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Un chien Andalou de Luis Buñuel

Un chien Andalou de Luis Buñuel

Family Life (film, 1971) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Family Life est un film britannique réalisé par Ken Loach et sorti en 1971 Encore une descente aux enfers. Family Life est, avec Fous à délier (Matti da slegare) de Marco Bellocchio (1975), documentaire autour d'un programme spécial de réinsertion sociale de malades mentaux dans la région de Parme (inspiré de l'expérience menée par le psychiatre Franco Basaglia)[1], l'un des films phares du mouvement animé par Ronald Laing et David Cooper dans les années 1960 et 70 sous le nom d'antipsychiatrie. Dans ce film, on assiste à la destruction d'une jeune femme par le système et les adultes ; toute tentative d'expression personnelle est reçue comme une agression et donc réprimée. Par le jeu des hospitalisations répétées et des médicaments neuroleptiques dépersonnalisant, Janice s'enfonce peu à peu dans une psychose quasi expérimentale. C'est un film important dans la carrière d'un réalisateur engagé.

cles_du_cinema_fantastique.pdf (Objet application/pdf) Plan dossier2 - fantastique_dossier-2.pdf "Vendredi 13", Hannibal Lecter, "Drive" : les secrets des masques cultes du cinéma - Dossier Cinéma Un masque, oui, mais pour quoi faire ? Protéger son identité ? Cacher la monstruosité du personnage ? Un masque comme une seconde peau, au sens littéral du terme ? Un masque, pour quoi faire ? Au cinéma, le port d'un masque n'est jamais gratuit (ou presque). A l'occasion de la sortie de You're Next, on en profite pour passer en revue quelques unes de ces créations plus ou moins terrifiantes, mais toujours percutantes, et 100% originales. Enjoy !

Les Yeux sans visage de Georges Franju (1960) - Analyse et critique du film Si les premiers films de Georges Franju s’inscrivent dans le genre documentaire, tandis que ses longs métrages tendent plus volontiers vers le fantastique et le merveilleux, le cinéaste de La Tête contre les murs et de Monsieur et Madame Curie n’a jamais mené deux carrières contradictoires. Que ce soit dans Le Sang des bêtes, ou dans le somptueux film qui nous préoccupe, la démarche est peu ou prou la même. Chez Franju tout est affaire de point de vue. Il est question d’hétérogreffe dans cette histoire passionnelle. Hétérogreffe, voilà qui qualifie plutôt bien le style du maître. Loin d’imposer une lecture symboliste de ses œuvres, le cinéaste préfère suggérer des pistes. A moins que le spectateur ne préfère considérer ce chef-d’œuvre du cinéma fantastique français, comme une relecture clinique des classiques du genre. Au fond peu importe la piste privilégiée.

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