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Jeux de rôle en ligne, une addiction à risque

Jeux de rôle en ligne, une addiction à risque
20 septembre 2011 Face à l’augmentation de l’offre des jeux en ligne, jeux vidéo ou jeux d’argent, les phénomènes d’addiction suscitent des inquiétudes. Le jeu problématique voire pathologique a même été intégré au plan de prise en charge et de prévention des addictions du ministère de la santé (2007-2011). Repérer les situations à risque Le jeu mondialement connu World of Warcraft réunit à lui seul 11, 5 millions de joueurs dans son monde virtuel. Pour cela, les chercheurs ont recruté 448 adultes volontaires sur des sites communautaires de jeux et les ont soumis à un questionnaire. Des conséquences nombreuses et une qualité de vie altérée Les résultats montrent que parmi les répondeurs, 27,5 % peuvent être considérés comme dépendants. Ce suivi a surtout permis aux auteurs d’évaluer l’impact de l’addiction sur la vie personnelle et sociale. Bientôt des marqueurs de vulnérabilité ? Source Achab et coll.

Jeux de rôle en ligne, une addiction à risque Drogues, circuit de la récompense et dopamine LucasSalomon Professeur SVT Malgré leur diversité, les drogues partagent toutes une caractéristique commune : elles jouent sur le circuit de la récompense et stimulent la libération de dopamine. Les vertus récompensantes des drogues ont été établies dès la fin des années 1960 en démontrant que les animaux s’administraient eux-mêmes du produit si on leur en donnait la possibilité. Ces expériences d’auto-administration, permettant d’observer la motivation de l’animal pour la drogue, reproduisent en fait les expériences d’Olds et Milner (voir page précédente) en reliant une action de l’animal à l’injection d’une dose de drogue. Cet effet récompensant sur le cerveau, que les drogues partagent artificiellement avec de nombreuses expériences comme un bon repas, une relation sexuelle, un film de qualité, etc., laissait penser que les drogues agissaient sur l’organisme en modifiant de quelque manière que ce soit le fonctionnement normal du circuit de la récompense. Cliquez pour agrandir l'image

Pourquoi jouons-nous aux jeux de rôle ? | Tous à poils - Le blog qui sent le fauve... Parce que c’est amusant. Pour justifier n’importe quel loisir, je crois que cette phrase devrait suffire. Mais passé la satisfaction immédiate, après le moment convivial entre amis, on peut se poser la question de façon plus approfondie, ou plutôt l’envisager sous un autre angle. Celui de l’attraction, peut-être : pourquoi suis-je attiré par les jeux de rôle ? Si l’on va plus loin, on peut même parler de besoin : pourquoi est-ce que j’éprouve le besoin de jouer aux jeux de rôle ? Avant de poursuivre, j’aimerais insister sur la différence entre besoin et addiction. Il peut être dangereux de pratiquer le jeu de rôle, tout comme il peut être dangereux de pratiquer n’importe quel loisir à l’excès. En bref : le jeu de rôle, avant de se focaliser sur la table où il se déroule, se nourrit d’observations effectuées dans d’autres domaines. Et c’est précisément ce qui est intéressant. En cela, chaque partie de jeu de rôle procède à la fois de l’exercice littéraire et de la note de synthèse.

La cyberdépendance est-elle devenue une maladie? Lundi, 25 Août 2014 13:01 FORUM Illustration : Benoit Gougeon La technologie a créé une nouvelle source de dépendance. Les accros d'Internet sont vissés à leur siège, parfois jusqu'à 20 heures par jour, et perdent presque tout contact avec la réalité. «La dépendance à Internet est virtuelle, mais le problème, lui, est réel. Qui sont-ils? Selon les experts, il existerait quatre champs liés à la dépendance au Web, soit les jeux vidéo d'action et d'aventure, les jeux de hasard et d'argent, la pornographie et les relations virtuelles. Mme Nadeau admet que la passion des jeunes pour les jeux en ligne peut devenir obsessive, pathologique dans certains cas, mais elle croit que le problème est nettement exagéré. Dominique Nancy

Addiction au numérique : peut-on vivre déconnecté ? Il est parfois difficile de se détacher de la spirale infernale du numérique. En 2014, 28 millions de Français possédaient un smartphone et neuf millions avaient une tablette tactile. De plus, les réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter comptaient jusqu'à 32 millions d'inscrits. L'addiction au numérique frappe alors de nombreuses personnes. Le documentaire Digital Detox s'est inspiré de cette dépendance. Michel Lejoyeux, un professeur de psychiatrie et d'addictologie à l'université Paris 7, estime que le problème n'est pas de savoir s'il est possible de vivre déconnecté ou non. On peut avoir une relation complètement passionnelle et exagérée vis-à-vis du téléphone. Quant à l'écrivain Thierry Crouzet, il considère que la dépendance à Internet peut causer un trouble physique tel que des crises d'angoisse ou encore un trouble social. Lire la suite

Et si on parlait de jeu de rôle? J’ai envie d’organiser une conférence sur le jeu de rôle pour la prochaine convention Orcidée. Voilà, c’est dit. Et écrit, aussi. J’avoue: c’est mon côté mégalomane qui s’exprime ici. Ça, plus le fait que je suis jaloux comme un pou de Thomas B. qui a eu l’idée avant moi, et pour du GN en plus! Le fait est que je m’intéresse de plus en plus à ce que j’ai tendance à appeler, avec d’autres, la « jeuderôlogie », c’est-à-dire l’étude du jeu de rôle en tant que média à part. En fait, je ne sais trop pourquoi, mais j’ai toujours été fasciné par les conventions de jeu « à l’américaine » et leurs conférences d’auteurs, les panels de présentation et autres débats. Toujours est-il que j’ai commencé à jeter quelques notes sur le genre de choses dont on pourrait discuter. Il faudra également approcher les orgas d’Orcidée, mais le vrai défi, c’est de trouver les sujets et un format qui intéressent le chaland et, surtout, des personnes prêtes à en débattre. Et si on parlait de jeu de rôle?

La cyberdépendance est-elle devenue une maladie? 10 difficultés fréquentes qui empêchent les enfants d'apprendre et de réfléchir Guy Sonnois est spécialisé dans l’accompagnement d’adolescents en difficulté et est l’auteur du livre Accompagner le travail des adolescents : avec la pédagogie des gestes mentaux. Dans cet ouvrage, il récapitule les difficultés les plus fréquentes rencontrées par les enfants et adolescents lors de leurs études. Avoir connaissance de ces difficultés permet d’identifier le ou les freins que rencontrent certains enfants et de se doter d’outils adaptés pour y remédier (parents et enseignants). 1.L’élève n’a aucun projet relativement à son apprentissage. Une aide utile peut être de travailler avec l’élève pour faire le point sur les raisons du non sens donné aux études. Guy Sonnois écrit que retrouver une meilleure compréhension des enjeux de la scolarité peut être un moyen pour ces élèves de se remotiver pour elle. Quelques pistes pour y parvenir : 2.L’élève n’évoque pas. 4.L’élève a un projet de compréhension incomplet. 6.L’élève ne réfléchit pas. Articles similaires

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