[ Shell-Storm.org ] | Home | Ken Thompson Il participe à de nombreuses évolutions du système Unix : portage sur PDP-11, réécriture en langage C, et introduction des pipes. En 1979, AT&T publie dbm, un moteur de base de données qu'il a initié. Il a pris sa retraite des Bell Labs en 2000[6]. En 2011, il est corécipiendaire avec Dennis Ritchie du prix japonais[8],[3]. ↑ « » (consulté le 3 janvier 2017)↑ « Ken Thompson: developed UNIX at Bell Labs », sur www.linfo.org (consulté le 9 décembre 2017)↑ a et b (en) Ken Thompson, Dennis Ritchie win Japan 'Nobel' Prize, Chessbase, 26 janvier 2011.
Ghosts In The Stack Daemon (informatique) Le terme daemon semble être introduit en 1963 par les concepteurs de CTSS du MIT, en réponse au « dragon »[2], terme employé par les concepteurs d'ITS. Le rétroacronyme Disk And Execution MONitor (« moniteur de disque et d'exécution ») a été inventé pour justifier le terme daemon après qu'il est devenu populaire[3],[4]. Dans l'usage commun, on appelle aussi daemon n'importe quel processus fonctionnant en arrière-plan, qu'il soit ou non un enfant de init[5]. Les programmes serveurs réseau, qui doivent fonctionner en permanence, sont des daemons. Les noms des logiciels serveurs se terminent souvent par un d comme daemon. Les daemons peuvent aussi être utilisés pour configurer le matériel (comme devfsd sur les systèmes GNU/Linux), exécuter des tâches répétitives (comme crond) ou effectuer une variété d'autres tâches. Portail de l’informatique
C (langage) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir C. Ces caractéristiques en font un langage privilégié quand on cherche à maîtriser les ressources utilisées, le langage machine généré par les compilateurs étant relativement prévisible et parfois même optimal sur les machines d'architecture RISC à grand nombre de registres. Ce langage est donc extrêmement utilisé dans des domaines comme la programmation embarquée sur microcontrôleurs, les calculs intensifs, l'écriture de systèmes d'exploitation et tous les modules où la rapidité de traitement est importante. En contrepartie, la mise au point de programmes en C, surtout s'ils utilisent des structures de données complexes, est plus difficile qu'avec des langages de plus haut niveau. Dépouillé des commodités apportées par sa bibliothèque standard, C est un langage simple, et son compilateur l'est également. C'est un des langages les plus utilisés car : Ses principaux inconvénients sont :
Ordinateur de poche Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un ordinateur de poche est un petit appareil mobile programmable, de la taille d'une calculatrice. Il existe depuis 1979, avec la HP-41[1] qui a, entre autres, été utilisé comme « ordinateur de secours » dans la navette spatiale[2]. Cette catégorie d'ordinateurs est répandue principalement dans les années 1980, avec des constructeurs comme Sharp, Casio, Tandy/Radio Shack ou Hewlett-Packard. Ils sont programmables en BASIC ou en langage machine spécialisé. L'Ordinateur de poche (appelé aussi l'OP) a été également un magazine publié dans les années 1980. Portail de l’informatique C++ Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le langage C++ est normalisé par l'ISO. Sa première normalisation date de 1998 (ISO/CEI 14882:1998). Le standard a ensuite été amendé par l'erratum technique de 2003 ISO/CEI 14882:2003. Histoire[modifier | modifier le code] Bjarne Stroustrup, l'inventeur du C++. Comme Stroustrup développait C avec classes, il écrivit CFront, un compilateur qui générait du code source C à partir de code source C avec classes. Comme le langage C++ évoluait, la bibliothèque standard évoluait de concert. Personne ne possède le langage C++. Fonctionnalités introduites[modifier | modifier le code] On peut considérer que C++ « est du C » avec un ajout de fonctionnalités. Les fonctionnalités ajoutées sont : La compilation d'un programme en C++ effectue également un contrôle plus minutieux sur le typage. Bibliothèque standard[modifier | modifier le code] À l'origine, la STL était une bibliothèque développée par Alexander Stepanov qui travaillait pour Hewlett-Packard.
