background preloader

Nos Enfants Nous Accuseront

Nos Enfants Nous Accuseront
Related:  Agriculture/Alimentation/Pesticides/OGMAgro-écologie - Permaculture

« On peut nourrir 10 milliards d’humains en bio sans défricher un hectare » Interview – Résoudre la question alimentaire à l’échelle planétaire, en se passant de l’agriculture conventionnelle ? Ça ressemble à une utopie, mais c’est la réalité de demain, selon certains. Parmi eux, l’agronome Jacques Caplat. Entretien. Jacques Caplat est agronome et géographe. L’idée que les rendements en bio sont plus faibles qu’en conventionnel est récurrente… Si l’on considère que l’agriculture bio, c’est faire la même chose qu’en conventionnel moins la chimie, alors oui, c’est certain. Que faut-il comparer, alors ? Le système conventionnel s’est construit sur l’idée qu’on peut augmenter les rendements en sélectionnant les semences. Ce concept fonctionne de façon optimale avec un mélange de cultures sur une même parcelle. Vous soutenez que l’agriculture bio est le seul système viable dans les pays tropicaux… Le système conventionnel ne marche qu’en milieu tempéré. Que disent les études scientifiques sur cette question ? Cette transition est-elle possible ? C’est très complexe.

Kokopelli Nos enfants nous accuseront - Wikipedia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le réalisateur, Jean-Paul Jaud, présentant le film Nos enfants nous accuseront (2011) Nos enfants nous accuseront est un film documentaire français sorti en novembre 2008 écrit et réalisé par Jean-Paul Jaud, présenté à la presse à Cannes le 22 mai 2008[1]. Le thème central est l'empoisonnement supposé des aliments par les toxines (pesticides, fongicides, engrais, etc.) de la chimie agricole, développé à travers le cas d'une école. Synopsis[modifier | modifier le code] Enfants, parents, enseignants, paysans, élus, scientifiques et chercheurs, livrent leurs sensations, leurs analyses, leurs angoisses, leur colère, les fruits de leurs travaux. Réactions[modifier | modifier le code] Ce documentaire a été salué par la presse engagée[2] et a suscité de nombreux articles dans la presse généraliste[3],[4],[5],[6]. Fiche technique[modifier | modifier le code] Distribution[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code]

Etats-Unis : la révolte des élèves contre les légumes obligatoires de la cantine | American Miroir Michelle Obama dans une cantine d’une école dans le Maryland, le 19 mai 2010 (Elisa Miller/NEWSCOM/SIPA) Depuis des mois, la grogne montait dans les écoles. Les élèves jetaient les fruits et légumes désormais proposés dans les cantines. Pour les usagers de Twitter, la colère est facile à vérifier en utilisant le nouveau hashtag #BringBackOurSnacks (rendez-nous nos snacks). Sous des bordées d’injures – « Fucking Michelle Obama ! Vides pour l’instant, car les machines devraient bientôt être approvisionnées en briquettes de lait écrémé, pur jus, eau parfumée, yaourts, et fruits frais prédécoupés ou entiers. Les jeunes se plaignent aussi de mourir de faim à l’école parce que les menus de la cantine sont « à vomir », et qu’ils doivent attendre d’être rentrés à la maison pour manger quelque chose de décent. A l’exemple de cet élève qui, de chez lui, publie la photo d’un assortiment de mets frits : « Merci M. Le site Vocativ a compilé un paquet de ces tweets vengeurs et illustrés.

Les Jardins de Siloé | Pour préserver, valoriser, transmettre… Site officiel de la Ville de Barjac - Nos enfants nous accuseront <div style="background-color:red;color:white;width:160px"><strong>JavaScript est désactivé!</strong><br />Pour afficher ce contenu, vous devez utiliser un navigateur compatible avec JavaScript.</div> Adobe Flash Player non installé ou plus vieux que 9.0.115! Avant notre élection en 1989, la municipalité précédente déléguait à l’Association des parents d’Elèves le soin de nourrir les enfants. Une manière de signifier qu’il y avait bien trop de gratuit, de public, comme ça à l’école sans y rajouter les repas ! Notre première préoccupation fut de réparer les locaux, d’embaucher et de titulariser les deux cantinières et d’imposer des repas équilibrés à ces affectueuses «bourreuses» de ventres ! Nous avions déjà signifié que la question du repas s’intégrait à la santé, à l’éducation, à la lutte contre l’échec scolaire et au moral des troupes blondes ou blanches ! La restructuration de l’établissement scolaire a cédé cette première cantine à une garderie centre de loisirs. Edouard CHAULET

Monsanto : les produits à boycotter + Liste des Marques à Connaître De très nombreux articles de consommation courante sont élaborés à partir de cultures OGM mises au points par Monsanto, géant américain de la biochimie. Bio à la Une fait la liste de quelques unes des marques à éviter afin de ne pas mettre n’importe quoi dans son assiette. Monsanto, titan de la biotechnologie, est tristement célèbre pour les scandales sanitaires à répétition dans lesquels il est mis en cause. Pour mieux savoir ce que l’on met dans son assiette et dans celle de ses enfants, il est bon de connaître les multinationales, propriétaires de nombreuses marques, qui ont recours à des composants Monsanto. Parmi celles-ci, les sociétés Kraft Philipp Moris, Unilever, General Mills, Coca-Cola, Pepsico ou encore Procter & Gamble. Boissons Produits sucrés Produits salés Hygiène et entretien Que faire contre Monsanto? Vandana Shiva explique la situation agricole actuelle et ce qu’il est possible de faire en respectant la biodiversité. Un projet internet pour contrer Monsanto

