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Addiction : tout savoir sur les addictions et leur traitement

Addiction : tout savoir sur les addictions et leur traitement
Écrit par les experts Ooreka | L'addiction est un trouble de la personnalité et du comportement qui peut rendre très malade, voire entraîner le décès dans le cas de la toxicomanie. Il existe d'ailleurs des services spécialisés dans les phénomènes de dépendance dans certains hôpitaux. C'est un véritable problème de santé publique. Les addictions touchent toute la population, quels que soient l'âge, le milieu social, la situation économique. De plus en plus de jeunes sont touchés par la dépendance à l'alcool, aux jeux ou à la drogue. Comment déceler une addiction ? Une addiction est un trouble du comportement désignant un attachement excessif à quelque chose (substance, comportement...) pouvant nuire à notre santé ou à notre vie sociale. Les addictions par rapport à certaines substances comprennent : la dépendance au tabac, la dépendance aux drogues, la dépendance à l'alcool, la dépendance aux médicaments, la dépendance à la nourriture. Quelle est l'origine d'une addiction ?

L'isolement - Pouvoir et société L'isolement social est la situation d'une personne que l'on éloigne de la societé, des autres groupes sociaux. Il y a une minimisation de la communication causé par la séparation physique ou social entre les individus. Les liens sociaux d'internet sont attractifs car ils sont ludiques, convivials et interactifs. Les moyens et outils de communication ne manquent pas. Le risque est qu'internet est extrèmement addictif et influe sur le comportement des internautes, ils ont donc souvent tendance à se renfermer dans un monde virtuel et s'éloignent de la réalité pouvant aller jusqu'à risquer de perdre tout contact physique avec les individus qui les entourent. Il suffit de naviguer quelque temps sur internet, pour se rendre compte que cette activité à un effet de désorientation. Internet peut donc causer une déconnection total entre un utilisateur et le monde réel. Les raisons Les conséquences Les solutions Les solutions pour tenter de rompre cet isolement social est le soutient des proches.

Infoset - Cyberaddiction Définition La naissance de la notion de dépendance à l'Internet semble remonter à 1995. C'est cette année-là que le Dr Ivan Goldberg lança tel un gag le terme de "Internet Addiction Disorder". Cyberaddiction Rubrique d'Addiction Suisse. Parlement Utilisation d'Internet et des jeux en ligne par les jeunes En Suisse, les adolescents et les jeunes adultes surfent en moyenne deux heures par jour sur Internet. Ressources suisses Suchtmonitoring Schweiz - Themenheft Internetnutzung und problematische Internetnutzung in der Schweiz im Jahr 2013 Monitorage suisse des addictions - Utilisation d'Internet et cyberdépendance en Suisse en 2013 Marmet, S., Notari L., Gmel, G., Lausanne, Addiction Suisse, 2013, 56 p. Publications Ado@Internet.ch: usage d'internet chez les adolescents vaudois Joan-Carles Surís, Christina Akré, André Berchtold, Aline Fleury-Schubert, Pierre-André Michaud, Grégoire Zimmermann Ado@Internet.ch: usage d'internet chez les adolescents vaudois. Liens internationaux

Cyberdépendance Addiction à Internet - Il a vécu 6 mois sans le net Un jour, Thierry Crouzet a coupé Internet. Victime d’un burn-out, d’une overdose numérique. Blogueur influent, geek connecté jour et nuit sur les réseaux sociaux, expert des nouvelles technologies, il a quitté la toile pendant six mois, pour se sevrer. Aujourd’hui, l’ancien addict est devenu un internaute modéré. La nuit du 14 février 2011, vous faites une crise d’angoisse et finissez à l’hôpital. Thierry Crouzet : Allongé sur mon lit d’hôpital, j’ai tout de suite pris mon téléphone pour regarder mes mails et ce qui se passait sur les réseaux sociaux. Votre conclusion, c’est que vous étiez victime d’un burn-out numérique… T.C : Oui. Plus aucun accès à Internet pendant six mois… Pourquoi ce choix d’une déconnexion totale ? T.C : Je ne savais pas ce qui posait problème. Avant cette prise de conscience, vous sentiez-vous accro au net ? T.C : Non, ou alors comme d’autres sont accros à leur travail. Qu’est-ce qui vous rendait dépendant au net ?

Cyberdependance.pdf Cyberdependance Le portrait type de la personne cyberdépendante a évolué depuis quelques années. Autrefois on pouvait reconnaître majoritairement des hommes âgés de 25 à 35 ans, scolarisés, financièrement capables de se doter d'un ordinateur assez dispendieux et qui passaient un nombre incalculable d'heures devant l'écran de leur appareil. Maintenant, il semble y avoir une certaine parité entre les hommes et les femmes. La dépendance affective et la compulsion dans le sexe semblent être les deux principaux moteurs qui nourrissent la cyberdépendance. Il n’est pas rare de constater que le dépendant d’Internet nourrit d’autres dépendances. Le phénomène du day trading est aussi en recrudescence. Mais si Internet était, principalement, une grosse agence de rencontre ? Cette opportunité qui s'offre sur Internet a des avantages à bien des égards pour les infidélités virtuelles et/ou cybersexuelles : M. Certains éléments du syndrome ont duré plus d'un mois ou se sont répétés pendant une période plus longue. par

TPE sur Internet et les rapports humains Dépendance au smartphone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance ou l'addiction au smartphone est un phénomène qui apparaît entre 2000 et 2010 avec la large diffusion de l'IPhone puis d'autres types de smartphones. Il relève, au moins en partie, de la cyberaddiction (dépendance à Internet) qui peut se développer, notamment dans le cadre du nomadisme numérique, ou révèle souvent d'autres addictions[1]. Cette nouvelle addiction semble tendre, pour partie au moins, à se substituer à l'addiction à la télévision. §Histoire[modifier | modifier le code] Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie[8]. Ce phénomène d' « asservissement volontaire » ou « subi » à cet objet connecté particulier a d'abord été détecté en Asie dans les pays où les smartphones sont les plus utilisés, mais est également signalé aux États-Unis et en Europe (dont en France[12]). §Le cas de l'Asie[modifier | modifier le code] §Terminologie[modifier | modifier le code]

Dépendance à Internet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. D. Psychologie :

Dépendance au jeu vidéo Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance au jeu vidéo désigne un trouble psychologique caractérisant un besoin irrésistible et obsessionnel de jouer à un jeu vidéo. L'addiction aux jeux vidéo entraînerait chez le joueur des comportements au caractère répétitif et compulsif, comme chez les joueurs pathologiques ou les consommateurs de substances psychoactives. Controverse[modifier | modifier le code] Le 6 mars 2012 l'Académie nationale de Médecine précise qu'il est préférable de parler de « pratique excessive » que d'addiction aux jeux-vidéo et cela pour deux raisons[1] : il n'y a à ce jour aucun consensus scientifique sur l'existence d'une réelle addiction aux jeux vidéo ;le terme « pratique excessive » est plus approprié car moins stigmatisant. Ainsi, le psychanalyste Yann Leroux affirme pour sa part qu’« Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo[2]. » De même, Keith Baker, spécialiste de l'addiction, a créé en 2006 un centre de désintoxication.

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