Scène démo La scène démo, ou demoscene en anglais, est une sous-culture informatique ayant pour but la création artistique sous forme de programme informatique, fondée sur les trois domaines que sont : la musique assistée par ordinateur, l’infographie et la programmation. Le postulat de base est de réaliser des performances technologiques ou artistiques en jouant sur des astuces de programmation ou de réelles performances programmatiques. Les programmes ainsi créés sont appelés démos, les compétences employées pour produire des démos sont englobées dans le demomaking (littéralement : la création de démo). Lors de la visualisation d'une démo, l'ordinateur calcule en temps réel l'affichage d'une séquence vidéo de synthèse, de sons, et autres thèmes multimédia. Une démo se présente sous la forme d'un fichier exécutable (binaire) à la différence de la vidéo (avi, mpg...) ou de la musique (mp3, ogg...). Les démos sont classées de façon informelle en plusieurs catégories :
Moiré (physique) Le moiré[1] est un effet de contraste changeant avec la déformation d'un objet, indépendamment des effets d'ombre. On parle souvent du moiré d'une étoffe (par exemple de la soie). On peut obtenir un effet similaire en superposant deux voiles à maille régulière, ou bien lorsque l'on observe deux grillages l'un derrière l'autre, ou encore deux rambardes de pont, à une certaine distance. Considérons deux réseaux constitués de lignes parallèles équidistantes, par exemple verticales. Le premier réseau a un pas p, le second a un pas p + δp, avec δp > 0. Si nous faisons coïncider les traits les plus à gauche des réseaux, le décalage entre les traits des deux réseaux s'accentue lorsque l'on va vers la droite. La première ligne sombre apparaît lorsque le décalage est p/2. soit La distance d séparant une ligne sombre d'une ligne claire est donc la distance séparant deux lignes sombres, qui est également la distance séparant deux lignes claires, est On déduit de cette formule que : sin α ≈ α cos α ≈ 1
Bulletin board system Un bulletin board system (de l'anglais signifiant littéralement « système de tableau d'affichage électronique »), couramment abrégé sous le sigle BBS, ou babillard électronique en français québécois[1], consiste en un serveur équipé d'un logiciel offrant les services d'échange de messages, de stockage et d'échange de fichiers, de jeux via un ou plusieurs modems reliés à des lignes téléphoniques. Populaire entre la fin des années 1970 et la première moitié des années 1990, le maillage mondial des BBS a été supplanté par Internet. Dans les années 2000, le terme BBS peut désigner un forum Internet, notamment dans les pays asiatiques. Cependant, une « nouvelle génération » de BBS a vu le jour à la fin du règne des BBS téléphoniques. Il existe plusieurs sortes de BBS : Cela a aussi été l'âge d'or pour l'Amiga qui par son système d'exploitation multitâche préemptif était très souvent utilisé comme serveur BBS. La plupart des BBS du réseau téléphonique commuté ont disparu.
Second Reality Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Unreal ][ - The 2nd Reality (appelée plus tard Second Reality), est l'une des plus célèbres démos créée par Future Crew pour la demoparty Assembly '93. Elle se plaça à la première place, catégorie PC de la compétition démo, grâce notamment à ses démonstrations de rendu 2D et 3D[1]. La démo a été rendue publique en octobre 1993. Elle est considérée comme une des meilleures démos du début des années 1990 sur PC, pour exemple, Slashdot la place en première place du Top 10 Hacks of All Time[2]. La démo peut être lancée avec un caractère de commande, de "2" à "5" pour commencer depuis une des quatre parties. La stature légendaire de cette démo a inspiré de nombreuses personnes à créer leurs propres remixes de ce spectacle. Cette démo peut être vue (avec en option les commentaires de Future Crew) sur le DVD MindCandy. Scène démo
Command-line interface Computer interface that uses text Today, most computer users rely on graphical user interfaces ("GUIs") instead of CLIs. However, many programs and operating system utilities lack GUIs, and are intended to be used through CLIs. Knowledge of CLIs is also useful for automation of programs via the writing of scripts. CLIs are made possible by command-line interpreters or command-line processors, which are programs that read command lines and carry out the commands. Comparison to graphical user interfaces [edit] Compared with a graphical user interface, a command-line interface requires fewer system resources to implement. Operating system command-line interfaces Although the term shell is often used to describe a command-line interpreter, strictly speaking, a shell can be any program that constitutes the user interface, including fully graphically oriented ones. Application command-line interfaces Application programs (as opposed to operating systems) may also have command-line interfaces. and
Tous commencent par la création du système Unix Ken créé par Thompson et Dennis Ritchie en 1973 by yoann86 Jun 2