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5 Things To Know About The BYOD Trend

5 Things To Know About The BYOD Trend

The Institute for Prospective Technological Studies Authors: Gianluca Misuraca, David Broster, Clara Centeno, Yves Punie, Fenareti Lampathaki, Yannis Charalabidis, Dimitris Askounis, David Osimo, Katarzyna Skuta, Melanie BickingEditors: Gianluca Misuraca and Wainer Lusoli EUR Number: 24614 EN Publication date: 12/2010 Abstract The report Envisioning Digital Europe 2030 is the result of research conducted by the Information Society Unit of IPTS as part of the CROSSROAD Project – A Participative Roadmap on ICT research on Electronic Governance and Policy Modelling (www.crossroad-eu.net). After outlining the purpose and scope of the report and the methodological approach followed, the report presents the results of a systematic analysis of societal, policy and research trends in the governance and policy modelling domain in Europe. These analyses are considered central for understanding and roadmapping future research on ICT for governance and policy modelling. Documents available Get Adobe Acrobat Reader

Are kids really motivated by technology? As a guy who delivers two-day #edtech workshops during my breaks from full-time classroom teaching, I’m often asked the same questions again and again: How can teachers use technology to motivate students? What digital tools do kids like best? My answer often catches participants by surprise: You can’t motivate students with technology because technology alone isn’t motivating. Worse yet, students are almost always ambivalent toward digital tools. Need proof? Early in my technology integration efforts, I set up a blog for my students, introduced it excitedly to every class, and proceeded to get exactly zero posts in the first two months of its existence despite my near-constant begging and pleading. But they weren’t, and my grand blogging experiment died before it ever really began. The lesson I learned was a simple one: Technology, as Dina Strasser likes to say, is a motivational red herring. Technology’s role in today’s classroom, then, isn’t to motivate.

L’accès à l’internet n’est pas un droit de l’homme La lecture de la semaine, il s’agit d’une lettre envoyée par Vinton Cerf au New York Times et publiée début janvier sous le titre “L’accès à l’internet n’est pas un droit de l’homme”. Pour saisir la portée de ce propos, il faut se souvenir que Vin Cerf (Wikipédia), co-inventeur du protocole TCP/IP, est à ce titre l’un des créateurs de l’Internet. “Des rues de Tunis jusqu’à la place Tahrir, et encore au-delà, commence Cerf, les manifestations qui ont eu lieu l’an dernier se sont organisées sur Internet et sur les nombreux outils en interaction avec l’internet. Il n’est donc pas surprenant qu’elles aient soulevé la question de savoir si l’accès à l’internet est, ou devrait être, un droit de l’homme ou un droit civique. Ce problème est particulièrement prégnant dans les pays dont les gouvernements empêchent l’accès à l’internet dans le but de réprimer les manifestants. Le meilleur moyen de décrire les droits de l’homme est d’identifier les résultats que nous voulons obtenir.

Nostalgie de la mèche La lecture de la semaine est l’un des derniers textes postés sur le blog de Nicholas Carr, le célèbre contempteur de l’internet contemporain. Il reprend ici l’épilogue de Big Switch, son livre publié en 2008, mais le propos reste d’actualité. Le texte s’intitule “Flamme et filament”. “L’une des plus grandes inventions de l’humanité, commence Carr, fut aussi une des plus modestes : la mèche. Nous ne savons pas qui est le premier à avoir compris, il y a des milliers d’années, que le feu pouvait être isolé à l’extrémité d’une pièce de fils de tissus entrelacés et alimenté par capillarité grâce à un réservoir de cire ou d’huile. Mais la découverte fut, selon les dires de Wolfgang Schivelbusch (Wikipédia) auteur de Disenchanted Night “aussi révolutionnaire dans le développement de la lumière artificielle que la roue dans l’histoire du transport”. Image : la mèche, par Kumaravel. La mèche a aussi prouvé qu’elle était une création incroyablement robuste. Xavier de la Porte

Entretiens du Nouveau Monde industriel 2011 (2/4) : le temps des catastrophes Par Rémi Sussan le 10/01/12 | 7 commentaires | 1,347 lectures | Impression On a pu assister, lors des Entretiens de cette année (voir la première partie) à une session passionnante sur la gestion du risque à la lumière des évènements de Fukushima, avec deux interventions remarquables, celle d’Hidetaka Ishida, de l’université de Tokyo, et celle du philosophe Jean-Pierre Dupuy (Wikipédia). Pour Hidetaka Ishida, le visage de ce siècle est celui des catastrophes. Désastres naturels de type Katherina, crises nucléaires à la Fukushima, tempêtes financière et monétaire, comme celles qui secouent actuellement la planète. Mais aujourd’hui ces drames entraînent un autre genre de catastrophe : la perte de confiance du public dans la parole des médias et de ceux qu’elle présente comme des experts. Fukushima recouvre un triple désastre : le tremblement de terre d’abord, le tsunami ensuite, la catastrophe nucléaire pour finir. Avec le tsunami, les choses sont plus complexes. Ressurgissement des mémoires

