Comment définir les NTIC C) Quelles sont les personnes cyberdépendantes? - La cyberdépendance TPE 2009-2010 Toutes les classes sociales semblent touchées que se soit l’adolescent, le chef d’entreprise ou la femme au foyer... Néanmoins, la cyberdépendance touche plus particulièrement les jeunes ados et les personnes en difficulté socialement, physiquement ou professionnellement. Le virtuel est comme un refuge. Les adolescents sont les plus touchés car ils ont des horaires élastiques et ont moins d'engagements à respecter que les adultes donc ils ont plus de temps libres , le début de la cyberdépendance commence vers 14 ans. D’après Michael Stora, expert du monde virtuel et sa dépendance, « Il y a plus de chance que les jeunes soient touchés s’ils vivent seuls avec leur mère, et ont une absence réelle ou symbolique du père. Ceux que les psychologues reçoivent ont en général arrêté l’école. Maintenant, il semble y avoir une certaine parité entre les hommes et les femmes. Les femmes s'informent davantage et recherchent des relations stables. Les chiffres (source UNAF) À l'échelle mondiale :
SENAT Jeux Videos et Psychologie 3 Cyberdépendance - Psychoweb Contrairement a l'idée selon laquelle les jeux online créent la dépendance, de nombreux points de vue et études laissent à penser que le phénomène possède des origines beaucoup plus profondes que le divertissement pur et simple... Si les jeux online ont permis de mettre en évidence et prendre conscience de l'existence et de l'ampleur de la Cyberdépendance, il convient de rappeler que ce phénomène n'est pas directement rattachable uniquement aux jeux... Cyberdépendance Un phénomène relativement récent, donc, pré-existant aux MMORPGs (jeux en ligne massivement multi-joueurs) qui ont contribué à la reconnaissance de possibles addictions chez des joueurs particulièrement accrocs, mais également à degrés divers, sur l'ensemble de la population de ces joueurs. L'un des jeux les plus souvent cités est le très célèbre WoW (World of Warcraft), qui réunit des millions de joueurs à travers le monde et dont les études concernant l'addiction qu'il provoque sont nombreuses. Les jeux, toujours les jeux?
Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Une enquête sur les loisirs devant écran (Internet, jeux vidéo et télévision) a été menée auprès de 444 élèves de 3e scolarisés dans l'ensemble des collèges publics et privés d'une grande ville du Nord de la France53(*). En bref, s'il existe bien une cyberaddiction, plus puissante que la dépendance à la télévision, qui commence à prendre des proportions inquiétantes, la solution est connue : il s'agit du contrôle des parents, qui disposent des moyens pour couper la connexion ou pour maîtriser les horaires de navigation. Les raisons de cette addiction ne sont pas forcément bien décryptées. Selon M. Par ailleurs, la dépendance aux jeux vidéo est bien analysée par l'ouvrage de Mme Christine Kerdellant et M. Notons en passant que les psychologues évoquent aussi des cas de dépendance au téléphone portable (Wilska, 2003). * 52 « There is three kinds of death in this world. * 56 Littéralement « sans vie ».
Quand l'amant c'est l'ordi... Avec ses magnifiques vêtements tout en couleurs. Pleine de vie, comme on dit, qu’elle soit avec François, avec Carole ou avec Jacques. Elle dit toujours des choses terriblement sérieuses, Edith, comme font les enfants. Elle dit « Si je quitte François, je l’aimerai toujours », elle dit « Crois-tu qu’on peut aimer deux hommes à la fois ?» Elle semble mordre la vie à plein sourire, à belles dents. Elle prend les choses bonnes, les choses à prendre; et elle est généreuse, de ses sentiments et de ses émotions. Serge TISSERON "Je pourrais me passer de Facebook, mais pas les autres !" A l'occasion du cinquième anniversaire de Facebook, les lecteurs du Monde.fr font part de leur degré de dépendance à l'égard de ce réseau social. Littéralement accros, certains n'hésitent pas à comparer le site à l'apparition du téléphone portable. Epuisés par cette nouvelle activité "chronophage", d'autres n'y voient qu'un "gadget" qui passera de mode un jour. TOUT ! De même, pour un artiste indépendant que je suis (remixeur), ça me permet de créer une page assez simple qui reprend le contenu mon site (flux RSS) – les gens deviennent "fans" et suivent votre actualité de cette manière –, page que je peux personnaliser, c'est même plus pratique que MySpace quand on y pense, MySpace qui essaie de reprendre certains concepts de Facebook et devient le suiveur (certaines applications, les personnes que vous connaissez peut-être...). Oui... mais non, par Yoan Maman C'est en quelque sorte par une réponse de Normand que ce témoignage est titré, en voici l'explication. Facebook addict !
