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MOOC : à la quête de ressources éducatives libres

MOOC : à la quête de ressources éducatives libres
Pour faire un bon MOOC, il faut des ressources pédagogiques de bonne qualité. Et pourquoi réinventer perpétuellement la roue et s’épuiser à créer des ressources quand Internet regorge de pépites qui ne demandent qu’à être utilisées. Pour illustrer ce propos, je reviens sur la question de ces fameux MOOC de langues qui m’obsèdent. Vu que je ne dispose que de très peu de moyens, il s’agit de trouver des ressources que je pourrais utiliser comme base de la formation. Internet regorge de ressources pour apprendre les langues. Les deux grandes familles de licences sont les licences propriétaires et les licences libres. La question du modèle éditorial est fondamentale dès que l’on souhaite évaluée la qualité d’une ressource. Bon, imaginons que l’on trouve des ressources en licence libre. Voilà les quelques questions qu’il faut se poser à mon sens avant de se lancer à la quête de ressources libres. Related:  Lecture

Test de personnalité Le questionnaire de personnalité que nous utilisons dans la formation humaine est celui fourni par l'approche Xtrem7. Ce test de personnalité est le seul à décrire les comportements humains de façon dynamique, plutôt que de les réduire en une visualisation statique, et par essence "définitive". Cette possibilité d'envisager les comportements humains comme multiples, c'est-à-dire avec une capacité d'adaptation aux situations que chacun rencontre et vit de façon différente, nous semble conforme à ce que nous observons dans le fonctionnement des personnes. C'est pourquoi nous utilisons d'emblée ce test de personnalité. Personne ne fonctionne toujours de la même manière : ce test de personnalité le montre. Il éclaire aussi la notion de stress, et devient un outil très clarifiant pour objectiver nos mécanismes de stress. Deuxième point important à nos yeux pour un test de personnalité : l'absence d'interprétation ou de calcul.

MOOC et e-learning, quelles différences ? La semaine passée, une internaute a adressé une question à Thot sur Twitter : "Quelle différence entre MOOCs et e-learning ?" "Difficile de répondre en 140 caractères..." a répondu notre community manager... Voici donc la réponse, un peu plus longue. Au sens strict du terme, le MOOC est une des modalités de l'e-learning. C'est en effet un cours distribué par la voie numérique, que les participants suivant à distance de l'organisme qui le dispense. Mais cette réponse n'épuise pas le sujet. E-learning, e-learning et e-learning Très schématiquement, on range dans la catégorie "e-learning" trois objets / dispositifs distincts : - Le cours en ligne fermé, distribué par un organisme de formation ou un établissement d'enseignement, destiné à un groupe d'apprenants régulièrement inscrits et ayant donc acquitté des droits d'inscription, distribué sur une plateforme (Learning Management System ou LMS), dispensé seul ou dans le cadre d'un parcours de formation, diplômant ou pas. Exemples :

MOOC : de la scénarisation au teaser … La semaine dernière, j’ai présenté brièvement le premier devoir du MOOC « Monter un MOOC de A à Z« . S’adressant aux concepteurs de MOOC, il s’agissait ni plus ni moins de réaliser le document de cadrage de leur projet, afin d’avoir les idées un peu plus claires. J’aimerais maintenant revenir sur les quelques autres activités que je propose dans le cadre de cette formation et qui correspondent à des étapes importantes de la conception d’un MOOC : la scénarisation, le teaser et la page de présentation…. En exclusivité donc, l’énoncé des trois autres activités que nous proposons : « Scénariser un MOOC dans son ensemble, et une activité en particulier, n’est pas une mince affaire. Il faut trouver le juste équilibre entre les objectifs pédagogiques de la formation et les contraintes temporelles et logistiques des participants. Première étape, une brève scénarisation de la formation. Deuxième étape, la scénarisation d’une activité. Quel est l’objectif de l’activité sur le plan pédagogique ?

Monter un MOOC : combien ça coûte ? Avec le buzz qui monte rapidement, enseignants et établissements sont de plus en plus nombreux à vouloir se lancer dans l’aventure des MOOC, et la première question qui vient naturellement à l’esprit est celle du coût. Combien faut-il pour monter un MOOC de bout en bout ? Les chiffres qui circulent sont souvent contradictoires, on entend parfois 400 euros, parfois plus de 100.000 euros. Qui croire ? La question du coût est souvent mal posée, car il n’y a pas de réponse unique. Commençons par revenir sur les principaux lots de travail. Maintenant, il reste à chiffrer un peu tout cela en termes de charge de travail. Pourtant j’avais dit un peu plus tôt qu’on pouvait s’en tirer avec 600 heures de travail. Dans ces deux budgétisations, vous constaterez d’une part que je n’effectue les chiffrages qu’en journées-homme (de sept heures), et d’autre part qu’il doit bien y avoir une quinzaine de postes au total, dont neuf pour l’équipe-projet à elle seule. Scénario 2 : Equipe d’universitaires

Apprendre par soi-même Apprendre serait-il réservé au temps passé dans la classe, ou sur les bancs de l’université ? C’est la première idée qui surgit. En même temps, chacun sait que l’on apprend à tout moment : les bébés n’ont de cesse d’apprendre à marcher, parler… À tous les âges de la vie, chacun cherche à enrichir ses connaissances, ses compétences, sa compréhension du monde et des autres. Les animaux aussi apprennent – éviter un prédateur, débusquer de la nourriture… C’est même à partir de chiens, de rats ou de grands singes qu’ont été élaborées par les psychologues les premières théories de l’apprentissage. D’où nous vient cette immense soif d’apprendre qui semble aujourd’hui plus intense que jamais ? L’éducation non formelle (hors l’école), les apprentissages implicites font l’objet de recherches de plus en plus nombreuses. « Apprendre tout au long de la vie », mot d’ordre lancé par l’Europe à la fin du XXe siècle, se décline aujourd’hui en de multiples programmes.