Accompagnement à la création des ACTIVITES AGRI-DURABLES INNOVANTES en Bretagne Recherche d'associé.e.s Recherche associé(e) lait bio transfo GAEC des Ecotones à Guer (56). Installés depuis 2011, nous venons de terminer un laboratoire de transformation du lait de vache bio, permettant la transformation et la vente locale d'environ 100 000 litres. Cette activité permettra de faire vivre 3 personnes. Réseau de vente dynamique dans un rayon de 15 km : marché (Guer), AMAP (Guer), à la ferme, 4 épiceries, un magasin bio, restauration collective (scolaire, maison de retraite, crèche, centre d'accueil), boulangeries, restaurants. Système herbager et biologique avec 35 vaches laitières sur 42 ha groupés. Nos enfants nous accuseront - critiques 76 000 tonnes de pesticides déversées chaque année sur notre pays, 100 000 enfants mourant annuellement de maladies causées par l’environnement, 70% des cancers liés à l’environnement et l’alimentation. Voici quelques-uns des chiffres sur lesquels se clôt le film-documentaire de Jean-Paul Jaud, Nos enfants nous accuseront. Dernière image : « … cultiver l’ensemble des terres arables du monde selon les préceptes de l’agriculture Bio, permettrait de nourrir l’humanité. » (sources : FAO). Le film s’ouvre avec panache sur un colloque tenu à l’Unesco en 2004, réunissant des sommités mondiales signataires de l’ « Appel de Paris » contre la pollution chimique, puis nous emmène dans le village de Barjac, au pied des Cévennes. Le cinéaste a raison, « on ne reçoit pas un film documentaire au cinéma comme à la télévision » : la salle de cinéma, lieu de solitude et de partage, met chacun face à ses responsabilités en même temps qu’elle tisse des liens entre les spectateurs.

Des cantines scolaires avec des repas 100% bio et locaux, c'est possible Une ville ouvrière révolutionne la restauration scolaire. Saint-Etienne, 170 000 habitants, est en passe d’assurer une alimentation 100 % issue de l’agriculture biologique pour les cantines des écoles maternelles et primaires. Soit près de 3 000 repas servis quotidiennement. « Un objectif valable à compter du 1er janvier 2014 », souligne Fabrice Poinas, chef de service de la restauration scolaire de la ville. Avec une petite nuance : ces « 100 %» s’appliquent si les produits sont disponibles sur le marché. Difficile en effet de trouver du poisson d’élevage ou des galettes des Rois labellisés Agriculture biologique. L’ambition pour Saint-Étienne est double puisqu’il s’agit de menus bio... et locaux ! « En 2013, 80 % de nos repas étaient bio et composés à 41 % de produits locaux », se réjouit Fabrice Poinas. La progression à l’échelle nationale demeure néanmoins très lente. Des plateformes collectives pour répondre à la demande des collectivités Innover pour ne pas augmenter le budget

Graines de Troc, une autre façon de s'échanger graines et savoir-faire Ambition bio 2017 : Les chiffres en images Agriculture biologique, où en est-on ? Retrouvez les grands chiffres de la production et de la consommation. La barre du million d’hectares cultivés en bio franchie en 2012 ! Fin 2012, les surfaces cultivées en France selon le mode de production biologique couvrent 1 032 935 ha, ce qui correspond à 3,7 % de la SAU française. Les surfaces en conversion sont désormais de l’ordre de 180 000 ha, soit 17 % de la surface bio totale. Plus de 25 000 producteurs bio en 2013 ! En nombre de producteurs, on distingue une période d’essor de l’AB en France vers la fin des années 1990, suivie d’une stabilisation d’environ cinq ans. Évolution depuis 1995 du nombre de producteurs et autres opérateurs bio et des surfaces en mode de production biologique. Cliquez pour agrandir L’agriculture biologique dans les régions La part de l’agriculture bio dans l’ensemble du territoire agricole varie fortement d’une région à l’autre (de 13 % en PACA à 0,7 % en Picardie en 2012). La bio, un marché de 4 milliards d’euros

« Graines de rebelles » : reportage sur ces semeurs résistants La bataille des graines a commencé. Les crises climatique et écologique frappant à nos portes, l’agriculture industrielle s’imposant triomphalement, la croissance à tout prix exigeant des rendements au détriment du vivant, de plus en plus de « résistants » s’organisent dans les marges de la société pour assurer, non sans mal, la préservation de la diversité des semences, leur échange libre et leur culture. Leur combat est présenté dans un court reportage du 13.15 sur France 2. Le constat est sans appel : les trois quarts des fruits, légumes et céréales ont disparu en un siècle sans même que l’information fasse la Une des journaux. Au cœur de l’Europe, des irréductibles résistent à l’envahisseur industriel, risquant une amende de 45 000 euros pour braver les règles imposées par un lobbying agro-industriel. Source : francetvinfo.fr

Related: