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Tony Porter: A call to men

Tony Porter: A call to men

Nous n’avons plus les moyens du patriarcat et de sa violence Ce matin, je vais parler de l’importance d’une analyse féministe de la violence, je vais parler du pourquoi de la violence anti-femmes et des systèmes qui la maintiennent, en font la promotion et la justifient. Je vais surtout parler des hommes et de la masculinité. Cela peut ou non vous apparaître comme une surprise. Mais si trouver des solutions est notre objectif final, il est important pour nous d’identifier les problèmes. La plupart d’entre nous sommes familières avec l’idée que la violence masculine contre les femmes est un phénomène sexué, et cette définition elle-même figure, bien sûr, dans la consultation que vous menez actuellement. Patriarcat et neuro-sexisme L’analyse féministe nous dit que la violence masculine contre les femmes n’est pas naturelle, biologique ou inévitable. Ce genre de recours à la biologie a toujours été populaire, et l’est toujours. La masculinité Des écrivains comme R.W. La violence masculine contre les femmes Traduction : Martin Dufresne et Michèle Briand

Association Of Alberta Sexual Assault Services According to 2003 data from the Canadian Centre for Justice Statistics, a significant number of Canadian sexual assault survivors (as reported to 154 police agencies) are male: Gay or disabled men can become targets for sexual assault. Research into the sexual assault of adult men is limited. However, one American study (Isley & Gehrenbeck-Shim, 1997) makes these observations: Like women, male child abuse survivors pay a heavy price. Men commit most sexual assaults against other men. Berrill, K.T. (1990). Canadian Centre for Justice Statistics. (2003). Holmes, W. and Slap, G. (1998). Isley P. and Gehrenbeck-Shim, D. (1997). McClennen, J., Summers, A. and Vaughan, C. (2002). Sobsey, D. (1994).

Welsh Women’s Aid Conference speech 10/12/12 | finnmackay Welsh Women’s Aid conference 10/12/12. Cardiff City Hall Making The Connections This morning I’m going to talk about the importance of a feminist analysis of violence, I’m going to talk about why violence against women happens and the systems which maintain, promote and excuse it. I’m mainly going to talk about men and masculinity. That may or may not come as a surprise. Most of us here are familiar with the idea that male violence against women is a gendered phenomenon; and this very definition features of course in your current Consultation. A feminist analysis tells us that male violence against women is not natural, biological or inevitable. Turning to biology like this has always been popular, and still is. Feminism of course has a different message, a challenging message: the promise that the way things are is not the way they have to be, the invitation to change, to become the human beings we can be, rather than the tired and limiting stereotypes of men and women. Like this:

L'enjeu social de l’inceste : perpétuer la domination masculine Anthropologue et chargée de recherche au CNRS, Dorothée Dussy travaille actuellement sur la dimension empirique de l’inceste. Voici une page qui décrit ce travail: Dorothée Dussy - Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (IRIS) Extrait de la page: « Dorothée Dussy travaille actuellement sur la dimension empirique de l’inceste à partir d’enquêtes menées en France et au Québec. Dans la perspective où elle l’aborde, l'inceste n'est pas une catégorie symbolique à étudier à partir des règles qui l’interdisent. Suite à ses recherches, Dorothée Dussy a publié en mars 2013 un ouvrage: Le berceau des dominations Extrait de la présentation du tome 1 « Anthropologie de l’inceste, livre 1 » : « Dorothée Dussy se penche sur les mécanismes complexes par lesquels l’inceste, en théorie interdit et condamné, est couramment pratiqué dans l’intimité des foyers français. Marie-Victoire Louis Beaucoup déclarent ouvertement, comme Allen Edwardes et R.E.L. Andrea Dworkin

Les violences faites aux femmes. L’arme du Patriarcat Les violences faites aux femmes ne relèvent pas de crises individuelles, comme beaucoup aimeraient le croire, mais bien d’un système : le patriarcat. Les violences exercées sur les femmes sont multiformes : il s’agit des actes qui, par la menace, la contrainte ou la force, leur infligent, dans la vie privée ou dans la vie publique, des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques dans le but de les intimider, de les punir, de les atteindre dans leur intégrité physique et mentale. Contrairement au simple conflit, la violence est perpétrée de manière destructrice et univoque, le vainqueur étant toujours le même. Les violences peuvent se dérouler dans l’espace public, au travail, et surtout dans la famille : deux viols sur trois ont lieu dans la famille et un sur deux dans le couple, une femme sur dix est victime chaque année de violences conjugales, une trentaine en sont mortes cet été et c’est la première cause de mortalité chez les femmes de 16 à 44 ans en Europe.

«La stratégie patriarcale permet de nier la violence conjugale» COLLOQUE - Les lois visant à interdire la violence conjugale sont lacunaires: les femmes continuent de subir des agressions masculines. Un symposium national s'est interrogé sur la question. Cristallisées au sein de la sphère familiale, les violences envers les femmes ont la peau dure. Selon vous, le patriarcat forge des stratégies pour contrer les avancées féministes. Patrizia Romito: L'ancienne stratégie patriarcale refuse de percevoir la violence conjugale en tant que telle. Quelle nouvelle stratégie a-t-on inventé? Je citerai la création de toutes pièces du «syndrome d'aliénation parentale». Qui a intérêt à cacher la violence des hommes envers les femmes? Evidemment les agresseurs. Comment l'idée d'une symétrie de la violence conjugale s'est-elle ancrée dans les esprits? La plupart d'entre nous veut croire que le couple et la famille sont des endroits où les gens s'aiment et se soutiennent. Le continuum de la violence est masqué. Le cheminement législatif est important.

La réaction des hommes en colère lorsqu'il est question de violence masculine! | Simon Lapierre Ce texte est cosigné par Isabelle Côté, candidate au doctorat en service social de l'Université de Montréal, et Simon Lapierre, professeur à l'École de service social de l'Université d'Ottawa. Il y a un peu plus d'une semaine, nous avons publié un billet dans lequel nous dénoncions un certain discours qui met l'accent sur la détresse des hommes lors de situations d'homicides conjugaux, occultant ainsi le problème de la violence masculine (voir le billet intitulé Invoquer la détresse des hommes pour éviter de parler de la violence masculine, publié le 7 février 2014). Dans ce texte, nous avons souligné l'importance de ne pas confondre la détresse et la violence dans les situations où des hommes tuent leur conjointe, ce qui est particulièrement susceptible de se produire dans un contexte de séparation. Ce sont notamment les événements survenus récemment en Beauce et dans Lotbinière, ainsi que la couverture médiatique de ces événements, qui ont provoqué cette réflexion. Loading Slideshow 1.

Why Does He Do That?: Inside the Minds of Angry and Controlling Men (9780425191651): Lundy Bancroft

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