Ecrire le scénario de votre MOOC Cela fait bien deux semaines que je n’ai pas diffusé de script de vidéo du MOOC MOOC sur le blog. Et je suis pourtant passé au rythme déraisonnable de trois billets hebdomadaires, alors que normalement deux billets est déjà un grand maximum, surtout en été où les lecteurs sont à la plage. Entre les analyses et les bilans du MOOC, les vidéos et autres, il y a une quarantaine d’articles en attente, et il faudrait que j’ai casé tout cela avant le lancement de la deuxième édition, en novembre. Une fois que votre projet de MOOC est bien cadré, que vous avez déterminé la ou les approches pédagogiques que vous voulez suivre, que vous avez identifié votre public cible, que vous avez mis au point votre stratégie sur le long terme, eh bien les choses sérieuses peuvent commencer. Tout d’abord définir des objectifs pédagogiques précis. Il va falloir trouver un compromis entre les objectifs pédagogiques que vous avez en tête, et les contraintes de temps de l’équipe et des participants.

Onboarding : les pratiques des entreprises et les axes d’amélioration Certes, la problématique de l’intégration des collaborateurs dans l’entreprise n’est pas nouvelle. Mais elle prend une dimension différente dans un contexte de quasi plein emploi des cadres, avec en parallèle l’arrivée d’une nouvelle génération soucieuse de contribuer à la performance globale sans attendre. Quelles sont les pratiques des entreprises en matière d’onboarding ? Un processus d’intégration – ou onboarding – dont les fondamentaux sont connus La période durant laquelle un nouveau collaborateur va être intégré au collectif de l’entreprise, de la signature de son contrat de travail jusqu’à la fin de sa période d’essai (a minima), se nomme l’onboarding. L’organisation manifeste ainsi l’attention qu’elle porte à sa nouvelle recrue. Quelles sont les premières étapes d’un processus classique d’intégration pour un cadre, selon l’infographie du Figaro Recruteur ? Un constat à mettre en perspective de l’attention revendiquée par les professionnels RH à l’égard de l’onboarding !

7 supports de cours Internet : Cloud computing, alternative à Google, confidentialité Facebook… (Médiathèque de Roubaix) La médiathèque de Roubaix (pôle multimédia et salle multimédia – espace public numérique du lieu culturel) propose depuis l’automne 2013, outre un programme d’initiation à l’informatique et à l’Internet, des supports de cours thématiques relatifs aux ateliers mis en place au sein de l’espace public numérique. Ces dossiers présentent non seulement des instructions pas à pas pour maîtriser des outils Web, mais également des questions pour réfléchir aux pratiques et des ressources pour approfondir les sujets et se documenter. Notons donc l’existence et la mise à disposition gratuite de ces tutoriels pour les internautes et mobinautes : Je fais mes paiements en ligne (4 pages, en pdf) Sommaire : 10 précautions d’usage ; 10 précautions techniques ; et PayPal dans tout ça ? Je fais mon arbre généalogique (10 pages, en pdf) Héberger ses données dans les nuages (9 pages, en pdf) Sommaire : Le cloud computing : Comment ça fonctionne ? Je recherche et je trouve sur Internet (9 pages, en pdf) Licence :

MOOC : définir son public cible Un des grands classiques quand on se lance dans un projet de MOOC, c’est de ne pas vraiment réfléchir à son public cible, de se dire “le MOOC c’est une vitrine et peu importe qui s’inscrit au fond, l’important c’est de le faire”. C’est une des erreurs les plus répandues dans le numérique éducatif. On pense trop souvent que ce qui a de la valeur, ce sont les ressources. Alors que ce qui a vraiment de la valeur, ce sont les usages. Si vous produisez une ressource de très bonne qualité, mais que personne ne l’utilise, vous avez manqué votre coup. Ce n’est pas parce que l’on transpose en ligne un cours que l’on fait d’habitude devant ses étudiants qu’automatiquement des milliers de personnes vont s’inscrire; même si on le poste sur Coursera. Une des premières choses à faire donc, c’est d’identifier le public que l’on vise, et de chercher à estimer le public que l’on va probablement avoir. Quel est le Public cible ? Rapidement.

Bâtir le plan de formation : les étapes à suivre Premier plan réalisé après la fin de l’obligation fiscale, le plan de formation 2015 va devoir être élaboré de façon sensiblement différente aux années antérieures. Voici les étapes à suivre. 1) Se fonder sur une politique de formation solide Avec l’introduction du CPF (véritable droit opposable) et la fin de l’obligation fiscale, les responsables de formation ne peuvent plus penser de la même façon leur politique de formation. Celle-ci doit s’articuler autour de la pyramide des besoins en formation d’une entreprise. 2) Définir de nouvelles règles budgétaires Au-delà de la répartition de l’enveloppe budgétaire en fonction des différents besoins en formation, il est indispensable de se fixer de nouvelles règles de gestion à la suite des évolutions des versements obligatoires. 3) Revisiter son offre de formation Depuis la loi de 1971, les entreprises ont développé et sophistiqué leurs catalogues de formation. 4) Fixer de nouvelles règles du jeu pour le recueil des besoins

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