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GREA - Groupement Romand d'Etudes des Addictions

GREA - Groupement Romand d'Etudes des Addictions
De quoi parle-t-on ? L'essor des mondes numériques modifie notre comportement. Nous leur consacrons plus de temps et sommes quasi en permanence face à un écran, connectés à internet : smartphone, tablette, ordinateur, console, tv, etc. La multiplication des écrans génère potentiellement des risques d’usage excessif. Le terme de cyberaddiction est sujet à controverse. Ce que l’on sait Les cas d’usage excessif et problématique existent. Pour la Suisse, des études chiffrent à plusieurs dizaines de milliers le nombre d’usagers d’internet qui présentent des signes d’addictions (voir faits et chiffres). Il est toutefois difficile de définir précisément et quantitativement à partir de quand l’usage d’internet et des médias électroniques est problématique. Comment sensibiliser les jeunes ? Dans le domaine des médias électroniques, les jeunes possèdent une expertise. Le projet In medias

Il n’y a pas d’addiction aux objets numeriques. C’est aussi simple que cela. J’ai participé à l’émission Le téléphone sonne : “Smartphones et réseaux sociaux: les nouvelles addictions” et j’ai été assez surpris de constater qu’il y avait encore un discours culpabilisant et pathologisant sur les objets numériques. J’ai pu entendre du docteur Willam Olivenstein Lowenstein que l’effet de ces objets était comme la cocaïne. Que les mondes numériques étaient des mondes de la stimulation perpétuelle et de la vitesse. Que 5% des jeunes joueurs de jeux vidéo développaient une addiction. Si j’étais américain, je dirais que c’est de la “bullshit psychiatry”. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. La première clinique pour “dépendance aux jeux video” a été ouverte en Hollande en 2006 par le Smith and Jones Centre, un centre de traitement pour les toxicomanes. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques, c’est aussi simple que cela. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques, c’est aussi simple que cela.

La Cyberdépendance: Cas de l’addiction au réseau social Facebook Résumé La démocratisation de l’internet et la forte pénétration des réseaux sociaux dans la vie de tous les jours des internautes a montré un comportement d’addiction au réseau social Facebook. Malgré l’importance de ce phénomène, très peu de recherches en marketing se sont intéressées à son étude. La présente recherche a pour objectif de mesurer l’addiction des internautes aux réseaux sociaux et d’en déterminer les antécédents. La revue de la littérature relative à l’internet a mis en relief que l’estime de soi et la personnalité sont des antécédents psychologiques de l’addiction. Keywords Cyberdépendance; Internet; Addiction; Facebook 1. La naissance du réseau social Facebook a marqué l’univers du Net en offrant un nouveau concept qui ne cesse de se propager dans le monde en général et par voie de conséquence en Tunisie. 2. L’internet est devenu le canal essentiel de communication personnelle, académique, et de recherche. 2.1. 2.1.1.

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d'entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux (notamment en ligne) sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. Une enquête sur les loisirs devant écran (Internet, jeux vidéo et télévision) a été menée auprès de 444 élèves de 3e scolarisés dans l'ensemble des collèges publics et privés d'une grande ville du Nord de la France53(*). En bref, s'il existe bien une cyberaddiction, plus puissante que la dépendance à la télévision, qui commence à prendre des proportions inquiétantes, la solution est connue : il s'agit du contrôle des parents, qui disposent des moyens pour couper la connexion ou pour maîtriser les horaires de navigation. Selon M. * 52 « There is three kinds of death in this world.

L'enfant et les écrans, l'avis | Rapports, ouvrages, avis et recommandations de l'Académie | Assurer un rôle d'expertise et de conseil Publié dans Rapports, ouvrages, avis et recommandations de l'Académie Avis de l'Académie des sciences - Éditions Le Pommier - Janvier 2013 - 17,00 € La question de l’impact des écrans sur notre cerveau est au cœur des préoccupations. Lire le texte intégral en version non imprimable Commander le rapport Cet avis s'accompagne d'un module pédagogique destiné aux enseignants de l'école primaire, "Les écrans, le cerveau… et l'enfant", ouvrage réalisé par la fondation La main à la pâte et publié chez le même éditeur. En savoir plus

