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Wikileaks Mirror Network

La responsabilité des intermédiaires Erratum On me souffle dans l'oreillette que j'ai manifestement mal lu la LCEN, en y voyant un manifestement qui n'y est pas (ou n'y est plus). C'est un point très important du droit qui s'applique sur Internet, et qui change beaucoup l'équilibre des forces, mais perturbe à pein la présentation faite ici. un hébergeur peut être tenu pour responsable de tout contenu manifestement illicite qu'on lui signale et qu'il laisse en ligne (c'est le point clef);donc, quelle que soit l'infraction supposée, il a un avantage immédiat à retirer le contenu, puisque ce retrait abusif ne peut pas lui être reproché;en effet, ce n'est que le signalement abusif en vue du retrait qui peut être poursuivi. La question habituelle La question habituelle, en matière de responsabilité de l'hébergeur, est de savoir si l'hébergeur du serveur (quoi qu'on entende par le terme hébergeur) est responsable de ce qui est publié sur le serveur en question[1]. Qui est hébergeur ? Qui est responsable ? La limite de l'exercice

Wikileaks What It Means for Journalism 12/17/2010 - ColumbiaJournalism | Internet Radio Featured follow Call in to speak with the host Columbia Journalism School (@ColumbiaJourn) presents a conversation about the latest developments in the Wikileaks controversy and what they mean for journalists and journalism. Tags: Wikileaks Columbia Journalism School School Emily Bell Todd Gitlin Alexander Hotz h:20172s:1430066archived Recommended For You Comments

LE PIEGE WIKILEAKS Ce texte est un « article presslib’ » (*) Un article du New York Times : Prospect of WikiLeaks Dump Poses Problems for Regulators par Andrew Ross Sorkin, attire l’attention sur le fait que les documents que Wikileaks s’apprête à diffuser à propos d’une grande banque, embarrasseront davantage les régulateurs du monde financier que cette banque elle-même. C’est vrai. J’ai eu entre les mains (dans le cadre de mon activité légitime au sein de banques américaines !) L’absence de régulation ne découle donc pas du fait que les régulateurs ne savent rien, mais du fait qu’ils n’agissent qu’avec une extrême mollesse. Une simple question de rapport de force. Bien sûr le régulateur doit justifier alors le fait de ne pas avoir agi, bien qu’il ait su. La réaction des autorités pourrait être la même que dans le cas des faits rendus publics dans The Big Short : une audition au Congrès ou au Sénat. Il y a là un piège, et particulièrement machiavélique.

Dutch public TV keeps Wikileaks site online The Netherlands Media Authority (CvdM) has said it will not close down a Wikileaks mirror site hosted by public broadcaster PowNed. The issue was raised by Christian Democrat MPs who said it was unacceptable for a publicly funded organisation to publish a copy of the secret US embassy messages. Media Minister Marja van Bijsterveld, when asked by reporters what her position was, said "It is not up to me as the government's media minister to intervene in the output of public broadcasters". After PowNed, a second public broadcaster, VPRO, has republished the Wikileaks files. Last week the Wikileaks website published thousands of secret US embassy messages, whose outspoken and frank tone caused an uproar in diplomatic circles, with world leaders demanding apologies for the manner in which they were described. Multiple copies of the Wikileaks files have been posted on independent servers around the world. © Radio Netherlands Worldwide

Fin de Wikileaks.org qui renaît sous Wikileaks.ch. OVH l'héberge en partie (info ZDNet.fr) Wikileaks plie mais ne rompt pas. Dans la nuit de jeudi à vendredi, Wikileaks.org a disparu des écrans après que son prestataire DNS basé aux États-Unis a coupé les liens. Vers 10 heures ce matin, le site reprenait du service avec l’extension suisse « .ch » (qui appartient au Parti Pirate suisse) après une annonce sur Twitter. Selon nos constatations, Wikileaks.ch pointe vers les serveurs du français OVH (IP 213.251.145.96). Le suédois Bahnhof confirme qu'il héberge 2 serveurs Wikileaks Contacté par ZDNet.fr, Bahnhof nous a confirmé ce matin qu’il hébergeait bien deux serveurs Wikileaks tout en précisant que celui-ci « bouge tout le temps ». « Nous leur fournissons uniquement des ressources et n’avons aucun contrôle sur leur contenu ou la façon dont ils gèrent leur trafic », a tenu à nous indiquer la porte-parole de Bahnhof. De son côté, everyDNS.net a justifié sa décision de stopper sa prestation envers wikileaks.org en raison des attaques DDoS dont il faisait l’objet.

