistrature le . 91.000 documents secrets publiés aux États-Unis sur la guerre en Afghanistan Site spécialisé dans la publication de documents officiels, essentiellement d'origine américaine, Wikileaks vient de mettre en ligne un énorme dossier contenant une invraisemblable quantité de documents secrets téléchargeables ici (attention, le fichier compressé fait 75 Mo !) sur la guerre en Afghanistan. Il y en a plus de 91.000 ! Cette fuite est un événement de dimension historique. Elle aura sans aucun doute des effets comparables à ceux qu'avait produits la parution des Pentagon Papers par le New York Times, en 1971.

Appel de Genève Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Appel de Genève est une demande émise par des grands magistrats anti-corruption pour un espace judiciaire européen dans le but de lutter contre les malversations financières. 1996 : L'appel de Genève[modifier | modifier le code] En 1996, Denis Robert réunit sept grands magistrats anti-corruption – Bernard Bertossa, Edmondo Bruti Liberati, Gherardo Colombo, Benoît Dejemeppe, Baltasar Garzon Real, Carlos Jimenez Villarejo, Renaud Van Ruymbeke – pour lancer l'Appel de Genève le 1er octobre pour un espace judiciaire européen. Cet appel fait l'objet d'un livre de Denis Robert 'La justice ou le chaos', paru en 1996 chez Stock. La promotion 1996 de l'École nationale de la magistrature française a pris le nom d' « Appel de Genève » comme nom de baptême de promotion.

Les pirates de la nouvelle guerre israélo-arabe Ils s’appellent «Oxomar» ou bien «Anonymous Palestine». Ces hackers arabes ont lancé une nouvelle guerre contre Israël. Leurs cibles: les sites Internet de cinémas, de journaux, de la Bourse de Tel Aviv, de la compagnie nationale aérienne El Al, mais aussi de banques israéliennes. Les données de plus de 20.000 cartes bancaires israéliennes ont ainsi été piratées par Oxomar, qui se présente comme un hacker saoudien de 19 ans. L’auteur aurait réussi à obtenir ces données via des sites commerciaux offrant des réductions sur des achats en ligne. Les pirates affirment vouloir faire du mal à Israël et agir pour des motifs politiques. L’économie trafiquante, paradigme de la mondialisation Dater — symboliquement — le coup d’envoi de la mondialisation économique et financière au 15 août 1971 n’est pas seulement un exercice de style. Le Président américain Richard Nixon n’avait certes pas conscience, ni personne d’autre à l’époque, des conséquences et des développements qu’entraînerait sa décision de suspendre la convertibilité du dollar en or. Il n’empêche que cette initiative a fait exploser l’ordre politique et juridique international d’après-guerre, qui reposait sur le contrôle des économies par l’encadrement des monnaies et de la finance. Cet ordre nécessitait l’intervention des États comme régulateurs économiques, sociaux et financiers, dans le cadre d’une coopération internationale destinée à préserver les équilibres mondiaux. Un monde remodelé Centres de pouvoirs déplacés

Le Groupe des 20 (ou G20), qui se réunit le 2 avril prochain à Londres, cherche à faire croire à l’opinion publique qu’il est sur le point d’assainir la finance internationale Le Groupe des 20 (ou G20), qui se réunit le 2 avril prochain à Londres, cherche à faire croire à l’opinion publique qu’il est sur le point d’assainir la finance internationale et que les paradis fiscaux vivent leurs derniers jours. En fait, les grandes puissances ne s’attaquent qu’aux petits fraudeurs du fisc, mais surtout pas aux magouilles des multinationales. Depuis quelques semaines, les médias du monde entier font leurs gros titres sur la mort des paradis fiscaux. Sous la pression des Américains, des Français et des Allemands, la Suisse, l’Autriche, le Luxembourg, l’Andorre ont promis de collaborer. C’est juré, ils n’accueilleront plus les horribles fraudeurs du fisc. C’est une excellente nouvelle.

Les transnationales au centre de la grande évasion La lutte contre les paradis fiscaux est encalminée. Réuni fin juin à Toronto, le G20 a réitéré son intention d’appliquer des sanctions contre ces derniers, mais à partir d’une liste établie par l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) qui ne cesse de s’étriquer. Celle-ci ne compte plus que quatorze Etats. « Et encore, les Iles Cook et le Sultanat de Brunei devraient en sortir prochainement. Ils ne restent que quelques confettis représentant 0,2% de la finance offshore alors que les multinationales représentent les deux tiers de la fraude fiscale globale », remarque Jean Merckaert, du Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD). « Pire, note Attac, les pays s’engagent à ouvrir encore davantage les marchés de biens et de services (dont les services financiers !) et à continuer d’éliminer les derniers instruments de protection dont disposent les gouvernements ou les régions vis-à-vis du tout marché [1]. »

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