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Sheryl Sandberg: Why we have too few women leaders

Sheryl Sandberg: Why we have too few women leaders

L'humour est une chose trop sérieuse... - Une heure de peine... Lui : Wah, hé, faut que je te montre un truc, tu vas trop te marrer. C'est un test dans le dernier Consoles +, c'est trop bon. Moi : ... Note : ce dialogue est évidemment fictif, bien qu'inspiré de nombreuses discussions réelles : personne n'est capable de m'écouter aussi longtemps.

Le patriarcat est-il mort Par Cathy Young, depuis les États-Unis.Un article de Reason Magazine. Lorsque l’écrivain Hanna Rosin a récemment publié un article sur Slate.com affirmant que « le patriarcat est mort », la plupart des réponses féministes se sont réduites à « Brûlez l’hérétique ! ». Ironiquement, la tendance féministe de tirer sur le porteur de bonnes nouvelles était le sujet même de l’essai de Rosin, adapté du nouvel épilogue de la version de poche de son livre, La fin des hommes, qui, malgré son titre, concernait davantage la prédominance des femmes que le déclin des hommes. Alors, où est-ce ce patriarcat américain que couvre Rosin ? Mais le font-ils ? Les préjugés fondés sur le sexe ne sont pas à sens unique. Il n’est vraiment pas difficile de trouver des cas dans lesquels les hommes sont jugés plus sévèrement que les femmes. En fin de compte, les exemples du patriarcat en action donnent raison à Rosin. Ce qui n’est, en fait, pas le propos de Rosin. — Article original Is the patriarchy dead?

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