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Espace Pluriel Jeunes

Espace Pluriel Jeunes
La cyberdépendance ou cyberaddiction est un fait ! Même si elle est souvent diabolisée, de nombreuses personnes sont touchés de bien des façons. C'est pourquoi nous nous sommes engagés le plus tôt possible dans la prévention contre ce nouveau phénomène. Nous mettons à la disponibilité de tous un dépliant et plusieurs affiches de prévention sur la cyberaddiction. Vous pouvez imprimer ces supports papiers et même les modifier selon vos besoins (il faut cependant que le sujet reste celui d'origine). Les affiches Vous êtes libres de les imprimer, de les diffuser et même de les modifier tant que le sujet reste la cyberdépendance. Affiches haute définition format pdf Le dépliant Voici un dépliant réalisé par la classe de 2nde Métiers Electrotechnique du lycée Latécoère d'Istres et l'Espace Pluriel Jeunes. Ce dépliant / flyer a été créé pour faire face au manque de documents papiers traitant de la cyberdépendance. Vous pouvez librement imprimer et utiliser ce dépliant. PDF à imprimer bonne qualité

Dépendance à Internet: peut-on vraiment se désintoxiquer de la Toile? ADDICTION - L'information a fait le tour du web car, forcément, c'est le premier concerné. Aux États-Unis: un hôpital privé propose une cure de désintoxication pour accros à Internet. Durée: 10 jours, dont 72 heures de sevrage total, période pendant laquelle le patient sera privé d'accès à Internet, mais aussi de tablette et de smartphone, bref, de tout vecteur d'Internet. Suivent ensuite des séances de thérapie, séminaires et autres traitements. Lire aussi:» 75% des adolescents dorment avec leur téléphone portable allumé » Ce qu'il arrive quand on se déconnecte vraiment » Êtes-vous accro au boulot ? Une addiction comme les autres Excessive, l'idée d'une cure de désintox? Certains pays qui dénombrent un grand nombre d'individus dépendants ont décidé de prendre le problème à bras-le-corps. Au Massachussets Institute of Technology (MIT), deux étudiants ont même mis au point un système délivrant des chocs électriques à ceux qui passeraient trop de temps sur Facebook. Trop court Se faire aider

Nouvelles consultations de Marmottan : apports théoriques, expériences cliniques Fidèle à son étiquette de centre « expérimental » en toxicomanie, le Centre Marmottan reste à la pointe des évolutions et phénomènes sociétaux variés qui marquent la population française de ces dernières années. Ainsi, les spécialistes du centre sont parmi les premiers à avoir étudié et à offrir des consultations dans des champs nouveaux en toxicomanie et dans le domaine des addictions : Dans le cadre de ces nouvelles consultations, nous nous sommes efforcés de garder une qualité de soins et une approche pluridisciplinaire et multicausale en évitant rigoureusement le piège de la doxogénèse [2][2] Doxogénèse : création de nouvelles pathologies, sans.... Il est important de noter que notre pratique est basée sur des recherches sur les concepts et entités cliniques, recherches effectuées en lien étroit avec la problématique des addictions et qui ont souvent abouti à des publications diverses – articles ou livres – devenues des références dans le domaine. Espt et addiction

Dans la «clinique» pour cyberdrogués Actu 18.02.2015 06:00 Internet, jeux vidéo en ligne, smartphones: quand est-ce que le divertissement vire à la dépendance? Visite d’un centre de «désintoxication numérique», à Seattle, où l’on tente de soigner la génération des hyperconnectés. Texte Xavier Filliez C’est une petite maison en bois sous une grosse chape de cumulus. Autour, l’immense forêt des environs de Seattle semble l’envelopper pour l’hiver. Ici résident actuellement cinq jeunes adultes traités pour des problèmes d’addiction à l’internet et aux jeux vidéo dans le cadre de reSTART, un programme unique, non hospitalier, de «désintoxication numérique» aux Etats-Unis. Ironie du sort - ou pas - les sièges sociaux de Microsoft et de Nintendo sont à quelques kilomètres. Shlok, originaire de Pune, pas loin de Bombay, arrivé il y a deux semaines, a le blues. Ces trois dernières années, Shlok n’est plus allé à l’école. Il raconte ses crises à répétition, à briser des claviers, lorsque sa connexion le lâchait.