Clinique du numérique Cyberaddiction: La geek attitude Seriez vous atteint de ce syndrorme la geek attitude tout comme Mr jourdain faisait des vers sans en avoir l'air et de la poésie sans en avoir envie? Cette Geek attitude est si grave qu'en 2001 la revue Wired baptisait même de "geek syndrome" la montée de l'autisme dans la silicon Valley. "Les geeks (prononcez «guiks»), ces envahisseurs venus de la galaxie Techno, sont parmi nous. Ils n'ont pas de raideur anormale à l'auriculaire, comme dans la série télé, mais parlent un drôle de jargon: «Le N70 est vraiment trop petit, je préfère le 6680»; «Et toi, t'as quoi comme distrib'? Debian ou Ubuntu?» Les uns, «codeurs», ne peuvent s'empêcher, face à leur ordinateur, de concevoir compulsivement des programmes informatiques. Avec les geeks, rien n'est simple. Pour lire l'article dans son intégralité :La geek attitude ( Le petit décodeur Noobzor «Eux, c'est pire, explique Régis Bigot. Gigot Un gigaoctet.
Usages numériques Les jeux vidéos sont devenus la plus grande industrie culturelle au monde, devant le cinéma, la télévision et la radio. comment en moins de 50 ans, cette pratique ludique a-t-elle pu devenir un point d’ancrage dans le quotidien de centaines de millions d’individus dans le monde ? Comment depuis le jeu « pong » (1968), les jeux vidéos sont-ils devenus si performants qu’ils offrent à des millions de personnes la possibilité de vivre si intensément la délicate et mystérieuse frontière entre monde réel et monde virtuel ? « Game Over, Le règne des jeux vidéo », un portrait planétaire et alternatif du monde des jeux en réseau, de ses révolutions morales et culturelles. Entre Tokyo, Shanghai, Los Angeles et Paris… Quel point commun entre un hacker chinois, une star des jeux vidéo alternatifs vivant à Hollywood, une psychologue clinicienne française qui arrive à Tokyo et un sociologue des mondes numériques ?
Yann Leroux : « Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo » Pour l’été, InternetActu vous propose de revenir sur les usages d’internet en compagnie de quelques-uns des chercheurs, sociologues, anthropologues, psychologues qui nous aident à comprendre l’internet. On ne présente plus vraiment Yann Leroux sur internet, parce qu’il est l’un des rares psychanalystes à twitter et à avoir un blog (que nous vous recommandons chaudement). Membre de l’Observatoire des mondes numériques en sciences humaines, joueur invétéré, Yann Leroux s’intéresse au virtuel depuis qu’il est tombé dedans. C’est assurément son expérience de joueur qui l’a amené à porter un autre regard sur le jeu. A son exemple, des psychanalystes, et non des moindres, comme Serge Tisseron, sont de plus en plus nombreux à dénoncer l’utilisation de la notion d’addiction appliquée aux jeux vidéos. Cette position, forcément iconoclaste, nous intéresse. InternetActu.net : « Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéos ! Yann Leroux : Oui, le « phénomène » ne repose sur aucun chiffre objectif.
Vanessa Labo Comment interpréter les usages des TIC? - Prospective Jeunesse Quels sont justement les principaux sens et besoins auxquels répondent les usages des TIC ? Il y a d’abord les fonctions de base qui concernent tout le monde, les fondamentaux, comme l’échange d’information ou tout ce qui est de l’ordre du loisir ou du « tuer le temps ». Je les qualifie de fonctions « liquides », c’est-à-dire qu’elles viennent s’intercaler, notamment à travers les smartphones, dès que la personne a un peu de temps libre. Mais je vois aussi deux fonctions essentielles des réseaux sociaux, qui à mon sens expliquent leur succès, notamment chez les adolescents, mais pas seulement. Il s’agit d’une part de la fonction de maintien du contact, qui me semble vraiment à la base de l’adolescence: l’ado désinvestit le milieu familial pour surinvestir ses camarades, ses copains, ses pairs et ce sont là des moments assez difficiles, voire déstabilisants qui peuvent réactiver chez certains leurs angoisses d’abandon et alimenter une gourmandise énorme en termes de contact.