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Le chevalier Tristan

Le chevalier Tristan
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Les armes du chevaliers Au Moyen Âge, le chevalier était un homme d’armes combattant à cheval, le plus souvent au service d’un roi ou d’un grand seigneur féodal. Le terme de chevalerie évoque à nos esprits tout un univers onirique et fantastique qui nous parle de dépassement de soi, d'honneur, de fidélité, de gratuité et de courtoisie dont la littérature, puis le cinéma se sont largement fait l'écho. Monté sur un puissant destrier, coiffé du heaume et caparaçonné d'acier, le chevalier, maniant l'épée « d'estoc et de taille » arbore fièrement ses couleurs. La chevalerie, une origine germanique Le culte des armes s'affirme au sein des sociétés germaniques qui fournirent nombre de recrues à l'Empire romain finissant. Marc Bloch identifie les racines de la chevalerie médiévale (fraternité guerrière initiatique) dans les pratiques des sociétés germaniques du haut Moyen-Âge. Les donjons et la révolution castrale Les chevaliers, une aristocratie guerrière Les armes des chevaliers Apparition des guerriers en armure

Tournois, joutes et jeux d'armes au Moyen Âge Offre spéciale de notre partenaire Progressivement organisée en tournois, la joute était un combat médiéval d'hommes à cheval qui luttaient au moyen d'une lance. Occupation préférée des nobles au Moyen Âge, les tournois connaissent dès le XIIe siècle une vogue extraordinaire en France avant de se propager en Allemagne et en Angleterre. Joutes et jeux d'armes des chevaliers Les nobles aiment à se distinguer les armes à la main, affrontements pour lesquels ils s'entraînent quotidiennement dès leur plus jeune âge. Apprendre la guerre en s'amusant, c'est ce que font les jeunes garçons de l'aristocratie qui pratiquent le Behourd (escrime à cheval), et le maniement des épées en bois. La Quintaine, épreuve difficile, est un mannequin de bois articulé disposé en haut d'un poteau appelé ''estache''. Tandis que les nobles manient l'épée, la lance et la masse d'arme, bourgeois et paysans s'exercent au bâton ou aux poings, tirent à l'arc ou à l'arbalète. Les tournois, batailles simulées Bibliographie

Comment devient-on chevalier ? | Nota Bene Moi quand j’étais petit, j’ai toujours rêvé d’être un chevalier et de secourir des demoiselles en détresse mais ce que je ne savais pas, c’est à quel point il aurait pu être difficile pour moi de l’être… Les origines de la chevalerie Chevalier veut dire “celui qui va à cheval” ou “celui qui chevauche”, se sont donc tout d’abord des hommes qui possèdent un cheval. Au XIe siècle donc pas de problème si tu possède déjà beaucoup de terres mais par la suite la chevalerie évolue et au XIIe siècle on commence à structurer un peu plus leur comportement. Devenir chevalier Et au même titre qu’aujourd’hui un écolier passe par l’école primaire, le collège et le lycée et bien à l’époque il y a tout un parcours qui permet à un jeune homme de devenir chevalier en trois étapes. A 7 ans, il est envoyé chez un seigneur pour se former il devient ce que l’on appelle un Galopin et doit nettoyer les écuries des chevaux. Pour aller plus loin :

La vie des seigneurs On ne peut porter un regard unique sur mille ans de vie quotidienne médiévale. La division de la société en « trois ordres » — les Bellatores (ceux qui combattent), les Oratores (ceux qui prient), les Laboratores (ceux qui travaillent) — prévaut jusqu'à la fin du XIIIe siècle. L’émergence des villes, de la bourgeoisie et des marchands, amène à la création d’un tissu social urbain complexe. Les paysans continuent à représenter la majorité de la population et sont la base matérielle et le fondement de l'activité économique. Les Bellatores : ceux qui font la guerre Dans les trois ordres de la société médiévale, les nobles sont qualifiés du latin de Bellatores : ceux qui font la guerre. Mariage d'intérêts entre les hommes et les femmes Le mode de vie assez séparé au plan des sexes est lié à un mariage qui répond peu à une inclination réciproque mais est le moyen de renforcer une lignée, d'associer des territoires, de mettre fin à une guerre.

Les grands banquets médiévaux Préparer une salle Les grandes dates du calendrier chrétien (Noël, Pâques, la Pentecôte...) ou les événements familiaux (mariage, baptême...) fournissent de nombreuses occasions d’organiser un banquet. Le roi et les princes en profitent pour impressionner leurs invités par un étalage de luxe. Les murs de la salle choisie pour la réception sont parés des plus belles tapisseries. Dans un coin, un dressoir accueille les plus somptueuses pièces d’orfèvrerie du service de la boisson : gourdes, aiguières et bassins. À table ! On dresse la table devant la cheminée, en posant une planche sur des tréteaux, le tout recouvert d’une nappe blanche. S’il est roi ou prince, une nef de table sera posée devant lui. Un spectacle permanent Les maîtres queux (les chefs cuisiniers) ont préparé des plats extraordinaires présentés avec art pour éblouir les convives. L’écuyer tranchant, muni de son bâton, ordonne aux pages d’apporter les plats qui seront tous disposés sur la table.