La dépendance au smartphone, un mal croissant chez les jeunes Singapour (AFP) - Etes-vous facilement distrait par votre smartphone? Difficile de vous en séparer? Etes-vous constamment en train de le consulter sans raison particulière? Il y a des risques que vous soyez accro et même que vous ayez besoin de l'aide d'un psychologue. A Singapour, comme dans un nombre grandissant de pays, des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique. Avec la Corée du Sud, la Chine et Taïwan, la cité-Etat est l'un des pays d'Asie les plus concernés par ce phénomène. Singapour et Hong Kong détiennent le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant, selon un rapport publié l'an dernier par le cabinet d'étude Nielsen. 87% des 5,4 millions de Singapouriens sont ainsi munis d'un téléphone multifonctions, contre 65% aux Etats-Unis. L'addiction à l'internet devrait être classée dans les troubles mentaux, estime Adrien Wang, psychiatre au centre médical de Gleneagles.

Etre ou ne pas être : Geek ! Du simple fan de Star Wars, en passant par le joueur en réseau, ou encore par les pirates de l’informatique aussi appelés « hackers », aujourd’hui tout le monde voudrait ou croit être un geek ! Mais qu’est ce qu’un geek ? Y a-t-il une définition claire de celui qui passe du coté obscur de la force ? La « Geek attitude » est-elle devenue une mode ? Manuel pour devenir (ou pas) Geek ! Nerd, Nolife et Geek se promènent sur la toile… On entend toutes sortes d’adjectifs qui fleurissent, parfois même pour s’insulter, et ne sont pas toujours utilisés correctement. Nerd : Contrairement à ce qu’on pense, ce terme n’est pas exclusivement lié à une passion pour l’informatique. Nolife : Ce qui caractérise un Nolife (un «sans vie»), c’est qu’il est obnubilé par le monde virtuel. Geek : C’est un passionné des nouvelles technologies mais pas seulement. La culture Geek En constante évolution, les Geeks ne sont pas toujours d’accord pour ce qui fait ou non partie de cette culture.

Des cures de désintox pour les accros d'Internet En Californie, un camp propose à tous les cyberdépendants des séjours pour revenir aux joies de l'enfance, loin des connexions et des réseaux. New York À chaque addiction son remède. En Californie, un camp de «digital detox» propose aux cyberdépendants de smartphones, tablettes et ordinateurs de retrouver un peu d'«humanité» pendant quatre jours, en se déconnectant. Aucun gadget, ni Internet, donc, mais des activités censées les replonger en enfance. Les adultes sont invités à se livrer, par exemple, à des batailles de polochons, à des concours de rire, ou encore à participer à des ateliers de cuisine pieds nus. «Redevenir humain» Camp Grounded propose déjà des soirées «déconnectées» (sans smartphone) qui font un tabac en Californie. La charte du camp ne fait pas mention de punitions pour ceux qui seraient pris en flagrant délit de tweeter, mais les organisateurs mettent en garde les rabat-joie.

L'angoisse du vide numérique Tablette (numérique) et tabac: même combat! Une étude britannique vient en effet confirmer ce que plusieurs adeptes du tout technologique commencent à soupçonner eux-mêmes: les nouveaux outils de communication seraient en train de créer chez plusieurs humains une dépendance équivalente ou supérieure à celle induite par la cigarette et l'alcool. Rien de moins. C'est Intersperience, une boite brit spécialisée dans la recherche comportementale dans le domaine de la consommation qui vient de faire cette découverte après avoir soumis à la question près de 1000 adeptes des technologies âgés de 18 à 65 ans. D'ailleurs, résume l'entreprise, une journée sans iPad, iPhone, ordinateur portable, Facebook, Twitter et compagnie a été qualifiée «du plus grand cauchemar» par un et comme l'équivalent de «se faire couper les deux mains» par un autre. Le phénomène est contemporain.

FIL SANTE JEUNES Addiction au numérique : peut-on vivre déconnecté ? Il est parfois difficile de se détacher de la spirale infernale du numérique. En 2014, 28 millions de Français possédaient un smartphone et neuf millions avaient une tablette tactile. De plus, les réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter comptaient jusqu'à 32 millions d'inscrits. L'addiction au numérique frappe alors de nombreuses personnes. Celles-ci peuvent consulter leur smartphone 100 fois par jour et se précipiter à la moindre alerte ou notification. Le documentaire Digital Detox s'est inspiré de cette dépendance. Michel Lejoyeux, un professeur de psychiatrie et d'addictologie à l'université Paris 7, estime que le problème n'est pas de savoir s'il est possible de vivre déconnecté ou non. On peut avoir une relation complètement passionnelle et exagérée vis-à-vis du téléphone. Quant à l'écrivain Thierry Crouzet, il considère que la dépendance à Internet peut causer un trouble physique tel que des crises d'angoisse ou encore un trouble social. Lire la suite