Twitter Explains Why #WikiLeaks Isn’t Trending Twitter has finally responded to numerous accusations that it has been purposely keeping #WikiLeaks and related hashtags out of its Trending Topics list. Twitter spokesperson Carolyn Penner just published a post on the microblogging service's blog that more fully outlines how Trending Topics are determined on Twitter. In essence: Twitter favors novelty over popularity. Trending Topics are "designed to help people discover the 'most breaking' breaking news across the world… Captur[ing] the hottest emerging topics, not just what's most popular," Penner writes. "Topics break into the Trends list when the volume of Tweets about that topic at a given moment dramatically increases," she adds. From this explanation, we can infer that the reason the WikiLeaks hasn't trended this week, despite being the most-discussed topic on Twitter at times, is because there hasn't been a dramatic increase in the level of discussion about WikiLeaks compared to previously.

Wikileaks : l’État, le réseau et le territoire » Article » OWNI, Digital Journalism Pour Anthony Besson, le bras de fer que se livrent WikiLeaks et l'ordre politique est à l'origine d'une tectonique des pouvoirs inédite, dans laquelle Internet fait figure de territoire dissident sur lequel les États n'ont aucune prise. “ Infowar”, “cyber warfare”[en], “opération riposte”, “guerre de l’information”,… les titres couvrant l’affaire WikiLeaks ont largement puisé dans le vocabulaire militaire pour décrire les événements qui ont suivi la publication des câbles diplomatiques par le site de Julian Assange. La multiplication des déclarations violentes de journalistes et hommes politiques à l’encontre de WikiLeaks, l’acharnement des États a vouloir faire fermer le site en vain via les hébergeurs ou les fournisseurs de noms de domaines, et bien sûr la “riposte” des Anonymous par attaques DDoS, tout cela participe bien d’un climat de “guerre”. L’Internet, un territoire étranger Même le gigantesque firewall chinois n’est qu’une chimère. Illustrations CC: Norman B.

EU must provide "political assylum"to hosts of wikileaks DEN HAAG - De Europese Unie (EU) moet de internetvrijheid beschermen en daarom ''digitaal politiek asiel'' aanbieden aan webhosts die sites als WikiLeaks faciliteren. Foto: Getty Images Dat bepleitte Tweede Kamerlid Arjan El Fassed van GroenLinks donderdag in een overleg met minister Uri Rosenthal (Buitenlandse Zaken). Volgens El Fassed moet de EU de blokkade van hosts van klokkenluiderssite WikiLeaks ongedaan maken. Voor zo'n blokkade is een uitspraak van de rechter nodig, anders is er sprake van internetcensuur, aldus het Kamerlid. Financiering Hij vindt verder dat de EU de financiering door derden van WikiLeaks mogelijk moet maken, omdat ook dit niet door een rechter is verboden. GroenLinks roept Rosenthal ook op te voorkomen dat de EU op een of andere manier meewerkt aan een mogelijke uitlevering van WikiLeaks-oprichter Julian Assange aan de Verenigde Staten. El Fassed vreest dat Assange daar dan geen eerlijke rechtsgang zou krijgen. Gedragscode Rosenthal wilde er verder niet op ingaan.

Wikileaks.org n’existe plus L’adresse Wikileaks.org ne répond plus. Un tweet envoyé tôt ce vendredi matin annonce que le nom de domaine a été “tué” par la société américaine qui le fournissait, everydns.org. Wikileaks a réagi en créant une adresse suisse. Le provider de DNS chez qui Wikileaks avait enregistré son nom de domaine désormais célèbre wikileaks.org écrit en page d’accueil de son site avoir “mis fin au service fourni gratuitement à Wikileaks conformément aux conditions d’utilisation”. La raison de la disparition de Wikileaks.org Selon ce qu’on peut lire sur le site de EveryDNS.net, “Wikileaks a fait l’objet de plusieurs attaques par déni de service. Ce type d’attaque consiste à noyer un site en mobilisant une “armée” d’ordinateurs et en leur demandant de se connecter au même nom de domaine. Wikileaks n’a pas vraiment disparu de la circulation, puisque une série de sites miroirs permettaient, (moyennant de connaître l’adresse…) d’y accéder. Dans la foulée, Wikileaks a annoncé “se déplacer en Suisse”.

