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Le co-enseignement et si vous vous laissiez tenter?

Le co-enseignement et si vous vous laissiez tenter?
Bonjour à tous, Aujourd »hui nous allons parler de co-enseignement. La pratique se développe certes,mais reste sporadique dans bien des académies. Pourtant ses bénéfices pour les élèves comme pour les enseignants sont multiples. Or le plus souvent on n »ose pas ou peu, on se freine par les contraintes qu »une telle pratique impose. 1. Il s »agit d »intervenir au sein d »une même classe à deux enseignants. Il s »agit en effet de tout mutualiser qu »il s »agisse des élèves, des moyens, des locaux, du matériel. Co-enseigner signifie que deux adultes ayant une mission d »enseignement interviennent dans un même espace, un même temps, en direction des mêmes élèves. 2. Ils sont multiples. Tout d »abord le co-enseignement permet d »individualiser et différencier les apprentissages beaucoup plus efficacement. Deuxième avantage certain: l »implication des élèves.Chacun trouve dans cette pratique une reconnaissance de sa personne, de son niveau d »apprentissage, se sent valoriser et aider. 3. Related:  Coenseignement / co-intervention

Ifé-Les postures élèves Chez les élèves, cinq postures traduisant l’engagement des élèves dans les tâches ont été identifiées. Les élèves les plus en réussite disposent d’une gamme plus variés de postures et savent en changer devant la difficulté : Bucheton, D., Soulé, Y. (2009). Les gestes professionnels et le jeu des postures de l’enseignant dans la classe : un multi-agenda de préoccupations enchâssées. Ifé-Les postures enseignantes Une posture est une structure pré-construite (schème) du « penser-dire-faire », qu’un sujet convoque en réponse à une situation ou à une tâche scolaire donnée. Les sujets peuvent changer de posture au cours de la tâche selon le sens nouveau qu’ils lui attribuent. La posture est donc à la fois du côté du sujet dans un contexte donné, mais aussi de l’objet et de la situation, ce qui rend la saisie difficile et interdit tout étiquetage des sujets. Les « postures d’étayage » permettent de rendre compte de la diversité des conduites de l’activité des élèves par les maîtres pendant la classe : Une posture de contrôle : elle vise à mettre en place un certain cadrage de la situation : par un pilotage serré de l’avancée des tâches, l’enseignant cherche à faire avancer tout le groupe en synchronie.

Ifé - Le multi-agenda Info Le multi-agenda est un outil pour appréhender le travail enseignant dans sa complexité. Une modélisation plus fine des gestes d'étayage, au cœur du métier d'enseignant est développée à travers les postures enseignantes et les postures d'élèves. L’activité de l’enseignant consiste à mettre en travail un ensemble complexe de préoccupations. Un premier niveau de ces macro-catégories ou macro préoccupations a un caractère très générique. Outre la préoccupation centrale dans la leçon spécifique d’enseigner un contenu spécifique, nous en avons identifié dans les séances étudiées quatre autres : L’imbrication de ces préoccupations communes est constante.

Cahiers pédagogiques 2013 : Plus de maîtres que de classes Lors des Journées de l’innovation les 27 et 28 mars 2013, ont eu lieu conférences, tables rondes et ateliers autour des principaux axes de changements de la refondation de l’école : maternelle, "plus de maitres que de classes", numérique, décrochage, etc. Le déploiement de l’opération "Plus de maitres que de classes" dans le premier degré a donné l’occasion aux Cahiers pédagogiques pendant les semaines à venir d’interroger les futurs participants à la table ronde. Une manière de préparer dès maintenant la mise en place du dispositif, pour qu’il permette un meilleur apprentissage de tous les élèves. Aujourd’hui, les vidéos lors de la manifestation. Vous les aviez découverts dans cet article. Vous allez pouvoir les retrouver en interviews et dans la table ronde, précédés de Bruno Suchaut, professeur en sciences de l’éducation, Université de Bourgogne, IREDU, et Pascal Bressoux, directeur de laboratoire des sciences. créer des relations de confiance dans les échanges ; 1. 2. 3.

co-intervention-formation de formateurs EP- Deuxième journée de formation des formateurs académiques ce vendredi 14 octobre 2016 au collège Arc de Meyran à Aix-en-Provence. Animé par deux chercheurs en science de l’éducation, Patrick Picard de l’Institut Français de l’Education (IFé) à Lyon et Christine Félix d’Aix-Marseille Université (AMU), ce temps de réflexion était destiné aux formateurs de l’académie. La phrase d’accroche de la journée donnait le ton sur les échanges qui allaient suivre : « Si l’enfer c’est les autres, intervenir à deux, … C’est quoi ? ». Le but en effet était bien de donner quelques clés aux formateurs pour accompagner au mieux les équipes sur le terrain, sur ces questions prégnantes de la co intervention. La matinée commençait par quelques rappels, notamment sur les temps de conception d’une formation. Prévoir (clarifier la demande > commande, moyens, négociable et non-négociable > et surtout la question : c’est quoi le problème ?) Cela passe par un projet défini à la base.

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