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Presse écrite : 38 % des lecteurs lisent sur support numérique

Presse écrite : 38 % des lecteurs lisent sur support numérique
La presse écrite n’a pas atteint le point où elle compte plus de lecteurs sur support numérique que sur papier. Mais elle s’en approche : en moyenne 38 % des lecteurs de 71 grands titres de presse visionnent leur contenu sur ordinateur ou smartphone, en 2013, selon l’étude One Global publiée mercredi 9 avril. Selon ces chiffres, 57 % des lecteurs de presse écrite lisent sur support papier uniquement ; 22 % consultent uniquement le site Internet, 4 % uniquement les versions mobiles. Point important : 17 % en moyenne sont des «dupliquants», qui lisent sur au moins deux supports, selon One global. Pour certains titres, le taux de numérisation dépasse 50 % Une étude qui « fusionne » trois outils de mesure Auparavant, Audipresse interrogeait les sondés sur leurs habitudes de lectures numériques mais seuls étaient concernés les lecteurs réguliers, explique Gilbert Saint Joanis, directeur des études d’Audipresse. Les tablettes pas encore prises en compte « La théorie du multi-reading »

La presse écrite britannique en plein chamboulement Le « Daily Telegraph » a licencié son directeur pour développer en priorité son site web. Pour financer l'expansion internationale de son offre internet, le « Guardian » vend le site de vente automobile AutoTrader. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Marc Roche (Londres, correspondant) Licenciement du directeur du Daily Telegraph, cession par le Guardian du site de vente automobile AutoTrader, mise en vente de The Independent : la presse écrite britannique est en plein chamboulement. « Plein cap sur le numérique ! Son successeur, Jason Seyken, ancien responsable de la chaîne publique de radio américaine PBS, a été chargé de développer en priorité le site web, qui représente seulement 10 % des revenus du groupe. Si le groupe Telegraph est profitable, ce n'est pas le cas du Guardian qui peut pourtant se targuer de l'immense succès de son site web, le deuxième du pays, qui est entièrement gratuit. De leur côté, le Times et le Sunday Times ont opté pour le paiement intégral.

La presse écrite au micro des radios Radio. La revue de presse : un exercice au cours duquel chaque journaliste tente d'imprimer sa propre couleur. C'est un exercice qui a depuis longtemps acquis ses lettres de noblesse radiophoniques. La revue de presse fait partie du quotidien de millions d'auditeurs qui, le matin, prennent ainsi connaissance de l'actualité. A lui seul, Ivan Levaï personnifie cet exercice particulier. « Jean-Luc Lagardère m'a proposé de tenir la revue de presse sur Europe 1 au début des années 1970, à la suite de l'entretien politique matinal que je menais. Au-delà du choix des sujets, une bonne revue de presse, c'est aussi imposer un ton à l'antenne. « Je suis partisan des pauses, des silences. Proposer une revue de presse originale ? Autres rendez-vous originaux : ceux proposés par Frédéric Couteau sur RFI. Bruno Duvic (France Inter) ou Agnès Bonfillon (RTL) ont, eux aussi, réussi à imprimer leur petite musique tout en s'adressant à des publics différents.

C’est « l’heure des soldes » pour la presse écrite Les cessions récentes du « Parisien » et de « L’Express » ont marqué les esprits par leur faible montant. Septembre 2002. L’empire Vivendi Universal, victime de la chute de Jean-Marie Messier, est contraint d’opérer de douloureuses cessions. A l’affût des opportunités dans la presse, Serge Dassault est sur les rangs. Et pour 237 millions d’euros (286 millions si on les convertit au pouvoir d’achat de l’euro en 2014), la Socpresse, qu’il contrôle avec la famille Hersant, s’offre l’ex-pôle presse de Vivendi : L’Express, L’Expansion, L’Etudiant… Quatre ans plus tard, en 2006, c’est au tour de la Socpresse de céder ses actifs. Janvier 2015. La trajectoire du groupe L’Express illustre celle des journaux français, dont les valorisations sont en forte baisse, comme en témoignent les chiffres des récentes transactions compilés par Le Monde. Cela ne signifie pas forcément que les valorisations de ces entreprises se sont écroulées. L’angoisse gagne les propriétaires de journaux.

La publicité menacée de sortie de route La diminution de la publicité traditionnelle à la télévision, la radio mais également sur Internet affecte les acteurs de la pub mais aussi les médias. Chronique. C’est en souvenir des lacets enchaînés à un train d’enfer sur les routes des Alpes, lors de la course Liège-Rome-Liège de 1954, que Jean ­Rédélé a baptisé son entreprise Alpine, en 1955. L’engouement est au rendez-vous pour cette renaissance, qui s’est pourtant passée de toute publicité traditionnelle. Depuis quelques mois, le phénomène se constate dans les résultats et les commentaires des acteurs du métier, comme Publicis ou WPP. De nouveaux...

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