WikiLeaks mirrors multiply as main funding source gets cut off The Internet may be working to take WikiLeaks offline, but the site's contents aren't going to disappear, thanks to hundreds of mirrors that popped up over the weekend. But even though more than 200 sites around the world now host the controversial leaked documents, WikiLeaks may face an all-too-familiar funding problem if it wants to continue publishing new leaks. WikiLeaks has been server hopping lately thanks to a combination of distributed denial of service (DDoS) attacks and pressure from politicians. A DDoS attack had originally pushed WikiLeaks to move some of its operations to Amazon, but then Amazon booted the site from its servers after Sen. Joe Liberman (I-CT) pressured the company to stop associating itself with WikiLeaks. This prompted WikiLeaks to put up a plea on its website for a mass mirroring so that it would become "impossible to ever fully remove WikiLeaks from the Internet."

La guerre de l’information n’est pas la cyberguerre » Article » OWNI, Digital Journalism En prenant activement la défense de WikiLeaks, les Anonymous ont-ils franchi un cap supplémentaire dans la guerre de l'information? Le vocabulaire mérite d'être précisé. MAJ du lundi 13 décembre: Après l’opération Payback, les Anonymous ont décidé de lancer l’opération Leakspin, augmentant les attaques par déni de service distribué d’une vaste enquête contributive. Mais les soucis techniques des uns et des autres ne se sont pas arrêtés pour autant. Quelques minutes plus tard, Gawker était également attaqué. [DDOSWAR NOW!] Depuis hier , les Anonymous ont lancé une vaste campagne d’attaques contre les organismes qui ont décidé de fermer les vannes d’approvisionnement de WikiLeaks. Si on déroule le fil des événements, il faut bien reconnaître le climat d’extrême tension, marqué par une escalade de la violence qui, faute d’être physique, est moralement symbolique (en plus d’être juridiquement inquiétante). Pour le Guardian, jeudi 9 décembre est “le jour où la cyberguerre a été déclarée”.

WikiLeaks Now Has Hundreds of Mirrors WikiLeaks is currently not available at WikiLeaks.org. It recently lost its DNS service provider, and the site itself has been battered by DDoS attacks for more than a week now - ever since it first started releasing secret embassy cables. However, when highly coveted information once spreads on the web, there's no stopping it. Case in point: WikiLeaks currently has several hundred mirrors, and although some of these mirrors are incomplete, slow or perhaps even completely unavailable, it's highly unlikely that any effort will be able to exterminate them all. Obviously, WikiLeaks was never about one website. As large U.S. companies such as Amazon and PayPal fold under pressure, refusing to give service to WikiLeaks, thousands of enthusiasts help WikiLeaks out by hosting a mirror of the site, uploading a torrent with the latest cables or by donating to the site.

héberge un miroir de WikiLeaks Ce que nous n'allons pas expliquer L'activité de WikiLeaks est très controversée en ce moment. Ses opposants disent que c'est très mal de diffuser des documents secrets, que ce que fait WikiLeaks c'est du recel de documents volés, qu'ils mettent en danger des gens, etc. Tout cela, savoir si ce que fait WikiLeaks est bien ou mal, ce n'est pas l'affaire de FDN. WikiLeaks n'a été condamné par aucune juridiction. Le contexte Ces derniers temps, l'actualité a été relativement riche sur le front de la neutralité du réseau. Le premier point d'actualité, sans rapport avec WikiLeaks, est la décision des USA d'utiliser le système mondial des DNS pour mettre en oeuvre une politique nationale d'application du copyright et de lutte contre le partage illégal d'oeuvres en ligne. Expliquons l'enjeu Pour un TLD[1] il n'y a qu'un seul registre. Ces débats, portant sur des noms, avaient des impacts sur des noms. L'importance de la question La question est d'envergure. Quel rapport avec WikiLeaks?

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