Accro au jeu vidéo ? Le jeu vidéo est aujourd’hui un loisir qui concerne toutes les tranches de la population. Une enquête montre que 53 % des Français1 jouent régulièrement et 68 % occasionnellement. Qui joue le plus ? A quel type de jeu ? Qui joue ? Les derniers chiffres1 (octobre 2017) montrent que les plus gros joueurs se situent dans les tranches d’âge : 10-14 (95 %), 15-18 (92 %) et 19-24 (91 %). A quel type de jeu jouent les joueurs ? Dans le classement 2017 des 10 premiers jeux vendus en France toutes plateformes confondues1, on trouve : Les jeux de rôle en ligne massivement multi-joueurs (Massively multiplayer online role-playing game- MMORPG) dont « World of Warcraft » (WOW) et les arènes de bataille en ligne multijoueur (Multiplayer online battle arena-MOBA) dont « League of legends » (LOL) sont des jeux présentant potentiellement un caractère addictif. Puis-je être « addict » au jeu vidéo ? Les facteurs de risques d’une addiction au jeu vidéo Les caractéristiques de l’addiction au jeu vidéo

Serge Tisseron Posté par Serge TISSERON le 5 août 2015. Comme chaque année à la période des vacances, des stages coûteux sont organisés pour ceux qui souhaitent rompre avec leurs excès numériques. Ils ont lieu dans des endroits merveilleux où chacun peut trouver un coach attentionné soucieux de son bien-être. Les clients se sentent à tout moment entourés, choyés, compris… de telle façon qu’il ne leur viendrait pas à l’idée d’aller compter leurs Like ou leurs Lol sur les réseaux sociaux même s’ils en avaient la possibilité ! Ces séjours sont en général plutôt réussis du point de vue de leur capacité de faire renouer les personnes qui y participent avec elles-mêmes. Des règles de vie familiale et collective Conseil n°1 Prendre le repas du soir en famille sans télévision ni téléphone mobile… ni journal. Conseil n°2 Débrancher le Wifi la nuit. Conseil n°3 Dresser le soir la table du petit déjeuner et exiger de chacun qu’il y dépose son téléphone mobile au moment où il va se coucher.

Section 1 : Notes NetPublic - Accompagner l'accès de tous à l'Internet Section 2 : Notes Note sur les sources formelles Note sur les sources informelles Note sur les flux RSS Addictions Dossier réalisé en collaboration avec Bertrand Nalpas, Directeur de recherche à l’Inserm et chargé de mission Addiction – Décembre 2014 Les addictions les plus répandues concernent le tabac (nicotine) et l’alcool. Viennent ensuite le cannabis et, loin derrière, les opiacés (héroïne, morphine), la cocaïne, les amphétamines et dérivés de synthèse. Il existe également des addictions liées à des activités (et non à des substances), comme les jeux d’argent, les jeux vidéo, le sexe ou encore les achats compulsifs. Des substances plus ou moins addictives souvent testées à l’adolescence Des dépendances peuvent survenir à tout moment de l’existence, mais la période de 15 à 25 ans est la plus propice à leur émergence. Certaines substances semblent avoir un pouvoir addictif supérieur à d’autres compte tenu de la proportion de personnes dépendantes parmi leurs consommateurs. Part des usagers développant une dépendance à la substance qu'ils consomment. Un diagnostic très normé Des conséquences délétères

« L’essor des mondes numériques modifie nos comportements. » Cette association pose la problématique de l’ère numérique qui modifie les comportements des humains. Cette « cyberaddiction » peut être néfaste en cas de repli sur soi même. Elle peut au contraire être un moyen d’ouverture et de communication (bien que virtuelle) vers le monde extérieur. by martinez_groupe1_psy Mar 6

Bonjour,
Le GREA est le principal réseau des professionnels de l’addiction en Suisse romande. Il offre une vision de l’hyperconnectivité (usage excessif des médias électroniques) en Suisse, mais pas seulement. Il promeut également l’innovation et les bonnes pratiques, dispense des formations et prend position sur les sujets d’actualité et de société en lien avec toutes les addictions.
Cordialement,
A Garcia by garcia_groupe4_psy Mar 16

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