Dépendance ? — Enseigner avec le numérique Dépendance aux jeux vidéo : les signes à surveiller « Les nouvelles addictions : tel était le thème de la séance hebdomadaire de l'Académie de médecine qui s'est tenue mardi avec, notamment, la question de l'addiction des jeunes aux jeux vidéo. Or sur ce thème, Marie-France le Heuzey, pédopsychiatre à l'hôpital Robert-Debré à Paris, se veut à la fois vigilante et rassurante. Vigilante, car il existe effectivement des cas de jeunes qui se font happer par le jeu [...]«Il faut bien sûr regarder le nombre d'heures que l'enfant passe à jouer, mais il est difficile de déterminer un seuil exact», poursuit le médecin. Ce sont plutôt les conséquences qu'il faut regarder: «Lorsque l'enfant décroche de la vie familiale ou scolaire, qu'il ne veut plus se lever le matin, qu'il abandonne ses activités sportives… Ce sont autant de signes d'alerte», explique le médecin. » Figaro.fr, 22/01/

VIDEO. «L’addiction au numérique se mesure à la perte de liberté» SANTE A l'occasion de la sortie du MOOC de l'université de Nantes sur l'addiction numérique, Didier Acier, professeur de psychologie clinique fait le point sur ce phénomène... Propos recueillis par Delphine Bancaud Publié le Mis à jour le Un phénomène de société qui est devenu un sujet d’étude. C’est ce lundi que l’université de Nantes lance un Mooc sur l’addiction au numérique. L’occasion pour 20 minutes de faire le point sur ce fléau avec Didier Acier, professeur de psychologie clinique à l’université de Nantes. Qu’entend-on par addiction au numérique? Beaucoup de Français ont un usage excessif des nouvelles technologies et peuvent passer une trentaine d’heures sur les écrans. Quelle est l’ampleur du phénomène en France? Il reste rare, puisqu’il concerne 2% de la population française, mais il risque fort de progresser dans les années à venir avec la multiplication des objets connectés. Qui en sont les principales victimes? Les «digital natives». Comment savoir si l’on est cyberdépendant?

Deux ménages sur trois disposent d’internet chez eux | Insee Deux tiers des ménages ont un accès à Internet à leur domicile Un peu plus de 64 % des ménages déclarent avoir un accès à Internet à leur domicile en 2010 contre 56 % en 2008 et seulement 12 % en 2000. Lorsque le ménage a Internet à domicile, son accès est neuf fois sur dix un accès haut débit. Les plus jeunes sont les plus équipés : le taux d’équipement, égal ou supérieur à 75 % jusqu’à 60 ans, tombe sous les 50 % entre 60 et 74 ans et n’est plus que de 8 % à partir de 75 ans (tableau 1). À âge donné, l’équipement en connexion à Internet varie nettement en fonction du diplôme du répondant. Les chômeurs sont moins équipés (73,9 %) que les actifs ayant un emploi (83,4 %). Dans leur quasi-totalité, les ménages internautes accèdent à la toile à partir d’un ordinateur : non portable pour 38 % d’entre eux, portable pour 31 %, l’un ou l’autre pour 29 %. tableau Tableau 1 – Accès et usage d’Internet tableau Tableau 2 – Les raisons pour ne pas avoir Internet Internet utilisé quotidiennement

Les parents pris au piège des écrans Tablette, smartphone, télévision… Ne faut-il pas limiter le temps d’utilisation des parents ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Guillemette Faure Vous pouvez baisser la télé que je puisse faire mes devoirs ! », demande un ado dans une pub radio pour Volkswagen. Exagéré ? « Mon fils n’arrive pas à décrocher de ses jeux », entendent les enseignants, qui voient ces mêmes adultes quitter une réunion de parents d’élèves pour prendre un appel. « Une espèce d’euphorie avec leurs écrans » « Au moment du coucher, ils regardent une vidéo sur leur tablette. Evidemment, on se dira que les enjeux ne sont pas les mêmes, entre un enfant dont les cellules grises sont en développement et un adulte pour qui les dés cérébraux sont quasi jetés. Lire aussi Si les mots de passe pouvaient parler Dans les trois quarts des cas, les parents utilisaient leur smartphone, la plupart d’entre eux plus absorbés par leur mobile que par leurs enfants. Des parents fascinés… et piégés

Bonjour,

J'ai également utilisé cette image dans mon dossier car je la trouve très pertinente. Elle illustre très bien, selon moi, l'état de dépendance avec ses conséquences dévastatrices : isolement, déchéance économique (possible), abandon de soi.....Une addiction avec les même conséquences que celles avec l'usage de substance.

Cordialement
Isabelle by isabelle_groupe3_psy Apr 6

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