Jean Haëntjens, vers la ville frugale : “on n’a pas encore de futur de rechange aussi clair que celui qu’on abandonne” Par Hubert Guillaud le 11/01/12 | 5 commentaires | 2,683 lectures | Impression Jean Haëntjens est urbaniste et économiste et conseil en stratégies urbaines au cabinet Urbatopies auprès des collectivités locales et des administrations. Après Le pouvoir des villes (2008) et Urbatopies (2010), il vient de faire paraître La ville frugale chez FYP éditions. Le modèle de la ville frugale InternetActu.net : Pourquoi, avec “la ville frugale” avoir eu besoin de définir un autre concept de ville durable ? Jean Haëntjens : Invité comme intervenant depuis longtemps dans de nombreux colloques internationaux sur la ville durable, je me suis rendu compte que ce concept était flou et peu opératoire. On a parlé de ville post-Kyoto pour le projet du Grand Paris, sans savoir vraiment comment traduire ces apports. L’idée de ville frugale porte aussi en elle l’idée que cette transition qui s’annonce ne se fera pas dans la contrainte. Jean Haëntjens : Le réchauffement climatique ne parle pas aux gens.

Usages, mésusages C’est en lisant Paul Ariès (Wikipédia), rédacteur en chef du Sarkophage – notamment La simplicité volontaire contre le mythe de l’abondance -, que j’ai mieux compris les limites qui me chiffonnaient dans la consommation collaborative. Celle-ci nous est souvent présentée sous les atours du partage et du don, alors qu’elle n’en est pas toujours. Le covoiturage et l’autopartage ne sont pas inspirés par une vision altruiste, comme on l’entend trop souvent. Le premier moteur du covoiturage et de l’autopartage n’est pas le partage, mais l’économie. Ce n’est pas sauver la planète qui motive les covoitureurs et les autopartageurs, mais amoindrir l’impact de la crise sur leurs finances personnelles, comme le soulignait déjà l’étude 2010 de l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France (.pdf). La consommation collaborative… c’est encore de la consommation Image : « la consommation te consume », une image du collectif décroissant Deshazkundea. De l’usage au mésusage Hubert Guillaud

Comment Luther est devenu viral La lecture de la semaine est un article passionnant de l’hebdomadaire britannique The Economist, intitulé “Comment Luther est devenu viral”. “C’est un récit qui nous est familier : après des décennies de grogne, une nouvelle forme de média donne aux opposants à un régime autoritaire le moyen de s’exprimer, de déclarer leur solidarité et coordonner leurs actions. Le message protestataire se répand de manière virale dans les réseaux sociaux et il devient impossible de passer sous silence le poids du soutien public à la révolution. La combinaison d’une technologie de publication améliorée et des réseaux sociaux est un catalyseur pour le changement social, là où les efforts précédents avaient échoué. C’est ce qui s’est produit pendant le printemps arabe. Les chercheurs ont longtemps débattu de l’efficacité relative des médias imprimés, de la transmission orale et des images dans le soutien populaire à la Réforme. Les gravures sur bois furent une autre forme de propagande. Xavier de la Porte

Réseaux sociaux (3/3) : ces algorithmes qui nous gouvernent Les 12 et 13 décembre 2011 se tenait à Lyon un colloque universitaire sur les réseaux sociaux organisé par l’Institut rhône-alpin des systèmes complexes. Suite et fin de notre compte rendu… Les algorithmes peuvent-ils se tromper ? Tarleton Gillespie professeur à l’université Cornell devait conclure ces deux jours, mais il n’a pu être présent. La réflexion de Tarleton Gillespie prend son origine dans les contestations émises à l’encontre de Twitter, accusé de censurer sa liste de Tendances. Bien sûr, la vigueur et la persistance de la charge de la censure n’est pas surprenante, estime Tarleton Gillespie. Les tendances de Twitter ne sont qu’un de ces outils parmi les plus visibles. Il est essentiel de dépecer les algorithmes, estime Tarleton Gillespie. L’algorithme est sans cesse manipulé. Comment les algorithmes transforment-ils notre mode de gouvernement ? Image : Thomas Berns photographié par Pierre Merklé. Hubert Guillaud

Réseaux sociaux (2/3) : des outils pour zoomer et dézoomer Par Hubert Guillaud le 04/01/12 | 4 commentaires | 3,022 lectures | Impression Les 12 et 13 décembre 2011 se tenait à Lyon un colloque universitaire sur les réseaux sociaux organisé par l’Institut rhône-alpin des systèmes complexes. Retour sur quelques-unes des présentations. Des outils pour mesurer le réel Pour Alain Barrat, chercheur au Centre de physique théorique de Marseille, les réseaux sociaux en ligne constituent un laboratoire très intéressant qui nous procure de nouvelles données pour faire des études à grande échelle, mais permettent également l’étude de l’évolution temporelle des réseaux (ce qui est plus difficile dans le réel). Sociopatterns a développé une infrastructure de badges RFID actifs (basés sur OpenBeacon) qui échange des paquets de données à faible puissance permettant notamment de détecter la proximité physique entre porteurs de badges. Dynamical Contact Patterns in a Primary School. from SocioPatterns on Vimeo. Les outils peuvent-ils modifier la théorie sociale ?

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