La légende du roi Arthur - Expo BNF Pour ses nobles seigneurs dont chacun s'estimait le meilleur et dont nul ne savait qui était le moins bon, Arthur fit faire la Table ronde sur laquelle les Bretons racontent bien des récits. Les seigneurs y prenaient place, tous chevaliers, tous égaux. Wace, Le Roman de Brut, ca. 1155 La légende du roi Arthur et de ses chevaliers s'est constituée et développée durant des siècles. L'aventure est l'élément essentiel de ce grand mythe qui traverse le Moyen Âge : les chevaliers partent prouver leur courage, et surtout, avec la Quête du Graal, éprouvent leur foi et leur vertu… Les exploits du roi Arthur, de Merlin, de Lancelot ou de Perceval continuent, par-delà les siècles, à fasciner notre imaginaire, et les chevaliers de la Table ronde nous apparaissent aujourd'hui comme des chercheurs de Connaissance, lancés dans une quête initiatique. Mais d'où viennent ces chevaliers mythiques ? Le symbole de l’idéal chevaleresque La Quête du Saint-Graal, vers 1220-1230

Liste des Chevaliers de la Table ronde Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette liste recense des chevaliers étant cités comme siégeant à la Table ronde dans les récits appartenant au cycle arthurien. Chrétien de Troyes en nomme un grand nombre dans son roman Érec et Énide, sans qu'ils jouent forcément un rôle particulier. Le nombre (toujours symbolique) et les noms varient selon les textes. Les premières sources en recensent 24, 36 ou 72. Principaux chevaliers de la Table ronde[modifier | modifier le code] Ce sont les chevaliers qui apparaissent le plus souvent dans les œuvres du cycle arthurien, ceux qui accomplissent les plus grands exploits, et ceux à qui il est parfois consacré un ouvrage entier. Chevaliers secondaires[modifier | modifier le code] Ce sont des chevaliers dont on connait peu de choses. Chevaliers peu connus[modifier | modifier le code] Un certain nombre de chevaliers sont juste cités, sans que leur histoire ou leur généalogie ne soit développée. Notes et références[modifier | modifier le code]

Armement médiéval La bataille d'Azincourt (1415) entre les Anglais et les Français pendant la guerre de Cent Ans. Miniature du XVe siècle. Armement mérovingien[modifier | modifier le code] L'armement franc a longtemps été vu comme l'une des principales causes des succès militaires de ce peuple au haut Moyen Âge. Parallèlement, l'historiographie moderne a prêté de grandes qualités militaires à Clovis et à certains de ses successeurs qui surent plus particulièrement agrandir le royaume au détriment de leurs voisins. En réalité, Grégoire de Tours n'a que cette phrase pour qualifier les premiers succès francs dus à ce roi : « Il fit beaucoup de guerres et remporta certaines victoires », ce qui tendrait à montrer que Clovis ne fut ni plus doué, ni plus chanceux que ses prédécesseurs moins connus. Aujourd'hui, l'hypothèse qui tend à triompher explique plus leurs succès retentissants par l'influence romaine qu'ils subirent précocement, que par une quelconque supériorité technique. Schéma descriptif d'une catapulte.

22 châteaux forts célèbres en France Vue imprenable depuis le château du Haut-Kœnigsbourg en Alsace. Le château de Vincennes (Paris) Ce n’était à l’origine qu’un simple pavillon édifié par Louis VII au milieu de la forêt. Charles V en fera au XIVe siècle cette incroyable résidence royale où se conjuguent art militaire et raffinement. Unique témoin de ce qu’était une résidence royale au Moyen Âge conservée en France, à mi-chemin entre le château fort et le palais, la forteresse de Vincennes est un lieu époustouflant à découvrir, à quelques stations de métro seulement du cœur de la capitale. Le château du Haut-Kœnigsbourg (Bas-Rhin) Emergeant de la forêt des Vosges, la silhouette romantique de grès rose du Haut-Kœnigsbourg est perchée à 757 mètres sur un promontoire rocheux qui domine la plaine d’Alsace. Le château de Pierrefonds (Oise) Ses hautes tours surgissent comme dans un conte de fées aux confins de la forêt de Compiègne ! Le château d'If : une légende marseillaise (Bouches-du-Rhône) Les citadelles de l'oubli Les riveraines

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